Il n’y a pas qu’à Dakar où la connexion internet fonctionne parfois au compte goutte. En Guinée Equatoriale aussi, le haut débit est un vrai casse-tête pour les journalistes. Que ce soit à Malabo, à Bata, à Anisok ou encore Mongomo, le constat est le même : la connexion internet est une denrée rarissime. Actuellement à Mongomo, les employés de l’hôtel Onomo, qui héberge l’équipe nationale du Sénégal, travaillent d’arrache-pied pour que les médias puissent effectuer leur travail en toute quiétude.
Au niveau de la téléphonie, le constat est le même. Là, il ne s’agit en aucun cas de rareté, mais plutôt de cherté. En effet, en plus du prix élevé des puces téléphoniques, le coût des appels internationaux coûte excessivement cher. Pour exemple : une carte de 5000 francs CFA ne permet pas d’échanger convenablement car le temps étant infime et le réseau capricieux.
L’ouverture du centre des médias où un réseau supplémentaire doit être installé est grandement attendue.
2 Commentaires
Lamine
En Janvier, 2015 (19:57 PM)Oussou25
En Janvier, 2015 (00:27 AM)Participer à la Discussion