A l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les violences policières, le Collectif pour la justice et contre les violences policières dénonce ce qu'il qualifie de délits de justice. Autrement dit, les violences exercées sur des citoyens et qui sont restées sans suite judiciaire.
Sur iRadio,le coordonnateur du collectif, Aliou Gérard Koita, parle d'un bilan sombre. "C’est un bilan sombre, parce que tout récemment, l’affaire Cheikh Niasse est en train de polluer la quiétude de la toile et donc aujourd'hui, nous Collectif pour la justice contre les violences policières, nous dénonçons encore une fois le délit de justice, parce que pour qu'il y ait paix, il faudrait qu’il y ait forcément justice", dit-il. Et d'ajouter qu'une grande partie de la responsabilité revient à l’Etat qui doit agir au plus vite.
1 Commentaires
Les manifestations du mois de Mars ont montré comme le cas de Parcelles Assainies que la population peut maîtriser les policiers pour chaque commune.
Il faut une police plutôt qui communique et explique la population les règles à suivre de manière civilisé. Il faudrait au moins Bac +2 pour être policier
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