« La lutte anti tabac doit se décentraliser et c’est dans ce sens que nous sommes à Sédhiou pour renforcer les capacités des acteurs qui doivent mener la lutte. Nous sommes là aussi pou mettre en place des stratégies pour mieux sensibiliser et éduquer les populations pour les amener à s’approprier la loi anti tabac ». Ainsi a parlé Henriette Ndong chargée de communication du programme national de lutte contre tabac.
C’était au cours d’un comité régional de développement (Crd) axé sur l’implémentation de la loi anti tabac à l’issu duquel comité, les acteurs se sont engagés à faire de Sédhiou, la région pilote dans le cadre de l’implémentation de la loi anti tabac.
Djibril Bèye, chargé des questions économiques du programme national de lutte anti tabac, s’est d’abord félicité de cet engagement des acteurs à la base avant de soutenir que les conséquences sanitaires du tabac dépassent de loin les apports de l’industrie du tabac. Par conséquent, dit-il, l’Etat doit activer le levier de la taxation et vaincre en même temps le commerce illicite de la contre bande. C’est à ce prix, explique M. Bèye que la lutte anti tabac aura son succès au bénéfice de tous.
3 Commentaires
Anonyme
En Septembre, 2016 (19:42 PM)Anonyme
En Septembre, 2016 (22:21 PM)Fadiagnes
En Septembre, 2016 (12:51 PM)Participer à la Discussion