Les journalistes africains en général et burkinabés en particulier demandent justice, après le cambriolage des bureaux de L’Opinion, un hebdomadaire burkinabé, dans la nuit du 9 au 10 février dernier.
La Fédération internationale des journalistes (FIJ) et la Fédération des journalistes africains (FAJ) en appellent à la communauté internationale, pour que justice soit faite. Selon un communiqué de la FIJ, publié hier : « Ces cambriolages, suivis du vol d’outils de travail aux domiciles des journalistes, sont de plus en plus récurrents au Burkina Faso». Mohamed Garba, le président de la Fédération des journalistes africains, insiste pour que ces actes ne soient pas relégués au rang de faits divers. « Ils doivent être sévèrement punis », dit-il.
2 Commentaires
Xeme
En Février, 2014 (11:23 AM)Larissa
En Février, 2014 (16:01 PM)Même si je n'approuve pas le vol, je ne vois pas pourquoi il faut s'indigner outre mesure.
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