En filmant ses ébats sexuels en 2013, A. B. La. ne pensait pas qu'en 2020 il verrait ses vidéos circuler sur le réseau whatsapp.
Malheureusement, il aura la mauvaise surprise en voyant ses images privées envoyées sur la toile. Des scènes privées qu’il aurait préféré ne pas voir divulguées au grand public. Se disant victime de personnes malintentionnées, A. B. La. a porté l'affaire devant le tribunal.
Ce cinquantenaire, père de 8 enfants accuse l'un de ces fils, A. Dimi d'avoir aidé ses rivaux O. B. et F. F. P. à entrer en possession de ses vidéos.
Au courant du mois d'octobre 2019, A. B. dit avoir été victime d'un cambriolage et son ordinateur qui contenait les vidéos a été emporté.
"Ces derniers veulent me nuire dans le but de récupérer mes parts et tous mes biens dans la société. Seul A. Dimi connaissait le code de verrouillage de l'appareil", s'est plaint la victime.
Par ailleurs, c'est un numéro étranger qui a créé le groupe whathsap constitué de parents, d'amis et de vieilles connaissances de A. B. La. pour distiller la vidéo. L'administrateur du groupe n'a toujours pas été identifié. O. B. et F. F. P. ont aussi envoyé les films à d'autres personnes.
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