La traque du terroriste Cheikh Ould Salek continue sans succès à Saint-Louis. Les limiers, qui n’en démordent pas malgré les résultats peu probants, garderaient encore dans leur panier, neuf personnes de nationalité mauritanienne.
Même si les limiers continuent de faire du silence leur arme prioritaire, les informations ne manquent pas à propos de cette affaire aux allures de nébuleuse et qui, depuis quelque temps, défraie la chronique dans la ville de Saint-Louis.
Saleck, introuvable malgré le déploiement massif des forces de sécurité, la police a jeté pour l’instant son dévolu sur un groupe de personnes alpaguées depuis près de quatre jours et gardées à vue, selon certaines informations dans les locaux de la police. Ces personnes, qui seraient une dizaine au départ, ne seraient finalement plus que 9 qui attendraient d’être présentées au procureur dans les heures à venir, si elles ne sont pas libérées.
Selon certaines sources, il y aurait deux femmes dans ce groupe dont certains auraient eu des contacts téléphoniques avec Saleck sans toutefois qu’il ne soit clairement établi que ces personnes ont participé, sous quelconque forme que ce soit, à faciliter la cavale du fugitif.
La question que d’ailleurs beaucoup se posent est de savoir si Saleck est encore à Saint-Louis. A côté de cette interrogation, il reste également peut-être pour les limiers, la tâche d’élucider la coïncidence troublante qu’il y a eu entre la supposée présence de Saleck au Sénégal et l’interpellation du journaliste mauritanien du même nom. L’opinion ne sera pas de sitôt informée sur ces questions, dans la mesure où la police locale garde le silence total sur cette affaire. Le Quotidien a en effet tenté d’interroger le commissaire central de Saint-Louis, Modou Bopp qui, malgré toute la courtoisie dont il a fait montre, a déclaré n’avoir rien à dire sur ce dossier.
Pour rappel, Chekh Ould Saleck s’était échappé jeudi dernier de la prison centrale de Nouackchott où il était incarcéré après sa condamnation à une peine de mort pour son implication dans une tentative d’attentat à la voiture piégée contre la Président mauritanien.
<9>cndiongue@lequotidien.sn
Même si les limiers continuent de faire du silence leur arme prioritaire, les informations ne manquent pas à propos de cette affaire aux allures de nébuleuse et qui, depuis quelque temps, défraie la chronique dans la ville de Saint-Louis.
Saleck, introuvable malgré le déploiement massif des forces de sécurité, la police a jeté pour l’instant son dévolu sur un groupe de personnes alpaguées depuis près de quatre jours et gardées à vue, selon certaines informations dans les locaux de la police. Ces personnes, qui seraient une dizaine au départ, ne seraient finalement plus que 9 qui attendraient d’être présentées au procureur dans les heures à venir, si elles ne sont pas libérées.
Selon certaines sources, il y aurait deux femmes dans ce groupe dont certains auraient eu des contacts téléphoniques avec Saleck sans toutefois qu’il ne soit clairement établi que ces personnes ont participé, sous quelconque forme que ce soit, à faciliter la cavale du fugitif.
La question que d’ailleurs beaucoup se posent est de savoir si Saleck est encore à Saint-Louis. A côté de cette interrogation, il reste également peut-être pour les limiers, la tâche d’élucider la coïncidence troublante qu’il y a eu entre la supposée présence de Saleck au Sénégal et l’interpellation du journaliste mauritanien du même nom. L’opinion ne sera pas de sitôt informée sur ces questions, dans la mesure où la police locale garde le silence total sur cette affaire. Le Quotidien a en effet tenté d’interroger le commissaire central de Saint-Louis, Modou Bopp qui, malgré toute la courtoisie dont il a fait montre, a déclaré n’avoir rien à dire sur ce dossier.
Pour rappel, Chekh Ould Saleck s’était échappé jeudi dernier de la prison centrale de Nouackchott où il était incarcéré après sa condamnation à une peine de mort pour son implication dans une tentative d’attentat à la voiture piégée contre la Président mauritanien.
<9>cndiongue@lequotidien.sn
2 Commentaires
La Diambare
En Janvier, 2016 (09:27 AM)Plus injuste et têtu que le Commandant NDOUR, tu meurs. Il a eu le toupet de défier le Général SOW alias NOGASS (CEMGA).Il a refusé de respecter la circulaire qui écarte du RENGAGEMENT tout homme de troupe qui se présente à un concours. Non seulement il a enlevé la plus choc de notre promo depuis Bango (notre classe…. THIOUNE), mais comble d’injustice, il met à sa place une de nos promos qui s’est déjà présentée à deux concours
(02 concours)Où est la transparence dans cette ARMEE ?
NOGASS, si vous ne rappelez pas votre Commandant à l’ordre, d’autres moyens seront adoptés les jours à venir :
Affiches dans toutes les artères des villes du pays avec comme cibles :
Les Zones militaires, les Gouvernances, les Préfectures, les Mairies, les Commissariats de Police, les Ambassades, les Consulats, etc…
A BON ENTENDEUR SALUT !!!!
Anonyme
En Janvier, 2016 (15:46 PM)Participer à la Discussion