D'après le journal français "La Provence", les faits remonteraient à la nuit du 12 au 13 août. Vers 2 heures du matin, un patient serait "sorti de sa chambre, un revolver à la main, interdisant à quiconque d'entrer ou de sortir de l'unité dans laquelle il se trouvait". Aucune plainte n'aurait été déposée par "peur des représailles".
Le preneur d'otages avait été opéré pour une blessure par balle et était persuadé que ses agresseurs allaient venir à l'hôpital pour le tuer. Il s'était fait amener une arme par un ami. "Les soignants victimes de l'agression n'ont pas porté plainte car ils ne voulaient pas donner leur identité par peur des représailles", selon le quotidien.
L'hôpital préfère minimiser l'affaire et parle de "menaces" et de "séquestration". L'homme a été exclu de l'hôpital et les forces de l'ordre l'ont appréhendé. L'arme n'a cependant pas été retrouvée.
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