Si certaines populations affectées par la construction de l’aéroport international Blaise Diagne (Aibd) ont accepté de rejoindre le site de relogement prévu à cet effet, d’autres par contre refusent de quitter leurs terres. Et des propriétaires de champs ont finalement recouru au morcellement de leurs biens pour les «sécuriser», explique le maire de Keur Moussa, Momar Ciss qui en revanche botte en touche quant à une quelconque autorisation de l'autorité qu'il représente.
«Nous n’avons pas autorisé le morcellement de ces terres, parce qu’on ne maîtrise pas les limites de l’aéroport.
Je leur ai dit que les propositions qu’elles avaient faites pour qu’on leur laisse les superficies étaient recevables, mais il fallait qu’on fixe les limites de l’aéroport, le tracé des routes».
Dans les colonnes de l’Observateur, Moussa Ciss d'informer que «Les populations avaient mis une demande pour qu’on les autorise à procéder au morcellement de leurs champs». Toutefois, «Cela n’a pas été fait sur une base légale. Aujourd’hui, on attend que la commission évalue les superficies pour qu’on puisse procéder au lotissement et les réaffecter aux populations. Pour cela, la commune va les accompagner», rassure le maire.
Ainsi, «Elles pourront avoir des actes administratifs légaux, puisqu’elles ne veulent se déplacer de leur terroir».
Mais, tranche-t-il, «Rien n’est légal dans ces lotissements effectués, parce que cela n’a pas été autorisé»..
«Nous n’avons pas autorisé le morcellement de ces terres, parce qu’on ne maîtrise pas les limites de l’aéroport.
Je leur ai dit que les propositions qu’elles avaient faites pour qu’on leur laisse les superficies étaient recevables, mais il fallait qu’on fixe les limites de l’aéroport, le tracé des routes».
Dans les colonnes de l’Observateur, Moussa Ciss d'informer que «Les populations avaient mis une demande pour qu’on les autorise à procéder au morcellement de leurs champs». Toutefois, «Cela n’a pas été fait sur une base légale. Aujourd’hui, on attend que la commission évalue les superficies pour qu’on puisse procéder au lotissement et les réaffecter aux populations. Pour cela, la commune va les accompagner», rassure le maire.
Ainsi, «Elles pourront avoir des actes administratifs légaux, puisqu’elles ne veulent se déplacer de leur terroir».
Mais, tranche-t-il, «Rien n’est légal dans ces lotissements effectués, parce que cela n’a pas été autorisé»..
7 Commentaires
Anonyme Peuls,
En Juin, 2015 (12:37 PM)Anonyme
En Juin, 2015 (18:15 PM)Anonyme
En Juin, 2015 (22:24 PM)Anonyme
En Février, 2018 (03:04 AM)Ain
En Février, 2018 (03:18 AM)Ain
En Février, 2018 (03:18 AM)Ano
En Février, 2018 (03:18 AM)Participer à la Discussion