Ali Haïdar, ministre de l’Environnement est attendu sur son projet annoncé d’interdiction des sachets en plastique non biodégradables. Un défi environnemental qui n’est pas près d’être relevé. Ce qui fait réagir nos confrères de Sud Quotidien qui s’intéressent à la question. « Le Sénégal à la traine », écrit le journal, non sans rappeler que depuis le 3 décembre 2012, le ministre de l’Environnement « peine à sortir des circuits ministériels et autres juridictions étatiques ». Nos confrères de soulever quelques interrogations au sujet d’éventuels « lobbies tapis dans l’ombre pour empêcher l’entrée en vigueur de la loi, devant interdire la fabrication et l’usage des sachets plastiques et l’appliquer effectivement, afin de lutter contre le péril plastique devenu un problème national ».
6 Commentaires
Agriculteurs
En Juin, 2013 (09:07 AM)Sonio
En Juin, 2013 (09:59 AM)Pour moi ce sont des effets d'annonces qui en fait ne partent pas vraiment des réalités économiques. Comme peut on exporter et être concurrentiel si nous on nous oblige à utiliser du biodégradable qui coute 5 fois plus cher que le recyclable. Savez vous que pour obtenir un sachet barriére c'est à dire qui bloc les interférence avec l'extéreur qu'il faut obligatoirement qu'il y ai une base de PE pour par exemple que le plastique puisse être soudé.
Je vois réellement que ce sont encore des amateurs qu'on a au ministére de l'environnement et que ce qu'il dise sera intenable du moment qu'on doit commercer avec l'extérieur et je ne vois pas pour le moment beaucoup de consommateur pret à acheter le lait ardo en callebasse (il en faudra des millions, comment cultiver des millions de callebase, comment pasteuriser du lait dans une callebasse, quelle chaine de froid au cas ou on ne stérilise pas, ). Il faut trouver des solutions au probléme des plastiques mais pas en les interdisant. Les polueurs doivent payer en metttant en place des systéme de recyclages en d'autres produits plus stable dans la durent comme des récipients des des bâches etc... Ou mettre en place une taxe environnement pour mettre en place un fond pour le recyclage et les ramassage des plastiques dans tout le pays.
Je tien à préciser qu'on peut aussi empécher une gamme d'emballage comme le PE à 100%. Mais pour l'agro alimentaire ou tout autre emballage commerciale on est obligé de travailler avec des emballages appelé complexés, par exemple : PAPE, PETPE etc. Là ce n'est plus du plastique mais de l'emballage et il y a une grande différence entre ces deux.
Papalare
En Juin, 2013 (10:45 AM)Sada
En Juin, 2013 (14:37 PM)Pape Gueye
En Juin, 2013 (18:53 PM)SALAM
Dio
En Juin, 2013 (21:41 PM)Participer à la Discussion