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Education

Louis Thomas Ciss, nouveau patron de la direction des Bourses

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Louis Thomas Ciss, nouveau patron de la direction des Bourses

La Direction des Bourses a un nouveau directeur général en la personnede Louis Thomas Ciss. Ce dernier, qui est maître-assistant àl’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, remplace à ce poste JosephSarr. La décision a été prise lors du Conseil des ministres quis’est tenu hier, jeudi 26 juillet, à Diourbel. Autre nomination ce jeudi, celle de Abdoul Aziz Aw, ingénieur du Génie rural, au poste de directeur des Constructions scolaires, en remplacementd’Ousmane Diop.



15 Commentaires

  1. Auteur

    Tef

    En Juillet, 2012 (10:36 AM)
    boff :cry: 
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  2. Auteur

    Ask

    En Juillet, 2012 (10:43 AM)
    Parlez nous de lui, fiable ou pas (pas sa vie privée svp).

    A chaque nomination, parlez nous des compétences et sérieux professionels des nommés.
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    Auteur

    Babis

    En Juillet, 2012 (11:00 AM)
    je connais la personne ,je dout qu il soit piste parcequ il a une connaissance de tres longue date qui est

    tres influente dans le giron du president ca cest una annalyse personnelle meme s il est a la hauteur

    d'une telle responsabilte c' etait seulement vous dire certaines pratiques exixtent toujours au Senegal

    ANALYSE D UN MODOU MODOU
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    Auteur

    Cocacolapepsicola

    En Juillet, 2012 (11:41 AM)
    Je le connais, il a ete mon prof au departement d' anglais. Il sera a la hauteur de ses nouvelles responsabilites. Cependant, c'etait un socialiste pur et dur! On dirait que le Senegal ne change pas beaucoup au niveau de l' elite. Sunu la Faater fi nga guener feuler. Differentes regimes, memes elites, en fin de compte!
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    • Auteur

      Reply_author

      En Juillet, 2023 (12:00 PM)
      Waa mané, balma ma yokk si, gestoul gni si kasso yi tamit dafay gueuna rafet rek sall, té doula yakkal dara
      8 mois bariwul, appaisement total inchallah, Sonko dina réglé sobé yallah
      Diereudieuf sall
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    • Auteur

      Reply_author

      En Juillet, 2023 (12:38 PM)
      néna dafay profito si état émotionnel sénégalais yi depuis hier pour am sounou sympathie
      mané on n'oubliera pas les 11 ans de diay doolé et de bamboula financiére
      Des audits depuis 2000 est une demande sociale en commencant par des enquétes sur les enrichissements soudains des juristes (avocats juges magistrats) 
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    Auteur

    étudiant

    En Juillet, 2012 (12:54 PM)
    on a bien apprécié Mr SARR en tout cas il a réformé cette structure et il était à la hauteur de sa mission.le nouveau patron é attendu à ce niveau mé pas une politisation de ce secteur.mérite rek

    Bravoooooooooooooooo Joe
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    Auteur

    Campus

    En Juillet, 2012 (13:12 PM)
    mr sarr a ete un tres bon directeur felicitation



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    Auteur

    Le Mérite

    En Juillet, 2012 (14:12 PM)
    Enfin l'homme qu'il faut à la place qu'il faut . Humble, Compétant, Rigoureux, Honnête, Un Travailleur hors paire. Mr Ciss sera à la hauteur de cette mission.
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    Auteur

    Beugsn

    En Juillet, 2012 (14:26 PM)
    Un homme intègre que je connais depuis 30 , il est toujours égal à lui même, les rufisquois pourront en témoigner. Bonne continuation M.CISS
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    Auteur

    Zeus

    En Juillet, 2012 (14:51 PM)
    Avec cette nimination je sais que le gouvernement de Macky est sur le bon chemin . C'est un homme incroyablement competent .il n'ya aucun doute que Mr ciss sera a la hauteur de la mission qui lui est confiee. Nit kou yiw . yalla na ko yalla diappale.
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    Auteur

    Clarté

    En Juillet, 2012 (15:48 PM)
    Au Sénégal seule la politique prime. Un professeur aussi compétent et très sérieux dans son travail. Il arrivait au bureau chaque jour avant 7H du matin et il ne quittait qu' après 20h. Le week end, il va à la faculté des sciences et techniques pour encadrer ses étudiants. Il méritait beaucoup plus que d’être démis de ses fonctions. Là comme tout étudiant, on est surpris de cet évènement. Je me rappelle de l'expression d'un étudiant qui avait écrit: Joseph SARR, la solution à l'équation des bourses. Je comprends maintenant qu'il a remplit sa mission et nous étudiants nous attendons le président Macky à donner d'autre fonctions à cet éminent Professeur car le sénégal a besion de lui.

    Bon vent Professeur, nous étudiants nous vous remercions

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    Nickez

    En Juillet, 2012 (21:41 PM)
    Un homme compétent , travailleur, qui sait faire preuve de tact et de professionnalisme dans son travail. Nommé à un poste pas facile à gérer, nous ne doutons aucunement sur la bonne gérance de son poste. Faire du bon travail veut dire que les étudiants néneko diapeulé.. Si ce poste lui a été confié c'est qu'il capable de mener à bien sa mission. Donc yallneu neu ko yéne Bi oyoffff... Un homme à la place qu'il faut!
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    Auteur

    Lolita80

    En Juillet, 2012 (22:37 PM)
    fier de lui

    un homme digne de confiance ,honnéte ,respectueux qui a toujours fait son travail comme il le fallait .

    Comme on dit seul le travail paye .

    Je ne doute pas de ses compétences ni de ses capacités et je suis sur qu'il fera son travail comme il se doit .

    Good Luck docteur ciss.

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    Lefèbvre

    En Juillet, 2012 (00:58 AM)
    Le Président Alassane OUATTARA a fermé les universités publiques en Côte d'Ivoire dès sa prise de pouvoir. Le motif était simple : restaurer l'âme des « temples ».

    Cette décision est hautement critiquable puisque le savoir ne mérite pas un tel traitement. Après la construction des centaines de mètres de clôture et des couches de peinture, la rentrée a été fixée le 3 septembre 2012. Ce que les parents attendaient surtout c'était les prix d'inscription, dans un pays où la cherté de la vie a érodé considérablement le pouvoir d'achat des ivoiriens.

    L'information est tombée comme un couperet : les étudiants Ivoiriens et étudiants de l'espace UEMOA paieront, pour la Licence, 100.000 FCFA, le Master 200.000 FCFA et le Doctorat 300.000 FCFA. Tandis que les étudiants hors espace UEMOA devront s'acquitter pour les mêmes niveaux d'étude respectivement de 300.000 FCFA, 400.000 FCFA et de 500.000 FCFA.

    De 6.000 FCFA, les frais passent à 100.000FCFA, soit une augmentation de 1566 %. Ce qu'il faut retenir c'est que le Président Alassane OUATTARA veut tuer le savoir avec la complicité passive d'une certaine élite. Une augmentation aussi significative en période de morosité économique a forcément un substrat caché.

    1. Les raisons fragiles d'une telle augmentation

    Selon les trois présidents des universités de Cocody, d'Abobo-Adjamé et de Bouaké, cette contribution des apprenants au coût de leur formation, ajoutée aux autres ressources (Etat et propres), permettra de produire des diplômés mieux formés, mieux armés et plus compétitifs pour affronter la concurrence sur le marché du travail. Ils ont justifié cette nouvelle contribution à l'impérieuse nécessité d'accompagner l'Etat dans la mise en œuvre de cet ambitieux programme de rénovation des édifices et de réaménagement des enseignements qui a besoin d'importants moyens financiers. Pour les Conseils d'Université, avec l'ancienne contribution de formation de 6.000 FCFA, soit 0,5% du coût de formation réel d'un étudiant à savoir 1.200.000 FCFA, les universités de Côte d'Ivoire ont connu une décrépitude dont l'accélérateur a été la crise postélectorale. Il est établi qu'un mauvais diagnostic ne conduit pas à une réponse adéquate. Si la qualité des trois présidents des universités est établie alors on peut affirmer qu'une telle décision est plus politique qu'académique.

    2. Les frais d'inscription ne font pas de meilleurs étudiants

    Il est illusoire de croire qu'en augmentant les frais d'inscription, on aura des super-étudiants. En tout état de cause, nous devons nous élever contre l'idée selon laquelle les frais d'inscription sont l'outil idéal, voire le seul outil, de la compétitivité internationale des universités. Selon cette logique, le « prix » d'un diplôme est censé refléter sa « valeur » sur le « marché mondial de l'éducation ». C'est une micro-idée qui aura un micro-impact.

    D'abord il faut faire une nette distinction entre la formation et l'insertion professionnelle. La formation met en jeu l'enseignant et l'apprenant tandis que l'insertion concerne le diplômé et le marché du travail.

    Ensuite demander une augmentation des frais d'inscription aux parents ne va pas résoudre cette question complexe de la concurrence sur le marché du travail.

    Enfin, le contexte lui-même est mal choisi. En obligeant les parents à payer des sommes élevées, on les prive de contributions nécessaires à l'accompagnement des étudiants durant l'année universitaire.

    3. La période d'Houphouët Boigny infirme une telle acception

    Les étudiants sous Felix Houphouët Bobigny étaient brillants mais la contribution des étudiants ivoiriens à leur formation était quasi inexistante. D'ailleurs comme le rappellent les présidents des universités, les frais d'inscription étaient faibles : de 2100 FCFA en 1963 ; 3100 FCFA en 1970 ; 4200 FCFA en 1971.

    Et de 1980 jusqu'à ce jour, les frais d'inscription étaient fixés à 6.000 FCFA. Ce n'est pas parce que la contribution à la formation représente 0,5% du coût de formation (1,2 millions FCFA par étudiant), que le diplôme est sous-évalué. Les décideurs doivent méditer sur notre passé pour prendre parfois des décisions car comme le dit Cheikh Anta Diop « Les intellectuels doivent étudier le passé non pour s'y complaire, mais pour y puiser des leçons ou s'en écarter en connaissance de cause si cela est nécessaire ».

    Sous Félix Houphouët Boigny , l'Etat de Côte d'Ivoire a offert des bourses et des conditions suffisantes pour étudier convenablement. Les enfants de pauvres, aujourd'hui devenus professeurs refusent que l'école de la république soit accessible aux pauvres. On ne peut pas prendre l'argent du contribuable pour réhabiliter les universités et leur demander de payer la note.

    Félix Houphouët Boigny disait toujours ceci :« Je sais que mon pays, entre plusieurs préoccupations, a choisi de privilégier deux d'entre elles. D'abord la paix dans la liberté, dans la dignité, dans la tolérance, dans l'amour. La deuxième préoccupation, c'est l'éducation des enfants, la formation de la jeunesse, notre espoir , notre certitude du meilleur devenir de notre pays ». Prenons garde de ne pas « tuer » notre espoir, c'est-à-dire, la formation de la jeunesse.

    4. La valeur d'un diplôme dépend d'autres facteurs

    Pour bien aborder cette question, il faut sans doute, définir ce qu'on entend par université. On peut la définir comme un établissement qui fédère en son sein la production (recherche scientifique), la conservation publications et bibliothèques) et la transmission (études supérieures)de différents domaines de la connaissance.

    Elle se distingue en cela des Ecoles et grandes écoles qui sont centrées sur la seule transmission d'un domaine bien défini de la connaissance.

    Avec une telle définition, on comprend que ce n'est pas parce que dans le système anglophone, les étudiants contribuent au coût de leur formation à hauteur de 30%, qu'ils sont meilleurs, comme le dit le Pr. Ly Ramata.

    Les experts de l'éducation ne manquent pas de répéter que la valeur d'un diplôme dépend principalement de son contenu et de la qualité des enseignements qui y sont dispensés. La qualité des diplômes dépend d'autres facteurs dont les plus significatifs sont les suivants.

    En premier lieu, un enseignant bien formé et motivé.

    Les enseignants jouent un rôle crucial dans la transmission des connaissances à l'école. Dans le même temps, leurs salaires constituent le poste de dépense le plus important du budget de l'éducation. En effet, dans la plupart des pays développés et des pays en développement, les salaires des enseignants représentent entre la moitié et les trois quarts des dépenses d'éducation. Dans certains pays, ce pourcentage peut atteindre 90% (Banque mondiale, 2002) .

    Les compétences des enseignants constituent un deuxième aspect qui est potentiellement lié à leur satisfaction professionnelle. Il est évident que, pour transmettre des connaissances avec succès, il faut maîtriser la matière enseignée et les outils pédagogiques qui permettent d'inculquer ces connaissances aux apprenants.

    En second lieu, la formation initiale de l'apprenant. Ce qui suppose la maîtrise des étapes de la formation depuis la maternelle jusqu'à l'université.

    En troisième lieu, les conditions de vie des étudiants. Sous Félix Houphouët-Boigny , les étudiants étaient mieux traités. Les restaurants fonctionnaient parfaitement. Ils avaient la bourse, des conditions de transport acceptables, la précarité était limitée.

    En quatrième lieu, les infrastructures universitaires. Les amphithéâtres suffisants pour accueillir les étudiants, des salles de conférences, des salles informatiques, des bureaux pour les enseignants.

    En cinquième lieu, la situation institutionnelle des universités et le mode de gouvernance. Le fonctionnement et la situation institutionnelle des universités britanniques diffèrent de ceux de leurs homologues françaises. Les institutions britanniques bénéficient d'une très large autonomie financière, de recrutement, de gestion etc.

    Toutefois cette autonomie est assortie d'une très importante notion de responsabilité vis-à-vis du gouvernement et de certains organismes publics, et ce pour l'ensemble des aspects, administratifs comme académiques, du fonctionnement de l'établissement. Le mode de gouvernance et les mécanismes sont également différents.

    En sixième lieu, la recherche d'une meilleure adéquation entre la formation des étudiants et les besoins de l'économie et des entreprises. Un des principaux objectifs du partenariat entre université et entreprises consiste à adapter l'enseignement aux besoins d'une économie en voie d'industrialisation.

    Les universités pensent parfois qu'elles doivent se consacrer à leurs tâches traditionnelles d'étude et de recherche et qu'on ne peut pas leur demander de tout faire. Mais pour pouvoir réaliser un équilibre convenable entre formation universitaire et formation professionnelle, il faut qu'elles entreprennent et entretiennent le dialogue avec les entreprises qui utilisent leurs services et leurs diplômés.

    Mais finalement, au niveau macro, la relation formation emploi est loin d'être réalisée : « une formation ne donne pas systématiquement accès aux métiers ou aux emplois auxquels elle est censée préparer. Cela tient à la fois à des dysfonctionnements du marché du travail et à la diversité des modes d'acquisition des compétences, de la formation 'diplômante' à la formation sur le terrain ».

    Le principal critère d'embauche reste la personnalité du diplômé. Un étudiant anglais peut faire des études de théâtre et se retrouver agent de change dans la City. "45% de nos offres d'emploi sont ouvertes à tous les diplômés de n'importe quelle discipline, explique Tony Raban, qui dirige le service des carrières de l'université de Cambridge.

    Les études britanniques sont courtes - trois ou quatre ans - et les employeurs, selon une longue tradition, forment leur personnel eux-mêmes. Sauf dans quelques domaines, comme la médecine ou l'électronique, ils recrutent des jeunes pour leurs compétences intellectuelles, leur capacité à résoudre les problèmes.".

    Avec cette augmentation des frais d'inscription, c'est le début d'une longue marche vers la privatisation des universités





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    Auteur

    Tiou

    En Juillet, 2012 (11:46 AM)
    good luck tonton ciiss
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    Auteur

    6

    En Septembre, 2012 (21:46 PM)
    FI YA FI Nék KENE MEUNOU SI DARA
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