« Toutes les écoles qui se trouvent à moins de cinq (5) km de la Gambie vont être déplacées pour plus de sécurité. Suite à l’évaluation, ces établissements couvrent près de 4 000 élèves sur 48 établissements », révèle l’inspecteur d’académie de Ziguinchor, Ismaïla Diouf. Les écoles devant les recevoir ont été identifiées et des abris provisoires seront érigés, ajoute-t-il.
9 Commentaires
Alaji
En Janvier, 2017 (13:01 PM)ce qui l interesse c est le pouvoir.
il est ridicule ce mec.
aucune consideration pour les gambiens
s il espere rester au pouvoir apres le 19 c est qu il a une toute petite cervelle dans sa grosse tete
Alaji
En Janvier, 2017 (13:01 PM)ce qui l interesse c est le pouvoir.
il est ridicule ce mec.
aucune consideration pour les gambiens
s il espere rester au pouvoir apres le 19 c est qu il a une toute petite cervelle dans sa grosse tete
Alaji
En Janvier, 2017 (13:01 PM)ce qui l interesse c est le pouvoir.
il est ridicule ce mec.
aucune consideration pour les gambiens
s il espere rester au pouvoir apres le 19 c est qu il a une toute petite cervelle dans sa grosse tete
Kukoye
En Janvier, 2017 (13:01 PM)Kukoye
En Janvier, 2017 (13:01 PM)Mmnd
En Janvier, 2017 (13:03 PM)La crise politique en République de GAMBIE En regard, aux risques de déstabilisation de région sud du SENEGAL: la Casamance
La situation politique qui prévaut actuellement en République de GAMBIE, en regard à la crise constitutionnelle du moment, d’une part, et d’autre part, les problèmes liés à la protection des populations, et en extension, les questions humanitaires, que cela sous-tend, quant à la sécurité du Président, nouvellement, élu démocratiquement, à l’issue des elections ( la protection du Président BARRO ) par le Sénégal , ne devraient en occune manière, éluder, les questions stratégiques de sécurité nationale et de souveraineté territoriale de la République du Sénégal.
Allusion est faite à la région sud, enclavée, du Sénégal : La CASAMANCE.
Le Président de la République, est-il assez informé par les services de renseignement et de sécurité nationale, sur la situation géopolitique de la région sud du Sénégal et des risques d’expension de la crise qui pourraient aboutir par exemple, au fagocitage de la région enclavée de la Casamance ???
Ce n’est qu’un scénario, aussi inactuel et imprévisible, quand bien même inquêtant pour les peuplements de la region du sud…
Il serait souhaitable et rassurant, que nos experts militaires et constitutionnalistes se prononcent sur la question, dans un débat national.
Notre inquiétude est justifiée par le fait que nul part ailleurs, nous avons entendu le Président de la République, se prononcer ouvertement et officiellement, sur la question.. Comme si tout était dans les normes et que rien ne se passait d’inquiêtant , à la frontière nord et sud de la Gambie. Par ailleurs, de sources internationales, il semblerait, qu’à l’issue de la rencontre des chefs d’états africains au Mali, le Sénégal accepte, à la demande de la conference, de recevoir le Président Elu, Monsieur BARRO, sous sa protection..
Une decision responsable que nous approuvons, et qui rehausse et revalorise la diplomatie sénégalaise..
Mais, parallèlement, nous estimons, que pour la sécurité des peuplements du sud et sur un plan plus national, afin d’éviter les risques de destabilisation du pays, il serait imperatif à titre préventif, un deploiement de l’armée, en Casamance…
Moustapha NDIAYE
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Anonyme
En Janvier, 2017 (13:44 PM)Le Sénégal n'a jamais fait la guerre. Mis à part les missions de maintient de paix, celle-ci sera une réelle épreuve pour l'armée sénégalaise.
Que la paix règne en Gambie.
Anonyme
En Janvier, 2017 (16:13 PM)Anonyme
En Janvier, 2017 (20:01 PM)Participer à la Discussion