Les quatre mois de grève des enseignants sont en train d'impacter très négativement sur le quantum horaire.
Sur les 1270 heures prévues, les élèves ont perdu entre 200 et 250 heures, rapporte le quotidien Source A qui reprend les chiffres de la Cosydep.
Déjà, le quantum horaire est en souffrance en raison de multiples facteurs : le démarrage tardif des cours un mois après l'ouverture officielle des classes, l'affectation tardive des enseignants, les écoles inondées, la problématique des abris provisoires, le retard dans la mise à disposition des budgets et du matériel aux écoles et établissements.
Les élèves sont obligés de payer pour combler ce gap et se mettre à niveau.
Sur les 1270 heures prévues, les élèves ont perdu entre 200 et 250 heures, rapporte le quotidien Source A qui reprend les chiffres de la Cosydep.
Déjà, le quantum horaire est en souffrance en raison de multiples facteurs : le démarrage tardif des cours un mois après l'ouverture officielle des classes, l'affectation tardive des enseignants, les écoles inondées, la problématique des abris provisoires, le retard dans la mise à disposition des budgets et du matériel aux écoles et établissements.
Les élèves sont obligés de payer pour combler ce gap et se mettre à niveau.
10 Commentaires
Elzo@caramail.com
En Février, 2022 (09:05 AM)Trois constats qui font qu’une solution est presque impossible.
1, Le principal point d’achoppement est le respect des engagements antérieurs pris par l’Etat. Ce problème ne date pas de maintenant et continue de traverser tous les régimes et gouvernements.
L’Etat, généralement sous la pression combinée des syndicats et des parents d’élèves et pour éviter une année blanche ou invalidée, s’engage (tout en sachant ne pas pouvoir respecter ses engagements) à régler cette question qui tourne essentiellement sur des questions pécuniaires. Et signe pour l’occasion, « le couteau sous la gorge » toute proposition pour une sortie de crise, y compris celles impossibles à réaliser.
2. Les syndicats (souvent « politiciens opposants dont un des souhaits est l’échec du gouvernement » et divisés) ne veulent en rien faciliter la tâche à l’Etat et s’arc-boutent sur le non-respect des engagements antérieurs pris par l’Etat, évoquent moult raisons supplémentaires (comparaisons avec d’autres corps de métier, manque de volonté de l’Etat, manque de respect des autorités…).
3. les « négociations » engagées entre l’Etat et les syndicats vont déboucher sur encore des engagements non réalisables et le cycle continue (grève des enseignants, pression populaire et syndicale, négociations suivies de nouveaux engagements irréalisables de l’Etat, paralysie du système, ….)
Le sentiment est celui du « serpent qui se mord la queue ». Et il sera extrêmement voire impossible de trouver une solution.
Seul un sacrifice de chaque côté, peut autoriser une sortie de crise.
Il est clair que l’Etat ne peut pas tout faire et les syndicats-parfaitement au courant de cette situation-doivent faire de patriotisme si tous veulent d’une solution sincère.
Anonyme
En Février, 2022 (09:44 AM)Moi
En Février, 2022 (10:33 AM)Kheuch
En Février, 2022 (11:00 AM)Reply_author
En Février, 2022 (13:01 PM)Anonyme
En Février, 2022 (11:19 AM)Mamadou
En Février, 2022 (11:43 AM)Cheikh Diagne
En Février, 2022 (12:05 PM)Pfff
En Février, 2022 (13:45 PM)la problématique des abris provisoires,
le retard dans la mise à disposition des budgets et du matériel aux écoles et établissements.
Qui est resposanble de tout ceci ? Les enseignants ?
Participer à la Discussion