Les trois (3) établissements ouverts dans la banlieue pour prendre en charge les déficients visuels peinent à résorber les difficultés, tant les besoins sont énormes. Elles sont d’abord liées au transport, ensuite à la mobilité et, enfin, à la sécurité, a expliqué Saliou Sène, coordonnateur de l’éducation inclusive. Les concernés soutiennent qu’ils sont encore victimes d’une marginalisation des transporteurs et cela compromet leur mobilité et leur sécurité. La coordination, toujours selon Saliou Sène, loin de se décourager, dit chercher chaque jour les moyens et les stratégies pour une meilleure prise en charge de ces handicaps.
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