L'ambassadeur de l'Arabie Saoudite au Sénégal parle de l'affaire Mbayang Diop. Invité de l'émission Sen Jotaay sur la Sen Tv, Abdallah Ahmad Al-Abdan assure suivre de près le dossier de la sénégalaise, condamnée pour meurtre. Il précise que la peine de mort prononcée contre la jeune femme n'est pas définitive. Et qu'elle pourrait recouvrir la liberté et rentrer au Sénégal si les enfants de la victime, encore mineurs, lui pardonne son crime.
7 Commentaires
Ndeyssane
En Septembre, 2017 (17:10 PM)Que Dieu veille sur eux et sur tous les orphelins de la planète, amine.
Anonyme Marie Marie
En Septembre, 2017 (18:30 PM)Mamita
En Septembre, 2017 (18:53 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (18:56 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (19:29 PM)Doff Niit
En Septembre, 2017 (20:32 PM)Je me demande comment nous sommes arrivés à ce stade de désintéressement de nos dirigeants à la bonne formation de l’avenir de notre pays. Que nous apporte la Turquie de Erdogan jusqu’à ce que le Président Macky Sall, le Premier ministre B A Dionne et le Ministre de l’éducation nationale Sérigne Mbaye Thiam veulent sacrifier l’avenir de milliers d’enfant sénégalais innocents. Pourtant les services politico-stratégiques sénégalais doivent savoir que la Turquie de Erdogan n’est pas viable, car la Turquie de Erdogan risque de finir comme la syrie. Déjà sur le plan économique, ce pays est en chute libre. La turquie est de plus en plus isolée sur la scène internationale. D’ici quelques mois la guerre contre les kurdes va reprendre de plus belle, car les kurdes (irakiens, turques et syriens) vont accélérer la création de leur état. D’ici trois ans, la turquie , avec Erdogan, sera à genoux. Peut-être nos autorités actuelles se disent qu’ils ne seront plus là, car ils perdraient les élections à venir. Malheureusement, ils ont oublié que le Sénégal sera toujours là.
Nos dirigeants ont-ils oublié cette règle élémentaire qui veut qu’un pays n’ait pas d’amis et n’a que des intérêts. L’intérêt immédiat que peut tirer nos dirigeants sur cette affaire vaut-il l’anéantissement de l’excellent cursus scolaire qu’aurait pu avoir ces milliers d’enfant sénégalais ? Je ne le crois pas, car la vraie richesse du Sénégal réside dans la qualité de ses ressources humaines.
Chers dirigeants, (Président Macky Sall, Premier ministre B A Dionne, et Ministre de l’éducation nationale Sérigne Mbaye Thiam), on vous a confié notre Sénégal pour que vous défendez nos intérêts, nous sénégalais, et pas vos intérêts ni ceux d’un fou dictateur sanguinaire turc.
Iez
En Septembre, 2017 (21:25 PM)Mais ni la Turquie, l’Iran et l’Irak n'en veulent
-Le Conseil de sécurité de l’ONU opposé au référendum d’indépendance du Kurdistan irakien
Les conseillers onusiens estiment que ce projet perturberait les opérations en cours contre le groupe Etat islamique. Massoud Barzani, président de la région autonome, n’entend pas y renoncer.
-Plus de 1 000 sociétés turques sont implantées au nord de l’Irak. Avant tout, la Turquie est l’unique voie de sortie du pétrole vendu par les Kurdes en contournant le pouvoir central à Bagdad. Le GRK exporte près de 85 % de sa production pétrolière (quelque 550 000 barils par jour) par le biais d’un oléoduc qui traverse le sud-est de la Turquie jusqu’au terminal de Ceyhan sur la Méditerranée.
-Agir contre M. Barzani pourrait se révéler contre-productif pour la Turquie car le voisin kurde d’Irak du Nord est le seul avec lequel les relations sont sans nuages. Ces dix dernières années, M. Erdogan a soigné ses relations avec Barzani, avant tout parce que l’homme était perçu comme faisant contrepoids à l’influence du PKK dans la région. Barzani a toujours toléré les opérations militaires turques au GRK. C’est dans ce contexte que la Turquie a été autorisée par l’administration kurde à implanter des bases militaires au nord de l’Irak.
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