Romancière, fondatrice de l’agence Cultur’Elles et promotrice du salon du livre féminin de Dakar, Amina Seck révèle dans un entretien avec Le Soleil que le Sénégal compte près de 200 femmes auteures. Elle laisse entendre que le style de ces dernières est spécifique, différent de celui des hommes.
«L’écriture féminine est sensible, tranche Amina Seck. Elle raconte l’humain. Elle raconte la femme. Une femme qui lit une femme peut se retrouver dans son histoire. Car son écriture est comme une thérapie qui met des mots sur les maux des femmes.»
Davantage que les hommes ? Amina Seck en est convaincue. Elle explique : «Les femmes parlent mieux des femmes. Un homme qui raconte la maternité ne pourra jamais le faire du point de vue d’une femme. Cette étape dans la vie d’une femme lui est totalement étrangère.»
La patronne de Cultur’Elles souligne que les femmes «font des romans, des essais, des recueils de nouvelles, des recueils de poésie depuis les années 70-80». Leurs thèmes de prédilection, ajoute-t-elle, sont «les conditions de vie de la femme», «la marche de la société» et «les violences faites aux femmes».
«L’écriture féminine est sensible, tranche Amina Seck. Elle raconte l’humain. Elle raconte la femme. Une femme qui lit une femme peut se retrouver dans son histoire. Car son écriture est comme une thérapie qui met des mots sur les maux des femmes.»
Davantage que les hommes ? Amina Seck en est convaincue. Elle explique : «Les femmes parlent mieux des femmes. Un homme qui raconte la maternité ne pourra jamais le faire du point de vue d’une femme. Cette étape dans la vie d’une femme lui est totalement étrangère.»
La patronne de Cultur’Elles souligne que les femmes «font des romans, des essais, des recueils de nouvelles, des recueils de poésie depuis les années 70-80». Leurs thèmes de prédilection, ajoute-t-elle, sont «les conditions de vie de la femme», «la marche de la société» et «les violences faites aux femmes».
3 Commentaires
Sayfu
En Janvier, 2023 (00:39 AM)Blague à part, seule une personne insensée penserait le contraire de ce qu'a dit cette dame. Le probleme vient plutôt des conséquences à tirer de cette assertion. Les femmes devraient avoir l'exclusivité du rapport de leurs expériences. Les hommes aussi d'ailleurs. Moralité : kéne dou néttali sé guéntou morome.
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