La situation de l’Afrique, malgré certains efforts fournis ça et là, reste presque globalement précaire. En effet beaucoup de pays africains sont en retard dans la course entre la croissance économique et la croissance démographique, aussi dans le développement des nouvelles technologies domaine réservé aux pays riches . Ce retard s’explique par une combinaison de guerre, de mal gouvernance, du VIH/Sida qui est le catalyseur de l’analphabétisme, au manque d’éducation, à la famine et à l’abandon….
Cependant, malgré cette situation déplorable dans laquelle se trouve notre continent des signes d’encouragements surgissent grâce à certains chef d’Etat tel que Maître Abdoulaye Wade qui a eu des idées géniales en proposant à ses pairs africains de compter d’abord sur nos propres forces, le nepad, le fonds de solidarité numérique etc…..
Les conditions de crise qui persistent sont marquées par des conflits ethniques, des flots de réfugiés, des personnes déplacées etc…
Les conflits prolongés ont entravé le développement englouti des ressources, restreint le potentiel humain et appauvri un trop grand nombre de pays africains et lorsque cessent les conflits, il faut encore entreprendre des programmes massifs de construction, rapatrier les réfugiés, réinstaller les personnes déplacées, démobiliser et réintégrer les combattants etc….
La mauvaise gestion des affaires des Etats freine les réformes et le développement, décourage l’épargne intérieur(fuite des capitaux) ainsi que l’investissement privé interne et privé. Il est donc nécessaire pour encourager l’investissement d’avoir une bonne gouvernance celle-ci est caractérisée par la responsabilité, la transparence, l’ouverture, la protection des droits de l’homme et des interventions sélectives et opportunes des Etats dans l’économie de la société.
Ainsi il faut développer les liens d’interdépendance entre l’Etat et la société civile et renforcer les structures institutionnelles.
Les problèmes auxquels sont confrontés les populations et les gouvernements du continent ne sont pas insurmontables. L’Afrique peut bien sortir de cette situation en comptant d’abord sur nos propres forces, ensuite sur l’appui et la coopération entre elle ceci passe d’abord par une stabilité sociale, un engagement ferme de nos chefs d’Etat et une très grande volonté politique de leur part pour lutter contre la famine, la pauvreté, promouvoir l’ infrastructure économique sous régionale qui comprend le transport, l’énergie, les télécommunications l’eau et l’assainissement etc…
Notre Association qui vient de prendre son essor contribue de par ses démarches à la réalisation des ses objectifs :
- lutter contre la pauvreté et la famine
- Intervenir par des programmes préscolaires sur les enfants en situation difficile
- Améliorer le système éducatif par la qualité de la formation
- Permettre aux populations de vivre dans la dignité humaine
- Combattre les inégalités au niveau de l’Education
- Combattre l’inégalité d’accès aux services de santé
- Régénérer les zones défavorisées.
L’ Association Internationale pour le Développement et l’Education, considérant tous les problèmes posés et les solutions préconisées et qui sont des préoccupations majeures lance un appel pressant à tous ceux qui militent en faveur d’un monde de paix, de développement, de prospérité et de santé pour qu’ensemble main dans la main, nous arrivons à relever les défis qui nous interpellent et gagner les paris qui se dressent devant nous.
Chacun de nous est assis sur une mine d’or, il suffit de fouiller, de creuser pour la découvrir en vue de l’utiliser dans l’intérêt général.
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