Revue de Presse du 11 Aout 2023 avec Mouhamed Ndiaye

4 Commentaires

1. 

   Latdior

   En Août, 2023 (16:01 PM)

   TERRORISME !!!  Le nouveau mot magique  utilisé par le pourvoir pour réprimer ses opposants, terroriser la polulation et museler la justice et la presse. Pour justifier son incurie, tenter de rester au pouvoir, le pouvoir sort l'accusatioin de terrorisme à  tout bout de champs. Comme c'est une qualification pénale, le procureur peut immédiatement demander l'incacération sans limite de durée et ainsi neutralier la possibilité pour le juge de libérer les individus accués de ce crime. Le pouvoir va maintenant nous fabriquer des sénarios imaginaires de terrorisme chaque fois qu'il aura envie de neutraliser une personne qui la gène. La presse va immédiatement s'en saisir comme d'une vérité biblique et amplifier la nouvelle pour faire peur à la population et l'amener à  accepter la répression du pouvoir. Sous ce chef  d'accusation, n'importe qui pourra se retrouver du jour au lendemain en prison pour de longs mois sans aucun jugement et sans aucune preuve. Il est ainsi facile pour le pouvoir d'anoncer des actes prétendus de préparation de terrorismes, de fabriquer et d'exiber de fausses preuves, de les coller à  des opposants ou des personnes qui essayent d'aclairer la population pour s'en débarasser définitivement. La situation est gravissime et les liberté sont menacées dans ce pays. Le mot TERRORISME est devenu l'arme ultime à  la disposition du pouvoir pour museler les libertés et tenir la population à  carreau. Désormais, tous les jours, un nouvel sénario sera puibliè. Tous les opposants qui gènent et particulièrement tout membre ou sympatisant du PASTEF sera neutralisé à  l'aide de ce mot magique TERRORISME. 

   Répondre +0 -0

   Signalier Permalink

Latdior
En Août, 2023 (16:01 PM)
TERRORISME !!!  Le nouveau mot magique  utilisé par le pourvoir pour réprimer ses opposants, terroriser la polulation et museler la justice et la presse. Pour justifier son incurie, tenter de rester au pouvoir, le pouvoir sort l'accusatioin de terrorisme à  tout bout de champs. Comme c'est une qualification pénale, le procureur peut immédiatement demander l'incacération sans limite de durée et ainsi neutralier la possibilité pour le juge de libérer les individus accués de ce crime. Le pouvoir va maintenant nous fabriquer des sénarios imaginaires de terrorisme chaque fois qu'il aura envie de neutraliser une personne qui la gène. La presse va immédiatement s'en saisir comme d'une vérité biblique et amplifier la nouvelle pour faire peur à la population et l'amener à  accepter la répression du pouvoir. Sous ce chef  d'accusation, n'importe qui pourra se retrouver du jour au lendemain en prison pour de longs mois sans aucun jugement et sans aucune preuve. Il est ainsi facile pour le pouvoir d'anoncer des actes prétendus de préparation de terrorismes, de fabriquer et d'exiber de fausses preuves, de les coller à  des opposants ou des personnes qui essayent d'aclairer la population pour s'en débarasser définitivement. La situation est gravissime et les liberté sont menacées dans ce pays. Le mot TERRORISME est devenu l'arme ultime à  la disposition du pouvoir pour museler les libertés et tenir la population à  carreau. Désormais, tous les jours, un nouvel sénario sera puibliè. Tous les opposants qui gènent et particulièrement tout membre ou sympatisant du PASTEF sera neutralisé à  l'aide de ce mot magique TERRORISME. 
Répondre +0 -0
Signalier Permalink
{comment_ads}

Latdior
En Août, 2023 (20:48 PM)
Ce régime lébéral aura porté le plus grand tord au Sénégal. Il a détruit les fondemments essentiels qui font une république, à  savoir : - la séparation entre l'exécutif, le législatif et le judiciaire. En corrompant la justice, la presse, les marabouts et une bonne partie des élites, il a détruit l'idée même de démocratie et anéantit les libertés. Le mensonge éhonté est devenue la régle. Cela commence par un président qui a osé pervertir un texte constitutionnel d'une claireté limpide (Nul ne peut faire plus de deux mandats consécutifs) pour lui faire dire autre chose. Heureusement que la pression de la rue l'a finalement amené à  prendre peur et à  renoncer à  sa forfaiture. Mais malheureusement, il n'a pas renoncé à  conserver le pouvoir pour placer un pantin avec l'aide de la justice  et à  choisir lui même les cadidats qui doivent solliciter le suffrage des sénégalais. Quand un ministre de la justice, par ailleurs professeur de droit ose affirmer qu'un condamné par contumance qui se trouve entre ses mains ne peut pas bénéficier d'un nouveau procès comme s'il était toujours introuvable, on atteint le sommet du mensonge et de l'hypocrisie. Quand un procureur envoie des milliers de personnes en prison sous le chef de délits d'opinion et refuse catégoriquement d'enquèter sur des dizaines de morts tués par sa police et ses nervis, on n'est plus dans une république. Quand un procureur dit que Juan Brako a fait l'objet d'un mandat d'arrêt internationnal et qu'une simple vérification sur la base des personnes recherchées par Interpol permet immédiatement de prouver le mensonge, on se demande quelle  formation  les journalistes de ce pays qui ne peuvent ou n'osent pas vérifier une information ont subi. Quand un pouvoir évoque le terrorisme sur la base de montages et de manipulations évidentes, pour justifier la dissolution d'un parti et l'emprisonnement de ses militants et de ses sympatisants, on plonge dans une république mafieuse.  Ce pays est gangrené par le mensonge et l'hyprocritie à  tous les niveaux. Ce pouvoir a tout détruit et a humulié les sénégalais. Il n'y a que les hyprocrites et les "Nafékhes" qui restent encore aveugles et souhaitent son maintien.
Répondre +0 -0
Signalier Permalink
{comment_ads}

Latdior
En Août, 2023 (20:48 PM)
Ce régime lébéral aura porté le plus grand tord au Sénégal. Il a détruit les fondemments essentiels qui font une république, à  savoir : - la séparation entre l'exécutif, le législatif et le judiciaire. En corrompant la justice, la presse, les marabouts et une bonne partie des élites, il a détruit l'idée même de démocratie et anéantit les libertés. Le mensonge éhonté est devenue la régle. Cela commence par un président qui a osé pervertir un texte constitutionnel d'une claireté limpide (Nul ne peut faire plus de deux mandats consécutifs) pour lui faire dire autre chose. Heureusement que la pression de la rue l'a finalement amené à  prendre peur et à  renoncer à  sa forfaiture. Mais malheureusement, il n'a pas renoncé à  conserver le pouvoir pour placer un pantin avec l'aide de la justice  et à  choisir lui même les cadidats qui doivent solliciter le suffrage des sénégalais. Quand un ministre de la justice, par ailleurs professeur de droit ose affirmer qu'un condamné par contumance qui se trouve entre ses mains ne peut pas bénéficier d'un nouveau procès comme s'il était toujours introuvable, on atteint le sommet du mensonge et de l'hypocrisie. Quand un procureur envoie des milliers de personnes en prison sous le chef de délits d'opinion et refuse catégoriquement d'enquèter sur des dizaines de morts tués par sa police et ses nervis, on n'est plus dans une république. Quand un procureur dit que Juan Brako a fait l'objet d'un mandat d'arrêt internationnal et qu'une simple vérification sur la base des personnes recherchées par Interpol permet immédiatement de prouver le mensonge, on se demande quelle  formation  les journalistes de ce pays qui ne peuvent ou n'osent pas vérifier une information ont subi. Quand un pouvoir évoque le terrorisme sur la base de montages et de manipulations évidentes, pour justifier la dissolution d'un parti et l'emprisonnement de ses militants et de ses sympatisants, on plonge dans une république mafieuse.  Ce pays est gangrené par le mensonge et l'hyprocritie à  tous les niveaux. Ce pouvoir a tout détruit et a humulié les sénégalais. Il n'y a que les hyprocrites et les "Nafékhes" qui restent encore aveugles et souhaitent son maintien.
Répondre +0 -0
Signalier Permalink
{comment_ads}