Depuis l'attaque du 26 avril contre l'hôpital de Boguila, les autorités locales, la préfète de l'Ouham, la représentante du département au sein de Parlement de transition réclamaient une intervention dans la région. C'est certainement ce qui a poussé l'opération Sangaris à lancer une mission de reconnaissance entre Bossangoa et Paoua, dans des zones où la force française n'était pas déployée. « Un nouveau raid meurtrier était en préparation », assure une source militaire.
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