Misrata mitraillée, pilonnée, assiégée, une population cloîtrée de peur des tirs de snipers…
Et il y a plus un mois que tout a commencé.
Aujourd’hui,la rébellion a accusé l’OTAN de laisser mourir les gens de Misrata, alors que des bâteaux transportant armes et vivres pour les insurgés ont été bloqués par l’Alliance. L’OTAN affirme qu’elle se doit de respecter le blocus de l’ONU sur l’armement.
Le chef militaire de la rébellion, le général Abdel Fattah Younés, ancien ministre de l’Intérieur de Kadhafi, a déclaré: “L’OTAN ne nous a pas fourni ce que nous voulions. Si l’OTAN voulait libérer Misrata, il aurait pu le faire avant. Nous ne voulons pas bombarder car nous ne voulons pas tuer de civils. Si l’OTAN attend encore une semaine, il n’y aura plus de Misrata, plus de civils. La population mourra et la communauté internationale devra endosser la responsabilité d’un tel crime.”
Située à 200km à l’est de Tripoli, la ville de Misrata est coupée du monde depuis le début de la rébellion contre le régime de Kadhafi. Il n’y aurait plus d’eau, plus d‘électricité. Et les forces loyalistes bombarderaient tous les jours la ville à l’artillerie lourde. Selon les insurgés, au moins 200 d’entres eux auraient déjà été tués.
Misrata mitraillée, pilonnée, assiégée, une population cloîtrée de peur des tirs de snipers…
Et il y a plus un mois que tout a commencé.
Aujourd’hui,la rébellion a accusé l’OTAN de laisser les gens mourir les gens de Misrata, alors que des bâteaux transportant armes et vivres pour les insurgés ont été bloqués par l’OTAN.
“L’OTAN ne nous a pas fourni ce que nous voulions a déclaré le chef militaire de la rébellion, le général Abdel Fattah Younés, ancien ministre de l’Intérieur de Kadhafi Si l’OTAN voulait libérer Misrata, il aurait pu le faire avant. Nous ne voulons pas bombarder car nous ne voulons pas tuer de civils. Si l’OTAN attend encore une semaine, il n’y aura plus de misrata, plus de civils. La population mourra et la communuaté internationale derait endosser la responsabilité d’un tel crime.”
Située à 200km à l’est de Tripoli, Misrata est coupée du monde depuis le début de la rébellion mi-février contre le régime de Kadhafi. Il n’y aurait plus d’eau, plus d‘électricité. Et les forces de kadhafi bombarderaient tous les jours la ville à l’artillerie lourde. Selon les insurgés, au moins 200 d’entres eux auraient déjà été tués.
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