Dans le cadre de la mise en œuvre des orientations du directeur général de la Police nationale, l'inspecteur général Mame Seydou Ndour, et de Mamadou Ndour, directeur du Groupement mobile d'intervention (GMI), le Groupe opérationnel de Dakar-banlieue, commandé par le commissaire Ousmane Dabo, a tenu une fête de fin d'année. Le dîner organisé par le GMI a été une occasion pour remettre des cadeaux aux enfants des policiers et communier avec les populations. C'était en présence du directeur du GMI, de son adjoint et de plusieurs personnalités.
"Dans notre plan stratégique de gouvernance du GMI, la quatrième orientation stratégique est le raffermissement des relations entre le GMI et les populations. Celles-ci étaient substantiellement détériorées et nous avons pensé nécessaire de les améliorer, parce que la police est au service de la nation", déclare le commissaire divisionnaire de classe exceptionnelle Mamadou Ndour.
Le patron du GMI prône une police inclusive pour améliorer les rapports avec les civils. "Nous avons un devoir de sécuriser les populations et les faire sentir que la police est là pour assurer leur sécurité physique et celle de leurs biens. Et c'est possible lorsqu'on met en place une police inclusive. Quand vous voulez apporter la sécurité à une personne, il faut l'impliquer dans la gestion de cette sécurité. Nous voulons une collaboration et une compréhension avec les populations. Nous nous inscrivons pour une police inclusive et proche des populations", conclut-il.
1 Commentaires
Oussou Mou Sell Mi
il y a 4 jours (17:15 PM)Je cite: " Celles-ci étaient substantiellement détériorées et nous avons pensé nécessaire de les améliorer,". Fin de citation
Il faut arrêter d'essayer de plaire au Prophète de sweet beauté. Vous pouvez être du pastef parti saaga et feinalatei mais ne réécrivez pas l'histoire. Ne la travestissez pas.
La police comme la gendarmerie ont fait face à des hordes de casseurs très violents. Et leurs réactions sont proportionnelles aux actes posés par les casseurs et pilleurs d'en face. Partout ailleurs dans les pays limitrophes on aurait compté les morts par milliers. L'image de ce policier que les manifestants du pastef voulait achever avec des briques est encore fraîche dans nos mémoires. Pour voir dans les choses plus clairement, il faut les prendre par le commencement. Et au début, il y a les appels répétés à l'insurrection de gorou adji
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