En 2019, la commune de Mbour a débarqué 138.000 tonnes de poulpes, soit une valeur commerciale estimée à plus de 53 milliards, représentant environ le tiers de la production nationale.
En 2016, la première vente de poulpe dans la région de Thiès est estimée à 5.097.304.920 francs pour 3.210 tonnes. En 2019, ce chiffre pour la même espèce a doublé et représente 10.445.880.000 francs pour un poids de 4.168 tonnes.
Ces chiffres réconfortent les autorités étatiques qui ont compris que le poulpe avait un impact réel sur l'économie nationale.
"L’immersion des vases à poulpe, initiée en 2004 à Nianing avec la coopération japonaise avec 25 pots au départ, s’est pérennisée grâce à une appropriation effective des acteurs du département regroupés au sein des Coordonnateurs de Conseils locaux de Pêche Artisanale (CLPA). L’espèce faisant l’objet de cette belle initiative a un cycle de vie court (12 à 14 mois au Sénégal), avec une croissance rapide et une mortalité post reproduction des mâles et des femelles", a assuré le ministre de la Pêche et de l'économie maritime, Alioune Ndoye. Il présidait, hier à Mbour, la cérémonie de remise de 10.000 pots à poulpes pour un coût total 10.000.000 Fcfa avec l'appui de l'Union européenne.
Selon le ministre Alioune Ndoye, "L'apport central de la pêche dans le renforcement de la sécurité alimentaire, la création de richesses et d’emplois et le développement économique et social du pays, n’est plus à démontrer".
Conscientes de la place privilégiée qu'occupe la pêche dans l’économie sénégalaise, les autorités se sont engagées depuis plusieurs années, vers de nouvelles approches d’aménagement des pêcheries.
Afin que la conservation et les aspects environnementaux soient bien pris en compte. D'ailleurs, le Sénégal a instauré une gouvernance locale à travers la cogestion des pêcheries avec l’implication de tous les acteurs, consacrée dans la loi 2015-18 du 13 juillet 2015 portant code de la pêche.
D'après le ministre, "La situation difficile que traversent certaines de nos pêcheries, plus ou moins caractérisée par une baisse des rendements des unités de pêche, un déficit d’approvisionnement des marchés locaux et des entreprises d’exportation interpellent tous les acteurs du secteur".
En 2016, la première vente de poulpe dans la région de Thiès est estimée à 5.097.304.920 francs pour 3.210 tonnes. En 2019, ce chiffre pour la même espèce a doublé et représente 10.445.880.000 francs pour un poids de 4.168 tonnes.
Ces chiffres réconfortent les autorités étatiques qui ont compris que le poulpe avait un impact réel sur l'économie nationale.
"L’immersion des vases à poulpe, initiée en 2004 à Nianing avec la coopération japonaise avec 25 pots au départ, s’est pérennisée grâce à une appropriation effective des acteurs du département regroupés au sein des Coordonnateurs de Conseils locaux de Pêche Artisanale (CLPA). L’espèce faisant l’objet de cette belle initiative a un cycle de vie court (12 à 14 mois au Sénégal), avec une croissance rapide et une mortalité post reproduction des mâles et des femelles", a assuré le ministre de la Pêche et de l'économie maritime, Alioune Ndoye. Il présidait, hier à Mbour, la cérémonie de remise de 10.000 pots à poulpes pour un coût total 10.000.000 Fcfa avec l'appui de l'Union européenne.
Selon le ministre Alioune Ndoye, "L'apport central de la pêche dans le renforcement de la sécurité alimentaire, la création de richesses et d’emplois et le développement économique et social du pays, n’est plus à démontrer".
Conscientes de la place privilégiée qu'occupe la pêche dans l’économie sénégalaise, les autorités se sont engagées depuis plusieurs années, vers de nouvelles approches d’aménagement des pêcheries.
Afin que la conservation et les aspects environnementaux soient bien pris en compte. D'ailleurs, le Sénégal a instauré une gouvernance locale à travers la cogestion des pêcheries avec l’implication de tous les acteurs, consacrée dans la loi 2015-18 du 13 juillet 2015 portant code de la pêche.
D'après le ministre, "La situation difficile que traversent certaines de nos pêcheries, plus ou moins caractérisée par une baisse des rendements des unités de pêche, un déficit d’approvisionnement des marchés locaux et des entreprises d’exportation interpellent tous les acteurs du secteur".
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