L’ONG Oxfam au Sénégal veut que l’Etat encadre davantage le secteur du numérique afin qu’il en tire plus de recettes fiscales. C’est dans ce cadre qu’elle a posé le débat en organisant un atelier de réflexions et d’échanges des acteurs sur la fiscalité du numérique au Sénégal. Il s’agit d’une rencontre de deux jours (du 10 au 11 novembre 2022) dont les ministères, les directions et agences étatiques concernés, le secteur privé, les organisations de la société civile, les médias, entre autres, ont tous pris pour cogiter et échanger leurs expériences sur cette importante thématique.
A l’occasion, Mme Zeynabou Coulibaly Diop, directrice des programmes et de l’influence à Oxfam Sénégal, a expliqué que l’ONG internationale a initié cette rencontre car elle estime que c’est une opportunité qui doit être saisie. L’objectif étant d’avoir des « pistes d’amélioration » de la fiscalité au Sénégal, elle renseigne que le recouvrement, au niveau national et local, pose « problème ».
De l’avis de la représentante de la directrice pays Oxfam Sénégal, le constat est qu’aujourd’hui, « tout le monde utilise le numérique pour créer et générer des activités génératrices de revenus, notamment le e-commerce. D’où la nécessité pour elle, d’encadrer le secteur afin que le pays puisse en tirer profit.
2 Commentaires
Xalas
En Novembre, 2022 (10:04 AM)En même temps vous eouvrez pour l'entreprenariat, vous ramez en sens inverse pour décourager l'entreprenariat des jeunes sénégalais.
Vous devez laisser ces jeunes grandire et là vous parlerez de fiscalité. Entre temps voyez comment impôser les multinationales en vente en ligne qui commercent avec les sénégalais (Netfilx, Ali baba, Amazone, Ali express...)
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