L’affaire opposant l’opérateur économique Bocar Samba Dieye à la CBAO connaît de nouveaux rebondissements. C’est dans ce contexte qu’un point de presse a été tenu, ce samedi 4 janvier 2024 par le concerné Bocar Samba Dieye et son porte -parole Famara Ibrahima Cissé pour apporter des clarifications.
En guise de rappel, selon Famara Ibrahima Cissé, président de l’ACSIF, il s’agit d’un contentieux juridico-financier qui oppose le sieur Bocar Samba Dieye à l’institution bancaire la CBAO. En effet, c’est sur la base d’une lettre de crédit fictive de 6 milliards 650 millions que les biens de Bocar Samba Dieye ont été saisis par la CBAO. Lorsque ce contentieux s’est avéré, la justice a commis un expert. Il rappelle que c’est le seul rapport d’expertise qui a été homologué par la justice. Cet expert a arrêté le compte qui était créditeur d’un peu plus de 879 millions. Autrement dit, c’est la CBAO qui doit de l’argent à Bocar Samba Dieye. Pourtant, les données scientifiques avancées par l’expertise homologuée par la justice attestent que la CBAO doit de l’argent à Bocar Samba Dieye. De plus, il affirme que le tribunal a décidé depuis 2008 jusqu'à nos jours, la CBAO doit dédommager Bocar Samba Dieye à hauteur d’un peu plus de 11 milliards. Par voie de conséquence, la Banque devait s’exécuter. Mais que nenni ! car cette décision de justice est inexécutable.
C’est dans cette logique qu’il interpelle les nouvelles autorités qui ont promis et qui ont été promus sur la base du JUB JUBAL JUBANTI. D’autant plus que la justice a sorti une décision pour demander à ce que cet opérateur soit dédommager à hauteur de 11 milliards. « Je pense qu’il s’agit aujourd’hui pour les nouvelles autorités de faire valoir ce JUBANTI et nous attendons ce JUBANTI. Des cris de détresse, des cris de justice pour Bocar Samba Dieye ont été lancés depuis leur installation et jusqu’à présent Bocar Samba Dieye qui a travaillé plus de 67 ans est dans l’attente. Il est vieux, il attend son argent », a -t-il lancé.
Prenant la parole, le plaignant Bocar Samba Dièye est revenu en détail sur cette problématique qui l’oppose à la CBAO. D’après lui, l’institution sait très bien qu’il ne leur doit rien, ne serait-ce que les 12 fois où il a gagné peut le prouver et il en bien les preuves. Il soutient que parmi toutes les banques où il a eu à collaborer, seule la CBAO reste un problème pour lui. Tout en soulignant que même la cour d’appel et la cour de cassation ont tranché en sa faveur mais qu’à chaque fois que le cas se présente, la CBAO fait un appel.
Toutefois, Bocar Samba Dieye a appelé la justice tout en interpellant le nouveau régime afin que ce problème soit résolu.
En guise de rappel, selon Famara Ibrahima Cissé, président de l’ACSIF, il s’agit d’un contentieux juridico-financier qui oppose le sieur Bocar Samba Dieye à l’institution bancaire la CBAO. En effet, c’est sur la base d’une lettre de crédit fictive de 6 milliards 650 millions que les biens de Bocar Samba Dieye ont été saisis par la CBAO. Lorsque ce contentieux s’est avéré, la justice a commis un expert. Il rappelle que c’est le seul rapport d’expertise qui a été homologué par la justice. Cet expert a arrêté le compte qui était créditeur d’un peu plus de 879 millions. Autrement dit, c’est la CBAO qui doit de l’argent à Bocar Samba Dieye. Pourtant, les données scientifiques avancées par l’expertise homologuée par la justice attestent que la CBAO doit de l’argent à Bocar Samba Dieye. De plus, il affirme que le tribunal a décidé depuis 2008 jusqu'à nos jours, la CBAO doit dédommager Bocar Samba Dieye à hauteur d’un peu plus de 11 milliards. Par voie de conséquence, la Banque devait s’exécuter. Mais que nenni ! car cette décision de justice est inexécutable.
C’est dans cette logique qu’il interpelle les nouvelles autorités qui ont promis et qui ont été promus sur la base du JUB JUBAL JUBANTI. D’autant plus que la justice a sorti une décision pour demander à ce que cet opérateur soit dédommager à hauteur de 11 milliards. « Je pense qu’il s’agit aujourd’hui pour les nouvelles autorités de faire valoir ce JUBANTI et nous attendons ce JUBANTI. Des cris de détresse, des cris de justice pour Bocar Samba Dieye ont été lancés depuis leur installation et jusqu’à présent Bocar Samba Dieye qui a travaillé plus de 67 ans est dans l’attente. Il est vieux, il attend son argent », a -t-il lancé.
Prenant la parole, le plaignant Bocar Samba Dièye est revenu en détail sur cette problématique qui l’oppose à la CBAO. D’après lui, l’institution sait très bien qu’il ne leur doit rien, ne serait-ce que les 12 fois où il a gagné peut le prouver et il en bien les preuves. Il soutient que parmi toutes les banques où il a eu à collaborer, seule la CBAO reste un problème pour lui. Tout en soulignant que même la cour d’appel et la cour de cassation ont tranché en sa faveur mais qu’à chaque fois que le cas se présente, la CBAO fait un appel.
Toutefois, Bocar Samba Dieye a appelé la justice tout en interpellant le nouveau régime afin que ce problème soit résolu.
20 Commentaires
Scandaleux
il y a 2 jours (08:40 AM)Scandaleux
il y a 2 jours (08:40 AM)Reply_author
il y a 2 jours (14:45 PM)Reply_author
il y a 2 jours (16:02 PM)Reply_author
il y a 2 jours (16:03 PM)Reply_author
il y a 2 jours (09:30 AM)Reply_author
il y a 2 jours (09:20 AM)Les grandes compagnies ont horreur de cette forme de pression, cela renvoie une mauvaise image de leurs compagnie dans le monde.
Que la societé civile, et les acteurs politiques se mettent en ordre de bataille pour faire rejeter ces miserables 10% que l'etat recoit (ou pas) des diferentes bcompagnies minieres et petro-gazieres
Patriote Forever
il y a 2 jours (08:57 AM)Le Témoin
il y a 2 jours (09:17 AM)Reply_author
il y a 2 jours (11:04 AM)Musa
il y a 2 jours (09:26 AM)S'il n'était pas allé vers eux ou répondu à leur invitation il n'en serait jamais là.La banque 🏦 est une pareille à une compagnie de pêche 🎣 industrielle quand elle fait une grosse prise pauvre de la cétacé.
Tous ceux qui vivent l'enfer sur le plan des affaires ont vécu une lune 🌙🌒 de miel qui est devenue un cauchemar avec les banques.
Un usurier n'a pas d'état d'âme.
Day
il y a 2 jours (10:16 AM)Pour toi la justice ne fait pas parti de l'Etat ?
Scandaleux Il Y A 4 Heures (08
il y a 2 jours (12:22 PM)La leçon à retenir:
Un bon entrepreneur ou un grand homme d'affaires doit s'instruire ou de recruter des spécialistes de la gestion et du management. On peut être très fort dans l'achat et la vente mais ne rien savoir comment créer une entreprise et tout ce qui suit.
Youssou Ndour est un bon modèle dans ce domaine, non seulement il s'est instruit et a subit des formations mais il a envoyé ses enfants dans les grandes écoles pour revenir le soutenir dans ses entreprises. Youssou Ndour n'aura jamais ce genre de contentieux avec une banque parce qu'il est entouré de bonnes personnes, parmi les meilleures dans leurs domaines.
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il y a 2 jours (14:11 PM)Récemment, le gouvernement du Sénégal s’est montré entreprenant envers la diaspora qu’il sollicite pour un emprunt afin de développer le pays. Le cas de ce vieux «travailleur» qu’est Monsieur Bocar Samba DIEW reste, pour moi, le premier frein pour croire en cet appel au patriotisme. Jamais je ne mettrais mes économies entre les mains de gouvernants incapables de faire appliquer une décision de justice. Quand je place mon argent, honnêtement gagné, je veux de vraies garanties.
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