Soixante-dix pour cent des pertes économiques sont occasionnées par les sécheresses et les inondations, et 80 % des décès liés aux catastrophes, indique un rapport sur la nature et l’adaptation au changement climatique intitulé «Solutions basées sur la nature pour l’adaptation climatique en Afrique».
Selon le quotidien «Kritik’», la cheffe de Division des analyses politiques au Centre des ressources naturelles, Vanessa Ushie, affirme que la Banque africaine de développement a donné la priorité au financement de l’adaptation, dans son action climatique et son soutien aux pays membres régionaux en Afrique.
«Nous sommes la seule banque à atteindre la parité dans le financement de l’adaptation au climat et l’atténuation depuis 2018», a-t-elle soutenu.
Ledit rapport a souligné que les économies africaines continuent de faire preuve de résilience et de ténacité dans l’adaptation aux chocs, y compris ceux dus aux impacts du changement climatique et aggravés par la Covid-19.
Ainsi, ledit document a rapporté que des initiatives louables sont en cours, telles que la plus grande centrale solaire de la planète, la grande muraille verte et la construction de la centrale de Ouarzazate.
De plus, le rapport note qu’il faudrait environ 3 000 milliards de dollars Us d’investissement dans les 30 prochaines années, pour réduire le niveau de pollution, d’ici 2050.
Toutefois, les auteurs dudit rapport ont estimé que l’Afrique a besoin de 259 à 407 millions de dollars Us pour s’adapter au changement climatique, entre 2020 et 2030.
Selon le quotidien «Kritik’», la cheffe de Division des analyses politiques au Centre des ressources naturelles, Vanessa Ushie, affirme que la Banque africaine de développement a donné la priorité au financement de l’adaptation, dans son action climatique et son soutien aux pays membres régionaux en Afrique.
«Nous sommes la seule banque à atteindre la parité dans le financement de l’adaptation au climat et l’atténuation depuis 2018», a-t-elle soutenu.
Ledit rapport a souligné que les économies africaines continuent de faire preuve de résilience et de ténacité dans l’adaptation aux chocs, y compris ceux dus aux impacts du changement climatique et aggravés par la Covid-19.
Ainsi, ledit document a rapporté que des initiatives louables sont en cours, telles que la plus grande centrale solaire de la planète, la grande muraille verte et la construction de la centrale de Ouarzazate.
De plus, le rapport note qu’il faudrait environ 3 000 milliards de dollars Us d’investissement dans les 30 prochaines années, pour réduire le niveau de pollution, d’ici 2050.
Toutefois, les auteurs dudit rapport ont estimé que l’Afrique a besoin de 259 à 407 millions de dollars Us pour s’adapter au changement climatique, entre 2020 et 2030.
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