Quinze structures de santé identifiées par le ministère de la Santé et de l'action sociale (MSAS) ont été capacitées sur le suivi évaluation du système de gestion en santé sécurité et travail. Ce besoin de formation s'explique du fait que le travail décent est une priorité générale au niveau des infrastructures sanitaires du Pays. Surtout qu'avec l'apparition de la pandémie à Covid-19, le personnel de santé a payé un lourd tribut.
"Plus de 100 agents avaient été contaminés à travers le territoire national sans compter les agents de surface. Et, quelques uns ont perdu la vie. C'est extrêmement douloureux", a regretté Bara Diop, chef de division DRH au MSAS.
Ce besoin s'est fait le plus sentir, insiste-t-il "avec ce que nous avons vécu dernièrement à Linguère, à Tivaouane et à Louga également. Aujourd'hui, nous sommes ici pour travailler pour améliorer les conditions de travail. Que les agents de santé puissent travailler en toute sécurité que ce soit dans les postes de santé, les centres de santé, les centres hospitaliers et cliniques. Nous avons formé beaucoup d'acteurs qui sont au niveau de 4 structures santé".
Le ministère, conscient qu'il y aura toujours des pandémies, des épidémies..., veut prendre toutes les dispositions nécessaires en mettant en place un dispositif de résilience.
"Nous ferons toujours face au danger. C'est pourquoi aujourd'hui nous avons engagé ce processus de formation et de mise à disposition de toutes ces structures sanitaires de dispositifs qui puissent permettre d'être plus résilient face aux dangers qui nous guettent", a expliqué Bara Diop.
En ce sens, des comités d'hygiène et de sécurité sont mises en place pour éviter et prévenir toutes ces difficultés qui arrivent très souvent dans les structures hospitalières.
"Plus de 100 agents avaient été contaminés à travers le territoire national sans compter les agents de surface. Et, quelques uns ont perdu la vie. C'est extrêmement douloureux", a regretté Bara Diop, chef de division DRH au MSAS.
Ce besoin s'est fait le plus sentir, insiste-t-il "avec ce que nous avons vécu dernièrement à Linguère, à Tivaouane et à Louga également. Aujourd'hui, nous sommes ici pour travailler pour améliorer les conditions de travail. Que les agents de santé puissent travailler en toute sécurité que ce soit dans les postes de santé, les centres de santé, les centres hospitaliers et cliniques. Nous avons formé beaucoup d'acteurs qui sont au niveau de 4 structures santé".
Le ministère, conscient qu'il y aura toujours des pandémies, des épidémies..., veut prendre toutes les dispositions nécessaires en mettant en place un dispositif de résilience.
"Nous ferons toujours face au danger. C'est pourquoi aujourd'hui nous avons engagé ce processus de formation et de mise à disposition de toutes ces structures sanitaires de dispositifs qui puissent permettre d'être plus résilient face aux dangers qui nous guettent", a expliqué Bara Diop.
En ce sens, des comités d'hygiène et de sécurité sont mises en place pour éviter et prévenir toutes ces difficultés qui arrivent très souvent dans les structures hospitalières.
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