La cohabitation entre le marché et le centre de santé de Mbour n’est pas du goût des blouses blanches. A cause des opérations commerciales et financières aux alentours du centre de soins, le personnel de santé manifeste contre l’occupation anarchique de la devanture de leur lieu de travail, par les marchands.
A travers un sit-in, les travailleurs de 32 postes de santé que polarise le district sanitaire, ont interrompu pendant quelques heures le travail pour prêter main-forte à leurs camarades qui crient leur ras-le-bol.
Ce qu’ils ne digèrent pas, c’est la présence des marchands qui étalent leurs produits jusque devant l’entrée de la structure de santé, ce qui perturbe fortement le mouvement des ambulances et rend l’accès difficile pour les usagers qui sont souvent dans une situation d’urgence de soins.
L’environnement est devenu invivable pour les malades et le personnel soignant, avec le concert de casseroles, les marchandages bruyants, alors que le repos constitue une part essentielle de la prise en charge des malades. Même le personnel de santé est souvent victime d’acharnement des occupants qui le prennent pour cible, quand ils essaient d’intervenir pour faciliter l’accès aux malades, rapporte «Le Quotidien».
«En tant que syndicat de développement, nous avions adressé une lettre d’information à l’autorité, datée du 5 novembre 2021, et nous nous félicitons de sa réaction d’envoyer des forces de défense et de sécurité pour déguerpir les occupants qui, pourtant, reviennent dès que la police quitte les lieux», avance le secrétaire général de la sous-section Unsas du district de Mbour, Dame Seck, pour justifier leur colère.
En tout cas, les travailleurs demandent au maire et au préfet de résoudre définitivement ce problème. Sinon, ils se disent prêts à paralyser le système.
A travers un sit-in, les travailleurs de 32 postes de santé que polarise le district sanitaire, ont interrompu pendant quelques heures le travail pour prêter main-forte à leurs camarades qui crient leur ras-le-bol.
Ce qu’ils ne digèrent pas, c’est la présence des marchands qui étalent leurs produits jusque devant l’entrée de la structure de santé, ce qui perturbe fortement le mouvement des ambulances et rend l’accès difficile pour les usagers qui sont souvent dans une situation d’urgence de soins.
L’environnement est devenu invivable pour les malades et le personnel soignant, avec le concert de casseroles, les marchandages bruyants, alors que le repos constitue une part essentielle de la prise en charge des malades. Même le personnel de santé est souvent victime d’acharnement des occupants qui le prennent pour cible, quand ils essaient d’intervenir pour faciliter l’accès aux malades, rapporte «Le Quotidien».
«En tant que syndicat de développement, nous avions adressé une lettre d’information à l’autorité, datée du 5 novembre 2021, et nous nous félicitons de sa réaction d’envoyer des forces de défense et de sécurité pour déguerpir les occupants qui, pourtant, reviennent dès que la police quitte les lieux», avance le secrétaire général de la sous-section Unsas du district de Mbour, Dame Seck, pour justifier leur colère.
En tout cas, les travailleurs demandent au maire et au préfet de résoudre définitivement ce problème. Sinon, ils se disent prêts à paralyser le système.
9 Commentaires
Tk
En Novembre, 2021 (19:30 PM)Diop Ndiaye
En Novembre, 2021 (19:37 PM)Reply_author
En Novembre, 2021 (22:00 PM)Jimi Free
En Novembre, 2021 (21:09 PM)Participer à la Discussion