Le nouveau Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, va s’adresser à la Nation ce mercredi 3 avril, veille de la célébration de la fête de l’Indépendance. L'allocution sera diffusée sur la RTS à 20 heures.
M. Faye a été installé hier dans ses nouvelles fonctions lors d’une cérémonie d'investiture qui s’est déroulée à Diamniadio.
M. Faye a été installé hier dans ses nouvelles fonctions lors d’une cérémonie d'investiture qui s’est déroulée à Diamniadio.
11 Commentaires
Elle a quitté le régime sortant après n'avoir pas eu le poste qu'elle voulait
Moytoulene ko sinon vous allez le regretter
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En Avril, 2024 (15:50 PM)Il faut dire le président de la République ou son excellence monsieur le président de la République
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En Avril, 2024 (17:36 PM)Reply_author
En Avril, 2024 (18:43 PM)Elle s'est battue corps et ame pour le depart de Macky Sall.
Qauand aux gens du systeme, ils essayent de detruire son image.
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En Avril, 2024 (19:43 PM)Sankara
En Avril, 2024 (15:49 PM)Reply_author
En Avril, 2024 (16:57 PM)Dd
En Avril, 2024 (15:54 PM)Perso j'aimerai voir mimi car jusqu'ici il n'a pas integrer une bonne équipe pour travailler.
C'est comme si sit construit une belle maison(les ministres et députés ou directeur etc..) à 7 étage et sur le toit(president macki sall) il ya des trous quant il pleut tout le reste sera trempé.
Cette fois ci mimi a un bon toit donc pourra mettre en pratique son intelligence.
Avant cela je voudrai qu'il nous présente le bilan de sa gestion à l'assemblée nationale.
Est ce que ce nouveau habit d'opposant n'est il pas un moyen de se protéger sous le maneau d'opposant pour ne pas répondre de sa gestion.
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En Avril, 2024 (17:00 PM)Usa
En Avril, 2024 (16:11 PM)Reply_author
En Avril, 2024 (16:16 PM)Les nouveaux dirigeants doivent faire face à de multiples défis, pressions et demandes du peuple qui fonde son espoir d’une vie meilleure.
Pour relever ces défis il faut commencer par faire l’état des lieux avec un point de référence (Baseline) pour informer le peuple dans la transparence. L’état des lieux ne sera peut-être pas reluisant au plan financier et économique. Cela passe par un audit économique et financier.
D’abord la dette publique dont on dit qu’elle représente 70% du PIB semble tourner autour de 110% du PIB actuel du pays. L’état des lieux pourrait nous édifier sur le pourcentage réel. L’évaluation actualisée semble avoir fait l’impasse sur de nombreux éléments mis sous silence.
Le mois de Mars les salaires ont été payés assez rapidement pour donner bonne impression et quand les nouveaux dirigeants auront à faire face à des tensions de salaires voir des difficultés à payer les salaires le peuple va commencer à se poser des questions sur leurs choix. C’est le cadeau empoisonné laissé aux nouveaux dirigeants malgré les déclarations tonitruantes de l’actuel ministre des finances qui vantait ses prouesses et capacités à mobiliser des fonds et à remplir les caisses du pays
Pour faire face après un état des lieux précis et transparent partagé avec la population, il faut immédiatement engager la confiscation- restitution des fonds détournés. Les fonds détournés sont si importants qu’ils pourraient abaisser le cout de la vie sur les 2 prochaines années au moins. Cette action ne pourrait être considérée comme une vengeance et chaque citoyen doit s’y impliquer pour dénoncer les détournements dont ils ont connaissance pour assurer une meilleure vie.
Avec les services de contrôle, une bonne moisson pourrait être faite. N’oublions pas les coffres forts qui font dire à certains qu’ils peuvent dormir maintenant. Leurs sommeils risquent d’être perturbées.
Si j’avais à faire la récupération, j’offrirais des primes aux dénonciateurs proportionnelles aux montants recouvrées.
A côté de ces initiatives économiques il faudra assainir les collaborations à un niveau plus général.
A propos des pôles de gauche qui s’agitent, ils doivent aller à la retraite comme les barons socialistes et APR. Le pôle de gauche n’a jamais dépassé 1% aux élections présidentielles depuis les indépendances. Dans la recherche et non la lutte pour le grand soir ils se sont noyés dans la sauce libérale nourris et blanchis par des rentes à des soi-disant partis qui ne regroupaient que des barons et quelques laudateurs qui reçoivent un quota financier tous les mois pour leurs familles et leurs cours.
Au même titre ils doivent aller à la retraite et ne devront plus bénéficier de rentes. S’ils veulent conseiller ils sont les bienvenus mais à leurs frais sans aucune rémunération.
Les contrats des retraités doivent cesser immédiatement pour libérer des milliers de postes ouverts à la compétition pour des jeunes diplômés.
Parlant de retraités, la catégorie qui me sidère le plus ce sont ces syndicalistes retraités au lieu de se reposer ou diriger des syndicats de retraités continues de diriger des syndicats de salariés actifs pour se remplir les poches avec les check off etc… Il doit être dit qu’un retraité ne peut plus diriger des unions de syndicats dont les membres ne sont pas des retraités.
Enfin récupérer les argents détournés par des individus en position de pouvoir arès une procédure valable ce n'est pas de la vengence.
LE MAL DU LAUDATEUR
Je suis aussi sénégalais. Cela me confère-t-il un droit ? Au moins celui de m’intéresser à mon pays. Pour cette raison, j’ai voulu partager ma réflexion sur ce bien commun que nous avons et qui s’appelle Nation. Ce bien vient de traverser une décennie assez trouble et qui, pourtant était partie sur une note d’espoir.
En 2012, mon peuple, se voulant libre dans ses choix et féru de liberté, a fait confiance à un de ses fils : Macky Sall. Ce n’était pas pour ses beaux yeux mais pour des promesses faites et peut-être même de bonne foi. Je commencerai par préciser que je n’ai jamais été pro-Macky, d’ailleurs je ne serai jamais pro de qui que ce soit, je n’adhère qu’à des idées et rien de plus. Il faut dire que nous avons connu deux facettes de l’homme politique Macky Sall : celle du début, d’une intelligence politique, d’une persévérance et d’une résilience remarquable puis celle qui, progressivement a pris le pas et a vu le pays sombrer dans une situation indescriptible de chaos et de dérapage dans une boulimie de confiscation des libertés et de la démocratie. Jusqu’ici, personne ne peut me reprocher de dire des inepties car Macky a été bien élu et le peuple a dansé de joie un soir de 2012. Macky avait alors renvoyé les Idy, Pape Diop et Wade revoir leurs gammes, comme un vrai grand. Il a été magistral. Ce qu’il est devenu a été bien autre chose et il faudrait essayer de percer le mystère, savoir comment on en arrive à pareil décadence.
L’intelligence et la clairvoyance ne vous quittent pas du jour au lendemain sans raison. Il faut qu’un élément vienne perturber le référentiel dans lequel vous évoluez pour que les changements s’opèrent. Je reste persuadé que la cause est à chercher dans son entourage, ses conseillers mais aussi dans ses propres calculs pour s’éterniser au pouvoir. Il aurait peut-être suffit qu’un seul de ceux qui avaient son oreille lui rappela que la confiance qui lui était accordée était au mieux sur deux périodes successives de cinq ans et qu’il fallait soigner sa sortie qui pouvait être géniale, historique. Il n’a pas eu cette chance car la cour de laudateurs s’est vite tissée autour de lui et il se voyait beau, fort, indestructible parce qu’on le lui faisait croire. Il est difficile de dire qu’il n’a pas travaillé mais il est tout aussi honnête de dire qu’il n’a pas honoré le contrat qui le liait à la Nation : préserver l’unité et donner espoir à tous les sénégalais, quel que soient leurs rangs. Pour cela, il peut avoir un regret.
Diomaye et Sonko sont aujourd’hui dans la même situation que Macky en 2021. Ils ont quelque chose en plus : s’ils déçoivent, ils créent un point de rebroussement et on ne le leur pardonnera jamais. A eux deux, ils ont une intelligence et une clairvoyance double, l’avantage de pouvoir se servir des écueils de leur prédécesseur. Ils ont été élus sur la base d’un projet, qu’ils s’en tiennent à cela et rien qu’à cela. Ils ont promis de s’entourer d’hommes et de femmes de valeurs et de vertu, qu’ils soient fidèles à leur promesse et l’histoire les rendra immortels, sinon ils enterreront leur Nation. J’ai envie de leur faire confiance, de leur laisser du temps mais pas toute une vie. Tout ça pour que le Sénégal triomphe et relève la tête. Quand je dis Sénégal, je pense surtout aux enfants d’aujourd’hui et de demain.
Bien fait pour tous les partis yobalema qui souhaitaient un second tour pour négocier des postes et vivre sur le dos du contribuable. Merci Sonko de jeter Maquis Sale , pire que Hitler et le nazisme, le criminel, l’assassin de plus de 80 sénégalais, l’auteur matériel et intellectuel de milliers de blessés, l’ethniciste, le destructeur d’entreprise, le pilleur de l’économie nationale, le casseur de l’unité nationale, le premier pilleur de la nation, le locataire au patrimoine de 8 milliards en 2012, hors du palais.
Pas de pitié pour les criminels de l’APR . Enterrons la loi d’amnistie et soyons impitoyables à l’endroit de tous les complices de Maquis Sale : Ministres Antoine Diome impliqué dans toutes les liquidations politiques de Karim à Khalifa en passant par Sonko, Ismaila Madior, Sidiki Kaba, Général Moussa Fall et tous les complices de la gendarmerie, le préfet Alioune Badara Sall ex préfet de Dakar, sous-préfet Diallo de dakar plateau, bref, tous les gouverneurs, prefets et sous préfets, commissaire Sankharé, Maham Diallo, les membres de la cour suprême dont le nouveau Abdoulaye Ndiaye promu pour avoir invalidé la candidature de Sonko, le Directeur général des élections, le procureur Abdou Karim Diop, Thiendella Fall, grand propriétaire foncier à Guédiawaye et ses complices du Ministère de l’Intérieur qui ont rejeté la candidature de Sonko, le maire de Mbour Cheikh Issa Sall, DG de la caisse de dépôts, Adji Sarr, les détourneurs des 1000 milliards du Fonds COVID, Me Elhadji Diouf, Cheikh Yérim Seck, Gabrielle kane, moustapha diakhaté, Adji Sarr, Serigne bassirou gueye, Ismaila madior Fall, Moustapha diakahaté,l’âne « Mbaam » Mbaye PRODAC 35 milliards Niang, Mamour 94 milliards Diallo, Madambal les testicules couilles Diagne, Me Elhadji Diouf, Ameth Suzane camara, les complices de la RTS, Babacar Diagne Farba Ngom, le faux Major Kandji mineur , le trafiquant et ex-commissaire Keita radié , Seydina Fall Bougazelli trafiquant de faux-billets, les députés Sall et Biaye trafiquants de passeports diplomatiques, Lat Diop, Amadou Ba, Aliou Sall, etc. Les policiers, gendarmes, hommes de justice impliqués dans la maltraitance , l’élimination de Sonko, doivent payer. On n oubliera jamais, la casse des vitres de sa voiture, le blocus de son domicile.
Vivement un état des lieux de la gestion de Maquis avec reddition des comptes
Sonko , Bassirou, n’accueillez aucun transhumant et soyez impitoyables à l’endroit des coupables.
Soyez plus gentlemen que Maquis Sale qui a fait venir ses militants pour huer Wade lors de la passation de pouvoirs.
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