Pendant longtemps, il a été reproché au
Deuxième personnage de la République de ne pas se prononcer devant les
urgences de l’heure. Aujourd’hui, Moustapha Niasse a décidé de rompre le
silence, mais de le faire à sa manière. Le président de l’Assemblée
nationale se prononce au lendemain du Groupe consultatif qui a vu le
Sénégal obtenir des résultats au-delà de ce qu’il espérait en termes
d’engagements des bailleurs de fonds. Moustapha Niasse donne ici les
raisons pour lesquelles il faut «soutenir le Sénégal émergent, une
révolution pacifique, économique, sociale et culturelle», titre de
l’article d’Opinion qu’il nous a fait transmettre. Il souligne que,
«pour la première fois, toutes les conditions sont en train d’être
réunies pour conquérir l’émergence économique».
Et c’est aussi au
lendemain de l’appel du chef de l’Etat au travail et à la lutte contre
la corruption que Niasse, à son tour, estime que «le moment est venu de
nous faire violence, de taire les bavardages inutiles et de nous
concentrer sur l’essentiel». Sans doute, l’allié de Macky Sall dans
Benno bokk yaakaar répond à ceux qui lui reprochent son silence sur
certaines questions qui font débat. Mais pour le leader de l’Afp, «rien
du tout ne se fait dans la cacophonie, le règne de la doxa et l’empire
de la rumeur», car «la course effrénée au scoop, au buzz, au
sensationnel altère très sérieusement les capacités d’analyse
rationnelle».
Si pour Moustapha Niasse, «il y a des moments où il
est urgent de ‘’faire silence par le verbe’’», il estime tout de même
que pour les propositions de la Cnri, le chef de l’Etat «verra celles
qui, correspondant aux urgences nationales, seront retenues et
programmées en vue de leur application pratique, (…). D’autres seront
programmées dans le futur. D’autres attendront d’autres temps». Voici
son message à la Nation du 1er mars :
«Rien de grand ne se fait sans passion», dit le Philosophe.
Une passion saine et puissante qui pousse au dépassement dans l’action au service d’une cause noble et sublime, celle de la patrie.
Mais rien, rien du tout, ne se fait tout simplement dans la cacophonie, le règne de la doxa et l’empire de la rumeur.
Malheureusement dans la société de l’information en continu, qui étale ses tentacules sur toute la planète, la course effrénée au scoop, au buzz, au sensationnel, altère souvent et très sérieusement les capacités d’analyse rationnelle et de réflexion indispensables pour qui veut agir efficacement et de manière responsable.
La petite expérience qui est la mienne, et la place que j’occupe au niveau des Institutions républicaines m’imposent de privilégier l’action discrète et d’user avec parcimonie de la parole publique. Cependant, il y a des moments où il est urgent de «faire silence par le verbe». C’est pourquoi, nous avons pris la plume pour partager quelques réflexions sur la situation nationale actuelle.
La démocratie sénégalaise a atteint une maturité reconnue comme telle aussi bien à l’intérieur de nos frontières qu’au-delà. C’est là un réel motif de satisfaction, mais aussi et surtout, un défi moral et politique que nous devons relever, en continuant à renforcer les piliers du système, à favoriser des pratiques saines et responsables, dans la liberté de tous et de chacun. Bref, nous devons avoir la claire conscience que la démocratie est une création continue, une œuvre jamais achevée, qui vaut cependant tous les efforts, tous les sacrifices consentis pour en arriver là où nous sommes, respectés et cités en référence non seulement en Afrique, mais dans le monde entier.
Notre responsabilité est particulière, elle est essentielle au vu des enjeux politiques, nationaux, sous-régionaux, continentaux et mondiaux. Le Sénégal, plus qu’une vitrine, est aujourd’hui une référence en matière de vitalité démocratique et à juste raison. C’est que notre histoire politique en a apporté des illustrations remarquables. Aujourd’hui, alors que la deuxième alternance, accomplie dans un contexte historique singulier, va bientôt boucler ses deux premières années, il y a tout lieu de se réjouir des efforts déployés et des résultats tangibles qui permettent de nourrir un réel espoir pour tout le pays, et notamment les jeunes qui constituent l’immense majorité de la population.
Les prouesses réussies et les actes posés par le Président Macky Sall et son gouvernement sont dignes d’être salués dans un premier temps, pour stabiliser économiquement et donc politiquement le pays à la suite du lourd héritage laissé par le régime précédent. Ce sont là des signaux qui incitent à l’optimisme et à la mobilisation de tous.
Il ne s’agit pas de refaire l’histoire, mais de pointer du doigt les tendances lourdes qui étaient catastrophiques avant le 25 mars 2012. Ce travail, qui peut paraître fastidieux, était nécessaire et il a été mené avec courage et détermination. Il a été couronné de succès ; même si la dynamique enclenchée doit être renforcée dans la nouvelle phase qui s’ouvre maintenant. Car après la stabilisation, il faut un second temps, pour relancer et pousser la machine économique à plein régime.
Les voyages mémorables que vient d’effectuer le président de la République en Chine et en France pour le Groupe consultatif ont permis d’obtenir, de nos partenaires, des engagements d’environ 6 000 milliards de francs Cfa (du jamais vu) pour financer des centaines de projets dans de nombreux domaines, notamment ceux qui touchent à des choix structurants pour l’économie nationale. Pour susciter et maintenir la flamme de l’espoir, avec les réalisations concrètes qui vont favoriser l’emploi massif des jeunes dans les villes et les campagnes. Cet effort récompensé est le fruit d’un long travail méthodique et professionnel mené de main de maître par un Président totalement dévoué à la cause nationale. Nous qui l’avons soutenu sans réserve, et qui continuons de le faire avec une sincérité totale et un engagement rigoureux, savons qu’il a conscience de ses responsabilités et se donne tous les moyens pour réussir pour le Sénégal. Son slogan «la Patrie avant le Parti», il le vit pleinement, montrant au pays tout entier, un exemple de leadership courageux, lucide et pleinement assumé. Il ne sera pas seul dans ce combat, dans cette croisade contre la pauvreté, le sous-équipement, la précarité et la malgouvernance.
Si l’Assemblée nationale est autonome, elle est aussi le lieu d’une synergie indispensable entre l’Exécutif et la majorité parlementaire qui le soutient en toute démocratie. L’opposition parlementaire est respectée et a toute latitude de s’exprimer librement, de participer au débat, et même de le susciter si nécessaire.
Nous sommes donc dans notre rôle en magnifiant le travail exceptionnel réalisé par le chef de l’Etat pour toute la Nation.
Il s’agit bien d’une démarche citoyenne, mais aussi celle d’un allié identifié et reconnu comme tel.
Mais la distance indispensable pour le contrôle de l’action gouvernementale s’impose à chaque fois que nécessaire, et cela coule de source, comme c’est le cas dans tous les parlements des pays démocratiques. Ce qui n’exclut ni les débats virils ni les concertations pertinentes. Qui dit démocratie, dit échanges, joutes oratoires, engagements citoyens, et compromis dynamiques pour que vivent et se consolident l’exception sénégalaise et le modèle qu’elle induit.
Récemment, tous les regards s’étaient tournés vers le Congrès des Etats-Unis d’Amérique avec le débat budgétaire. Le sort de l’économie mondiale était en jeu, et malgré les tensions, voire les invectives, le bon sens a fini par l’emporter. Ce fut un exemple de vitalité démocratique qui, même dans ses débordements, impose le respect.
Notre pays, avec le Président Macky Sall, vient de franchir un cap important, confirmant, s’il le fallait, le niveau de crédibilité atteint et la fiabilité des projets ficelés et celle des perspectives tracées, avec le soutien mérité de la communauté internationale et des partenaires au développement.
Le monde d’aujourd’hui est un village planétaire.
Ni le Sénégal ni les Sénégalais ne peuvent l’oublier.
Les Africains qui engagent des efforts de recherche pour assurer leur propre sécurité, en tant que Nation ainsi que leur bien-être, et qui s’organisent dans des espaces interconnectés, aspirent à se retrouver en harmonie avec l’histoire, la culture et avec les évènements qui marquent la vie de tous les peuples.
Les Africains, aujourd’hui plus que jamais, doivent s’attacher à maîtriser, dans la concertation, les phénomènes qui viennent s’imposer aux peuples du monde moderne. Cette réalité et cette ambition trouvent leur source dans la Charte de Soundjata Keïta, la charte du Mandé, élaborée et promulguée en 1236 après Jésus-Christ. Il est reconnu aujourd’hui que cette Charte du Mandé est une source permanente d’inspiration. Le travail qui vient d’être accompli par la Commission nationale de réforme des institutions (Cnri), sous la conduite du président Amadou Makhtar Mbow, est l’une des plus récentes illustrations de création des bases les plus convenables, pour l’organisation et le fonctionnement d’une communauté africaine. Cette initiative historique est le mérite du chef de l’Etat sénégalais, M. le Président Macky Sall, qui vient de recevoir le rapport de cette Commission, contenant de multiples propositions et un projet de Constitution, fruit d’un travail mené pendant plusieurs mois.
Il ne s’agit, il faut le rappeler, que de propositions. Le chef de l’Etat, qui définit la politique de la Nation, conformément à l’esprit et à la lettre de la Constitution, Loi fondamentale de notre pays, après avoir pris connaissance de ces propositions, verra celles qui, correspondant aux urgences nationales, seront retenues et programmées en vue de leur application pratique, dans le cadre du train de réformes qui sera le soubassement du Sénégal émergent.
D’autres seront programmés dans le futur.
D’autres, enfin, attendront d’autres temps.
Nous avons opté librement, c’est connu et reconnu, pour soutenir le Président Macky Sall. Ce qui vient de se passer à Pékin puis à Paris méritait d’être salué et mis en exergue.
Nous continuerons de le soutenir, le chef de l’Etat, volontairement et lucidement, car il y va, selon nous, de la sécurisation de l’avenir du Sénégal, avec l’aide de Dieu, le Tout Puissant.
Notre pays aspire à l’excellence dans tous les domaines et a fait la preuve que la démocratie a fait des bonds de géants en Afrique, malgré les insuffisances qu’on peut noter çà et là. C’est l’essence même de la démocratie que de progresser, de conquérir de nouveaux espaces de liberté et d’épanouissement individuel et collectif. Il n’y a cependant pas de liberté authentique sans responsabilité, et cela est valable pour tous les acteurs de la vie nationale. Plus le rôle que l’on joue est sensible, important, voire majeur, plus l’exigence de responsabilité doit être élevée. Nous sommes à une étape cruciale de notre histoire nationale. Pour la première fois, toutes les conditions sont en train d’être réunies pour conquérir l’émergence économique. La confiance des partenaires n’a jamais été plus grande, les financements consentis aussi importants et les projets élaborés dans les secteurs clés de l’agriculture, de l’industrie, des infrastructures, du tourisme, de l’énergie, de l’éducation, de la santé et des mines, aussi structurants parce que bien pensés et ficelés.
Le reste, tout le reste relève de nous-mêmes, de nos comportements, pour tuer notre penchant à la facilité, au manque de rigueur. Le moment est venu de nous faire violence, de taire les bavardages inutiles et de nous concentrer sur l’essentiel, comme nous y convie le président de la République que nous avons choisi, encore une fois, dans une totale liberté de jugement et dans un engagement sans équivoque.
Nul ne peut ni ne doit avoir une quelconque conviction l’amenant à s’ériger en donneur de leçons.
L’être humain est faillible. Tout être humain l’est. C’est précisément la raison pour laquelle les idées, les projets et les actions, dans une situation donnée, portent une certaine relativité par rapport à l’absolu. De par leur culture démocratique, véritable patrimoine national, les Sénégalais ne devraient pas être concernés par ce constat dramatique du Prix Nobel de Littérature, Octavio Paz : «L’ennemi de l’absolu devient l’ennemi absolu.»
De ce fait, le débat continue. Il doit se dérouler avec hauteur et sérénité dans le souci majeur de faire avancer notre pays vers le progrès et le développement, dans un esprit permanent de tolérance mutuelle et de solidarité humaine.
C’est une raison de plus au demeurant pour se souvenir que dans la nature où il évolue, l’homme, par ses rêves, par ses ambitions, et par ses capacités intrinsèques, doit rechercher constamment un levier pour améliorer son propre environnement et, en corrélation, un espace approprié pour contribuer à la construction concertée d’une communauté orientée vers l’avenir, pour assumer, avec raison, un destin partagé.
La réflexion précède, accompagne et prolonge cet effort continu de recherche de la vérité, du bon chemin et de synthèses qui valorisent l’homme dans sa pensée et dans son action, au profit du plus grand nombre.
Dans le contexte présent, tout débat d’idées doit s’élever sur les hauteurs du patriotisme et dans l’espace de la voie royale qui fonde l’éthique et la morale républicaines, de manière à aboutir à des consensus et à des compromis qui favorisent l’entente, la détente et la coopération, dans l’unité et dans la paix.
Le Sénégal, dans cette dynamique, a plus que jamais besoin du pluriel et de la diversité, qui sont les ferments impératifs de toute démocratie.
C’est que notre pays, depuis longtemps, a eu la chance d’avoir opté pour la discussion qui enrichit l’autre, la concertation qui sécurise et revigore les énergies et pour la tolérance qui développe une intelligence partagée.
L’exception sénégalaise porte la marque de ces vertus et de ces valeurs, vertus et valeurs qu’il nous incombe de protéger.
Il reste que dans le respect total de la loi et du droit, par tous et pour tous, nous avons l’obligation de donner un sens à la démocratie et à une commune volonté d’accroître le bien-être des populations.
La grande question est et restera dans cette logique, de savoir comment partager raison et espérance, efforts et méthode, discipline et sens du devoir, au seul profit des valeurs que nous partageons, de manière à laisser aux générations futures un legs solide de noblesse dans la pensée, de rigueur dans l’action et cette volonté de vivre en commun les défis à relever et de produire les fondements sans cesse reconsolidés de notre destin.
Pour une démocratie apaisée, qui s’installe dans la dynamique du développement concerté.
Nos ambitions partagées et ensemble vécues pour un Sénégal émergent requièrent, incontestablement, que nous nous retroussions les manches, dans le culte sacré des valeurs cardinales, africaines et sénégalaises de notre société.
Alexis de Tocqueville mettait en garde contre le danger «d’abêtissement indolore» et «d’abrutissement doux» qui guettent en démocratie. Il percevait déjà en visionnaire le risque que s’installe «le règne de l’opinion souveraine».
Nous sommes aujourd’hui au 21ème siècle et les réflexions de ce penseur du 19ème nous reviennent en écho et nous interpellent.
La démocratie, c’est l’ordre dans la liberté pour assurer la stabilité nécessaire à toute action de développement.
Elle se nourrit à la source de la discipline.
La discipline n’est pas un corset, c’est la condition sine qua non de notre émancipation. Nous devons le comprendre comme cela et agir en conséquence pour que cette deuxième alternance soit celle du décollage économique réel de notre cher pays.
Nous le devons à nos populations, en particulier aux masses laborieuses, à notre jeunesse et aux générations futures.
C’est faire droit, avec pragmatisme et lucidité, au concept de développement durable.
Moustapha NIASSE
Président de l’Assemblée nationale du Sénégal
33 Commentaires
Inter X
En Mars, 2014 (11:20 AM)Aliw
En Mars, 2014 (11:38 AM)yallah bakhna.mettons au travail rek senegal avancer
mais avek bocoup de disciplines c tres important ce parametres discipline
Politicards
En Mars, 2014 (12:15 PM)ou les utisent , sans en connaitre le sens semantique !
Qu'est ce qu 'il y a de revolutionnaire , dans ce Plan Senegal Emergent , sinon peut etre l 'admission
de ce gouvernement , bien nul , de ses tatonnements , errances et incapacites notoires a ..REDRESSER..,
les finances publiques , l 'economie moribonde et stagnante , sa morosite et sa mauvaise performance !
Arretez , nom de dieu de dire...emerger..., car vous continuez par ce mot mal utilise a etaler vos nullites !
Essayez de redresser l 'economie de ce pays , devenu dernier en Afrique , dans sa performance negative !
A.N.Y.W.A.Y....au pays des aveugles , les borgnes sont rois..!:)
WASSALAM....et bon weekend a vous tous..., de la part de...Elysee !
NB....Je vais poster , apres ce commentaire , des exemples, referants aux ...pays emergents , par definition !
Pays Emergents
En Mars, 2014 (12:24 PM)La liste des pays auxquels s'applique ce terme varie selon les sources et selon les époques, en témoignent les divers acronymes définis pour les désigner : BRIC est le premier à désigner les quatre principaux pays émergents (Brésil, Russie, Inde, Chine) qui sont susceptibles de jouer un rôle de premier plan dans l'économie mondiale dans un futur plus ou moins proche..!..BRICS, apparait en 2011 avec l'ajout de l'Afrique du Sud qui participe désormais aux sommets regroupant ces pays1.BRICM est également invoqué pour prendre en compte le Mexique ou BRICI, l'Indonésie. Quant à la Russie, de nombreux géographes et économistes lui dénient l'appellation de pays émergent. De même pour les pays dits en transition, qui ne sont pas réputés être en position d'émergence et qui font partie de l'hémisphère Nord....."....End of..quote....! ......Ainsi , vous comprendrez les jeux de mots , choisis pour saupoudrer de farine , le visage des senegalais,dans cette formulation , bien faussement usurpee par ces politicards - amateurs , certes !....WASSALAM...a vous...de....Elysee...!
Thiaaly Deegeeraal
En Mars, 2014 (12:42 PM)Indigne
Un mauvais exemple
Pour la jeunesse Senegalaise
La preuve est simple pour le qualifier
De tous ces mots
Toute la jeunesse de sa generation sait
Tout ce que je dis de ce traitre est vrai
Mai 1968
Lorsque le Pouvoir de Senghor etait dans la rue
Et Senghor ne savait plus comment car
Depassse par la greve de 1968
IL fallait trouver des traitres dans le rang des Etudiants ,lyciens et syndicat
Moustapha Niasse fut le premier traitre de la jeunesse senegalaise
Avec Djibo Ka
Doudou N'gom
Moustapha Niasse a trahi les etudiants
Djibo Ka les lyciens
Doudou N'gom les syndicalistes
Senghor a respecte ses promesses vis a vis de ces traitres
Niasse et Djibo ont beneficie des bourses
Et embauches directement dans le cabinet de Senghor pour
Le prix de leur trahision
Doudou N'gom ministre de l'education nationale
Cependant la plus de la jeunesse etait envoyee dans 'armee
Ou ont fuit le pays au Mali ou Mauritanie
Certains en prison ou Radies
L'autre grand traitre de la republique
Son excellence Ousmanr camara qui a trahi
La magistrature senegalaise
Pour avoir condamne Mamadou Dia
Sur la base des fausses accusations
Recompense par les hautes fonctions.
De la justice jusqu'a la Disparition totale Du PS
Senghor avait vite compris qu'il y avait
Des hommes infignes il faut passer par eux
Pour rester au pouvoir
Si Niasse etait digne compte tenu son age
Avec tout le mal qu'il a fait au peuple senegalais
Il devrait prendre sa retraite politique
J'espere que ses enfants auront honte
De se vanter que leur Traitre Pere avait occuper
Les postes de responsabilite dans l'administration senegalaise
Ils ne suivront pas le parcourt politique de leur Traitre Pere
Moustapha Niasse peut il donner une lecon
De Morale a la jeunesse senegalaise
Je dis non Mr le premier traitre de la jeunesse
Senegalais
Rejouissons-nous
En Mars, 2014 (12:47 PM)Tchimm
En Mars, 2014 (12:56 PM)Hhh
En Mars, 2014 (13:18 PM)Moussa Thiath Guéye Rufisque
En Mars, 2014 (13:40 PM)Heureusement ou malheureusement ils ont encore fait ces déclarations d'allégeance depuis Dakar , loin des éternels pauvres de Keur Madiabel (Saloum) et elles de Diourbel qui attendent toujours la révolution qui les sortira de la misère qu'ignorent les leurs résidents de Dakar.
Mengistu
En Mars, 2014 (14:17 PM)Quand la majorité s'exprime idem.
Merci pour le niveau!
Deggu
En Mars, 2014 (14:31 PM)Livorno Diaspora
En Mars, 2014 (15:15 PM)Deug
En Mars, 2014 (15:22 PM)Barouw
En Mars, 2014 (15:26 PM)Ensemble, nous assumerons les responsabilites qui verront le Senegal emergent depasser les limites de l'emergence.J'ai apprecie votre contribution non pas parce que je suis de L'AFP ni de L'APR. simplement, l'idee: parceque vous avez lancer un appel a la nation toute entiere a avoir la maturite de base pour faire face au futur developpement de leur pays.Vous avez fait ce constat de maniere professionelle et eloquente.L'indisciple ne mene a rien sinon au regret catastrophique lie aux pertes humaines ressources rares qui rendraient possible tout projet de developpement bien structure.
Le travail dans la discipline et le respect est la base de l'epanouissemenr social permanent des societes.
@@@@
En Mars, 2014 (15:30 PM)Maylèène Niou Diammeu
En Mars, 2014 (15:54 PM)-tanka ame xeuy yombagoufi
-mbiroum faddiou tané fép ci réwmi
-kaarangué doyfi ba tané nimou mélniii
-dème ak dikkeu baniati nék diafédiafé bou diégui dayoo
LOOLÈNEFI WAX RÉK, WAXOONE NANGN KOFI DIPII 1960... LIIRAT LÈNE DPG YINGN FI MOSSA WAX BAXAM
Wanted N# 100
En Mars, 2014 (16:29 PM)-Mbaa mi ngui doundeu?
Non méé, damakoo nammeu!
Libsso
En Mars, 2014 (18:08 PM)Beugdakar
En Mars, 2014 (18:09 PM)Reponse A Mr Niasse
En Mars, 2014 (20:12 PM)et merci , d 'avoir tout de meme ose , et voulu participer a ce debat d 'idees ,certes bien apprecie de ma part !..
WASSALAM....de la part de ...Elysee... , qui vous denande tout juste de parler de redressement ! :)
Rationaliser
En Mars, 2014 (20:49 PM)sont bien presentes au Senegal , et une gestion saine et honnete , pourrait bien les faire rayonner !
WASSALAM....encore a vous tous , au pays et dans la diaspora...de....la part de....Elysee....!
Atypico
En Mars, 2014 (21:21 PM)Fans
En Mars, 2014 (21:31 PM)Ely
En Mars, 2014 (22:11 PM)Certes il faut appeler les sénégalais à avoir plus de patriotisme, à avoir plus de rgueur morale face aux biens publics (même si lui-même en a profité plus que tout autre et depuis 50 ans jusqu'à ce jour), mais il aurait mieux fait d'expliciter les projets réels que doivent couvrir ces 6000 milliards dont les 3/4 risquent de disparaître dans moins de six mois.
En outre s'en orguellir d'une certaine démocratie au Sénégal face aux tueries, viols de jeunes gens et arnacquages des populations de Casamance depuis 30ans par des ''bandits'' nourris et blanchis de surcroit par l'Etat, c'est quand-même trop osé pour un Chef suprême du Pouvoir législatif !!!
On a l'impression qu'en Afrique noire, les politiciens parlent d'émergence pour le degré ou indice de leur propre Fortune d'abord, puis ensuite pour celles de ''Marabouts'' et Courtisans des Présidents de République.
Comment le Sénégal peut émerger alors que la plus ou les plus riches de ses Régions (Casamance,Sine-Saloum, Sénégal oriental en particulier) il n'y a ni routes, ni lois et sont à la merci des ''Bandits'' et que dans d'autres myennement riches sur la plan de la nature (Baol, Tivavouane, ...) on ne construit que des routes pour uniquement desservir les Demeures de'' Marabouts'' !!!
Niasse Griot De Macky
En Mars, 2014 (22:27 PM)Jiby
En Mars, 2014 (22:43 PM)Le rôle des Députés est de faire des propositions de projets de lois, de les rectifier, de voter les lois et de faire des investigations sur le gouvernement, s'il s'avère nécessaires de faire des motions de censure contre le gouvernement. Le rôle de chaque citoyen est de veiller à ce que ces élus fassent correctement leur travail sous peine de subir des sanctions positives ou négatives pendant leur réélection.
Les masse médias doivent s'orienter vers l'Assemblée Nationale, revaloriser le rôle du Député, sa place dans le processus démocratique et le développement de notre pays. Une évaluation constante du travail de chaque Député devait être envisagée par la société civile. Cette évaluation va faciliter la rétention des meilleurs Députés. De là, L'Assemblée Nationale ne sera plus une caisse de résonance, mais va jouer son plein rôle dans notre développement.
Nous invitons nos représentants de faire mieux, pour que rien ne sera plus comme avant. Monsieur le Président de L'assemblée Nationale la balle est dans votre camp. Vous l'avez vous même reconnu que le Président Sall a réussi à moitié son travail. Il a proposé une vision claire avec des projets de développement à long et court terme.
Mdr
En Mars, 2014 (23:30 PM)Sounougalgui
En Mars, 2014 (00:49 AM)Rimo
En Mars, 2014 (00:59 AM)Une réflexion de haute portée basée sur une expérience de 50 ans. Cela n'est pas donné à tout le monde. Servir ton pays le Sénégal malgrés les insultes et les calomnies tu vises et te nourrie de ton ambition de servir le Sénégal. Vie et Santé président.
Je Prefere
En Mars, 2014 (04:52 AM)@post 34
En Mars, 2014 (08:11 AM)Les "seconds" ou si vous vous voulez les "derniers" ils sont dans les histoires.
Les 1ers dagnouye takhemtikou.
Les "seconds" sène guémigne daye nathie.
Jule
En Mars, 2014 (11:52 AM)Bien Dit
En Mars, 2014 (14:19 PM)Participer à la Discussion