En Russie, la baisse du taux de natalité préoccupe le président Vladimir Poutine. Lors de sa conférence annuelle de questions-réponses avec des citoyens et journalistes russes, hier jeudi, le chef du Kremlin a révélé que le nombre d’enfants par femme dans le pays est tombé à 1,41 %, ce qui est « très faible ». Il faut porter ce taux à au moins 2,3 %, a-t-il insisté.
En Tchétchénie et à Touva, « tout va bien »
Actuellement, le « nombre de femmes en âge de procréer à diminuer de 30 % », informe par ailleurs Vladimir Poutine. Ce qui le pousse à dire que la Russie a besoin de plus de filles. « Il faut des filles, des filles !», s’est-il exclamé.
Notons que ce n’est pas l’ensemble de la Russie qui est concerné par cette baisse du taux de natalité. En Tchétchénie et à Touva, « tout va bien », admet le chef du Kremlin.
Pour résoudre le problème de natalité dans le pays, le gouvernement russe a lancé un programme qui encourage les naissances, en mettant à disposition des foyers, des facilités d’accès au logement par exemple.
13 Commentaires
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il y a 1 jour (15:38 PM)Team Yamba
il y a 2 jours (14:39 PM)Leuz
il y a 2 jours (15:01 PM)Mais le monde est conçu et a toujours évolué comme.
Tant qu il y a vie sur terre y aura toujours migration et on peut pas Parler de migration sans métissage.
Er tout pays qui n accepte pas cela tend vers l extinction.
Et malheureusement c est ce qui arrive à nos lointains parents russes.
Le Guinéen
il y a 2 jours (15:02 PM)Reply_author
il y a 1 jour (15:39 PM)Reply_author
il y a 1 jour (18:24 PM)Conseil: si vous ne trouvez pas de travail après votre formation, allez à l’étranger pour trouver de l’argent et financer les activités économiques de vos frères et sœurs restés au bled. Revenez dès que les conditions s’améliore au pays où dans votre famille
souvent les cancres en veulent à la terre entière
*sont en train de dépeupler
*Afrique
* n'ont plus DE villages
* seront ruinéeS
* exode massiF
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il y a 1 jour (18:31 PM)Mustapha Hih
il y a 1 jour (15:33 PM)Reply_author
il y a 1 jour (15:49 PM)Xeme
il y a 1 jour (15:59 PM)Poutine est celui qui parle de sa préoccupation en public. La totalité de l'Occident fait le même constat de baisse de natalité, ils concoctent leurs solutions (généralement contre l'Afrique ) en cachette. La migration actuelle par pirogues, des africains, fait partie de leurs solutions. Les discours des pions comme Macky Sall (Il disait que pour la réussite de son PSE, il faut baisser la natalité à un maximum de 3 enfants par femme) font partie de leurs solutions.
NB: J'avais écrit une série de textes sur le sujet depuis 2016. Je l'avais titré: " Les axes de l'agression culturelle ".
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il y a 1 jour (20:46 PM)Reply_author
il y a 1 jour (16:26 PM)Reply_author
il y a 1 jour (18:14 PM)C'est un verve transitif indirect
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il y a 1 jour (18:14 PM)C'est un verve transitif indirect
Les 4h30 de la ligne directe du président russe Vladimir Poutine récapitulées en 4 minutes de lecture.
Sur les sanctions
«Les sanctions nous gênent-elles ? Elles nous gênent. Créent-elles des problèmes ? Oui, elles en créent. Pourront-ils [...] nous tuer complètement ? Non». L'Occident a peur de la concurrence, c'est pourquoi il impose des sanctions contre la Russie, a affirmé le président russe. Vladimir Poutine a également déclaré qu'il ne comptait pas le nombre des sanctions imposées à la Russie, mais qu'il y en avait déjà plus de 40 000.
Sur le nouveau missile balistique Orechnik
«Rien ne peut l’atteindre. Aucun système» Le président russe a déclaré que le missile hypersonique balistique à moyenne portée Orechnik était basé sur les connaissances scientifiques russes et qu'il s'agissait d'une «arme nouvelle et très moderne». Il a suggéré qu'en cas de «doutes» sur la puissance du missile hypersonique Orechnik, l'Occident pouvait choisir une cible à Kiev, y concentrer ses défenses aériennes et tenter d'intercepter la frappe.
Sur Trump
Le président russe Vladimir Poutine a déclaré qu'il était toujours prêt à rencontrer le président élu des États-Unis, Donald Trump et à parler avec lui. Il a ajouté qu'il ne savait pas quand il le rencontrerait et qu'il ne lui avait pas parlé depuis plus de 4 ans.
Sur les pourparlers avec Zelensky
«Si nous arrivons à signer un document, nous ne pourrons le faire qu'avec des représentants, des autorités légitimes». La Russie dialoguera avec Zelensky s'il se présente aux élections et obtient une légitimité, a affirmé le président russe. La Russie ne signera des accords de paix qu'avec le dirigeant légitime de l'Ukraine.
Sur la solution du conflit en Ukraine
«Nous n'avons pas besoin d'un cessez-le-feu, nous avons besoin de la paix. De long terme, durable, assurée par des garanties de sécurité fiables». Vladimir Poutine a également évoqué la trêve de Noël proposée par le Premier ministre hongrois Viktor Orban, en faisant remarquer que c'était la partie ukrainienne qui avait rejeté cette proposition, et non la partie russe.
Sur la Syrie
«À mon avis, le principal bénéficiaire des événements qui se déroulent en Syrie est Israël». Le président russe a également affirmé que la Russie était favorable au respect de l'intégrité territoriale de la Syrie et se rangeait du côté des nouvelles autorités syriennes sur cette question.
Sur Gaza
Le ?hef de l’État russe a déclaré qu'il ne savait pas quels étaient les objectifs ultimes d'Israël dans la bande de Gaza, mais que ses actions ne pouvaient que «mériter d'être condamnées».
Sur lui-même
«Nous changeons tous [...]. Ces trois années, deux ans et demi, bien sûr, ont été un grand test pour nous tous, pour tout le pays et pour moi. Je vais être honnête : nous plaisantons ici et les rires résonnent dans la salle [...]. Mais j’ai commencé à moins plaisanter et j’ai presque cessé de rire», a avoué Vladimir Poutine aux journalistes. Évoquant le conflit en Ukraine, le chef de l'État russe a déclaré : «Si j'avais pu regarder la situation en 2022, en sachant ce qui se passe aujourd'hui, qu'aurais-je pensé ? Que cette décision, prise au début de 2022, aurait dû être prise plus tôt».
Les 4h30 de la ligne directe du président russe Vladimir Poutine récapitulées en 4 minutes de lecture.
Sur les sanctions
«Les sanctions nous gênent-elles ? Elles nous gênent. Créent-elles des problèmes ? Oui, elles en créent. Pourront-ils [...] nous tuer complètement ? Non». L'Occident a peur de la concurrence, c'est pourquoi il impose des sanctions contre la Russie, a affirmé le président russe. Vladimir Poutine a également déclaré qu'il ne comptait pas le nombre des sanctions imposées à la Russie, mais qu'il y en avait déjà plus de 40 000.
Sur le nouveau missile balistique Orechnik
«Rien ne peut l’atteindre. Aucun système» Le président russe a déclaré que le missile hypersonique balistique à moyenne portée Orechnik était basé sur les connaissances scientifiques russes et qu'il s'agissait d'une «arme nouvelle et très moderne». Il a suggéré qu'en cas de «doutes» sur la puissance du missile hypersonique Orechnik, l'Occident pouvait choisir une cible à Kiev, y concentrer ses défenses aériennes et tenter d'intercepter la frappe.
Sur Trump
Le président russe Vladimir Poutine a déclaré qu'il était toujours prêt à rencontrer le président élu des États-Unis, Donald Trump et à parler avec lui. Il a ajouté qu'il ne savait pas quand il le rencontrerait et qu'il ne lui avait pas parlé depuis plus de 4 ans.
Sur les pourparlers avec Zelensky
«Si nous arrivons à signer un document, nous ne pourrons le faire qu'avec des représentants, des autorités légitimes». La Russie dialoguera avec Zelensky s'il se présente aux élections et obtient une légitimité, a affirmé le président russe. La Russie ne signera des accords de paix qu'avec le dirigeant légitime de l'Ukraine.
Sur la solution du conflit en Ukraine
«Nous n'avons pas besoin d'un cessez-le-feu, nous avons besoin de la paix. De long terme, durable, assurée par des garanties de sécurité fiables». Vladimir Poutine a également évoqué la trêve de Noël proposée par le Premier ministre hongrois Viktor Orban, en faisant remarquer que c'était la partie ukrainienne qui avait rejeté cette proposition, et non la partie russe.
Sur la Syrie
«À mon avis, le principal bénéficiaire des événements qui se déroulent en Syrie est Israël». Le président russe a également affirmé que la Russie était favorable au respect de l'intégrité territoriale de la Syrie et se rangeait du côté des nouvelles autorités syriennes sur cette question.
Sur Gaza
Le Chef de l’État russe a déclaré qu'il ne savait pas quels étaient les objectifs ultimes d'Israël dans la bande de Gaza, mais que ses actions ne pouvaient que «mériter d'être condamnées».
Sur lui-même
«Nous changeons tous [...]. Ces trois années, deux ans et demi, bien sûr, ont été un grand test pour nous tous, pour tout le pays et pour moi. Je vais être honnête : nous plaisantons ici et les rires résonnent dans la salle [...]. Mais j’ai commencé à moins plaisanter et j’ai presque cessé de rire», a avoué Vladimir Poutine aux journalistes. Évoquant le conflit en Ukraine, le chef de l'État russe a déclaré : «Si j'avais pu regarder la situation en 2022, en sachant ce qui se passe aujourd'hui, qu'aurais-je pensé ? Que cette décision, prise au début de 2022, aurait dû être prise plus tôt».
Sinon pas de misère extrême au Sénégal on va en Europe pour le paraître seulement
Un moment donné les sénégalais commençaient à dépasser les affaires de caste mais remettre ça sur la place pour apprendre aux jeunes générations quoi exactement ????
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