Plus de 2 millions de Français ont déjà pris des rendez-vous sur Doctolib en vue de se faire vacciner, depuis les annonces d’Emmanuel Macron en début de semaine, a annoncé ce mercredi 14 juillet à l’AFP la plateforme.
Le président de la République a décidé d’imposer le pass sanitaire à l’entrée de la plupart des lieux publics et rendu la vaccination obligatoire pour les soignants et ceux au contact des personnes fragiles, sanctions à la clef.
Certaines de ces mesures entreront en vigueur dès cet été, poussant de nombreux Français jusqu’ici hésitants ou méfiants à sauter le pas et à réserver des créneaux de vaccination.
Le président de la République a décidé d’imposer le pass sanitaire à l’entrée de la plupart des lieux publics et rendu la vaccination obligatoire pour les soignants et ceux au contact des personnes fragiles, sanctions à la clef.
Certaines de ces mesures entreront en vigueur dès cet été, poussant de nombreux Français jusqu’ici hésitants ou méfiants à sauter le pas et à réserver des créneaux de vaccination.
Selon un pointage communiqué par Doctolib mercredi matin, 2,24 millions de personnes ont pris rendez-vous depuis les annonces du chef de l’État lundi soir.
Vers 4 à 5 millions d’injections par semaine
Mardi, le patron de la plateforme de prise de rendez-vous médicaux Stanislas Niox-Chateau avait estimé sur BFMTV que la campagne de vaccination allait “monter vite à quatre, cinq millions d’injections par semaine”, du fait des mesures prises par le gouvernement.
Mais ces annonces, si elles semblent avoir eu l’effet escompté, n’ont pas été exemptes de critiques. Des élus de l’opposition - notamment à l’extrême droite et à l’extrême gauche - ont vu dans l’élargissement du pass sanitaire une vaccination obligatoire qui ne dit pas son nom. Sa légalité est aussi questionnée.
“Il n’y a pas d’obligation vaccinale, il y a une incitation maximale”, a défendu le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, “satisfait de voir que le message du président de la République a été entendu”.
Mardi, le patron de la plateforme de prise de rendez-vous médicaux Stanislas Niox-Chateau avait estimé sur BFMTV que la campagne de vaccination allait “monter vite à quatre, cinq millions d’injections par semaine”, du fait des mesures prises par le gouvernement.
Mais ces annonces, si elles semblent avoir eu l’effet escompté, n’ont pas été exemptes de critiques. Des élus de l’opposition - notamment à l’extrême droite et à l’extrême gauche - ont vu dans l’élargissement du pass sanitaire une vaccination obligatoire qui ne dit pas son nom. Sa légalité est aussi questionnée.
“Il n’y a pas d’obligation vaccinale, il y a une incitation maximale”, a défendu le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, “satisfait de voir que le message du président de la République a été entendu”.
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