Lors d’une conférence de presse avec le Premier ministre de Singapour, le président américain a été interrogé sur les derniers développements de la campagne électorale, et notamment la polémique autour de la famille Khan, les parents d’un soldat musulman et américain mort en Irak que Donald Trump a insultés. Selon Barack Obama, qui demande au parti républicain de cesser de le soutenir, chaque jour apporte la preuve de l’incompétence du milliardaire.
Barack Obama a critiqué avec virulence ce mardi 2 août le candidat républicain à sa succession, affirmant que Donald Trump était « terriblement mal préparé » pour devenir président des États-Unis et dénonçant les dirigeants républicains qui le soutiennent. « Je pense que le candidat républicain n’est pas compétent pour être président, et il le prouve en permanence », a affirmé l’actuel locataire de la Maison Blanche lors d’une conférence de presse avec le Premier ministre de Singapour, Lee Hsien Loong.
Une polémique enfle aux États-Unis depuis plusieurs jours, après que le père d’un soldat tué en Irak a demandé, lors de la convention démocrate, au candidat républicain de respecter les musulmans, cibles des attaques du milliardaire. Ce à quoi Donald Trump a répondu en se moquant du silence de la mère du soldat. « Sa femme n’avait certainement pas la permission de parler », avait-il commenté.
Une déclaration qui montre, selon Barack Obama, les lacunes du milliardaire en termes de politique étrangère. « Le fait qu’il ne semble pas avoir la moindre connaissance sur des dossiers importants, sur l’Europe, le Proche-Orient, l’Asie, cela prouve qu’il n’est absolument pas préparé pour occuper cette fonction », a-t-il assené.
Soutien républicain en dépit des dérapages ?
Le président américain a également dénoncé les dirigeants du « Grand Old Party » quicontinuent de soutenir Donald Trump. « Si vous devez en permanence, et en des termes très durs, dire que ses propos sont inacceptables, pourquoi continuez-vous de le soutenir ? » a-t-il demandé alors que le président de la Chambre des représentants, du chef de la majorité au Sénat et de républicains de premier ordre comme John McCain critiquent régulièrement leur candidat pour ses dérapages.
« Ce n’est pas une situation où vous avez une gaffe de temps en temps, c’est tous les jours que les républicains prennent leurs distances avec des déclarations qu’il a faites, a poursuivi Barack Obama, en allusion aux nombreux propos polémiques du candidat. “À un certain moment, a-t-il conclu, vous devez quand même vous dire : c’est une personne que je ne peux pas soutenir dans la course à la présidence. Et je ne suis pas seul à le penser, c’est aussi l’opinion de républicains respectés. Il doit y avoir un moment où on dit : ça suffit”.
3 Commentaires
Guelewar
En Août, 2016 (08:36 AM)Anonyme
En Août, 2016 (15:09 PM)Linda Mujer
En Août, 2016 (00:30 AM)1.-Obama, qui mentit sur ses véritables origines (fils de Subhoda, l'indonésien-cherchez "Who is the real father of Obama" sur n'importe quel moteur de recherches). Le pauvre et prétendu Barack Obama -père, obligé de vendre son honneur pour ne pas être expulsé des Etts-Unis, pour infraction sur les lois régissant le travail des étudiants étrangers et boursiers. Oh! Il avait sûrement sauté Ann Dunham. Tout comme Frank Marshal Davis. Mais regardez les visages des deux potentiels pères,, sur YouTube, par exemple.
2.-Obama qui entra à Harvard sous le piston du saoudien Khaled El Mansour, malgré son niveau insuffisant au Columbia College ( il refuse toujours de laisser publier ses carnets et bulletins, contrairement à tous ses prédécesseurs.
3.-Obama qui a menti sur le fait qu'il a toujours été musulman, sous le nom de Barry Soetero, son père adoptif.
4.-Obama et l'éternelle controverse sur son faux bulletin de naissance (prétendument à Hawaï, mais quand la pauvre Loretta Fuddy, qui avait signé le faux décida de révéler la vérité à la veille du second mandat de Obama, elle fut assassinée dans un faux accident d'avion à l'aide d'une tasse de café empoisonné. Oui, comme faisait la mafia de Chicago, ville chère de Obama). Cherchez sur YouTube "Loretta Fuddy..."
5.-Obama, qualifié unanimement de "Most incomptent president" par, un exemple parmi des milliers, Freedom Outpost (http://freedomoutpost.comobama-incompetent-president).
Le plus grave, Obama, qui au lieu de rester neutre en tant que sortant, soutient Hillary Clinton...Seneweb, c'est triste d'avoir la mémoire courte. Un petit effort et vous vous souviendrez du cri de Hillary lors de la première campagne présidientielle de Obama "Barack Obama , who are you?"
6.-Pire: Hillary Clinton , qui après avoir été pendant quatre ans Secrétaire d'Etat sous Obama, se lâcha devant une flopée de journalistes, notamment, du "New York Post", avec les mots qui suivent: (traduisez, faites traduire! Votre patron vit aux Etats-Unis!
7.-
"Hillary Clinton called President Obama “incompetent and feckless” and charged that he had “no hand on the tiller half the time” during a boozy reunion with college pals, a new book claims.
The scathing attacks came as the wine was flowing at a May 2013 dinner at Le Jardin Du Roi, a cozy French bistro near the Clinton family home in Westchester, according to “Blood Feud,” by best-selling author Edward Klein.
The former first lady, months removed from being Obama’s secretary of state, unleashed the verbal assault between sips of vino, sources told the author.
“When her friends asked Hillary to tell them what she thought — really thought — about the president she had served for four draining years, she lit into Obama with a passion that surprised them all,” Klein wrote.
Clinton ranted, “The thing with Obama is that he can’t be bothered, and there is no hand on the tiller half the time. That’s the story of the Obama presidency. No hand on the f–king tiller,” according to the book, which was excerpted exclusively in Sunday’s Post.
“Obama has turned into a joke,” she went on, according to Klein.
“The IRS targeting the Tea Party, the Justice Department’s seizure of AP phone records and [Fox reporter] James Rosen’s e-mails — all these scandals. Obama’s allowed his hatred for his enemies to screw him the way Nixon did,” she raged, the book says, adding that she called the president “incompetent and feckless.”
Obama’s allowed his hatred for his enemies to screw him the way Nixon did.
- Hillary Clinton
Hillary also heaped praise on her hubby, Bill, lauding his presidency and leadership skills — and bitterly complained about the lousy treatment she said the Clintons have received from the current president.
“Obama has treated Bill and me incredibly shabbily. And we’re angry,” she said.
Clinton confided to her unnamed pals that she and Bill promised the Obamas they would work to get him re-elected in 2012 if he promised to return the favor and help Hillary win the presidency four years later.
“He agreed to the arrangement but then he reneged on the deal. His word isn’t worth s–t,” Hillary said, according to Klein’s book. “The bad blood between us is just too much to overcome.”
And Bill Clinton shared his wife’s loathing for Obama, as The Post reported Sunday.
“I hate that man Obama more than any man I’ve ever met, more than any man who ever lived,” Bill told pals, according to the book.
En conclusion: Incompétent et nul, pendant que Bill Clinton déclarait," Je hais Obama. Je le hais plus que je n'ai jamais haï aucun homme que j'aie jamais rencontré, plus que tout homme qui ait jamais existé sur terre!" (sic!) Et il le réta à plusieurs reprises, devant d'autres " grands et petits comités".
Obama "Mô Niakke diom!" Avec Seneweb qui "fait de la grioterie" autour de lui.
8.-Obama a même menti, depuis le début, sur sa véritable sexualité. De pauvres noirs comme Donald Young furent exécutés "Chicago style" à la veille du jour où ils avaient décidé de tout révéler sur leurs relations pendant vingt ans dans la vraie-fausse église de Jeremiah Wright. Y ajouter deux hommes blancs, comme Larry Sinclair, toujours obligé de se cacher, pour les mêmes raisons.
La preuve! Pendant tout son mandat, il aura fait des mains et des pieds , pour ne pas dire du popotin, dans le dessein de faire tomber le Sénégal et d'autres pays africains dans le règne des homosexuels et de la dénaturation du mariage, entre un homme et une femme, tel que Dieu et les lois de la Suprême Nature l'ont établi depuis des millénaires.
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