Dans une semaine exactement, Vienne doit accueillir de nouvelles discussions sur le programme nucléaire iranien. À l'approche de ce rendez-vous, plusieurs pays, dont la France, se sont inquiétés de la montée en puissance des capacités nucléaires de Téhéran. C'est dans ce contexte tendu que le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) est attendu en ce début de semaine dans la capitale iranienne.
Le chef de l'AIEA, Rafael Grossi, se rend en Iran avec des chiffres qui inquiètent. Le stock d'uranium enrichi de la République islamique est désormais douze fois supérieur à la limite autorisée et l'Iran a commencé à enrichir de l'uranium à 60%. Ce qui ne correspond en rien à un programme nucléaire civil. Par ailleurs, l'AIEA s'alarme de ne pas pouvoir accéder à des sites qu'elle juge sensibles.
Le chef de l'AIEA, Rafael Grossi, se rend en Iran avec des chiffres qui inquiètent. Le stock d'uranium enrichi de la République islamique est désormais douze fois supérieur à la limite autorisée et l'Iran a commencé à enrichir de l'uranium à 60%. Ce qui ne correspond en rien à un programme nucléaire civil. Par ailleurs, l'AIEA s'alarme de ne pas pouvoir accéder à des sites qu'elle juge sensibles.
Conseil des gouverneurs
Cette semaine, l'Agence internationale de l'énergie atomique réunira son Conseil des gouverneurs à Vienne. Or c'est également dans la capitale autrichienne que les discussions doivent reprendre, le 29 novembre, entre l'Iran, les États-Unis, la Chine, la Russie, la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne. Il s'agit de tenter de ressusciter l'accord nucléaire conclu en 2015, mais qui a ensuite déraillé lorsque les États-Unis de Donald Trump s'en sont retirés et ont rétabli les sanctions contre Téhéran.
Cette semaine, l'Agence internationale de l'énergie atomique réunira son Conseil des gouverneurs à Vienne. Or c'est également dans la capitale autrichienne que les discussions doivent reprendre, le 29 novembre, entre l'Iran, les États-Unis, la Chine, la Russie, la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne. Il s'agit de tenter de ressusciter l'accord nucléaire conclu en 2015, mais qui a ensuite déraillé lorsque les États-Unis de Donald Trump s'en sont retirés et ont rétabli les sanctions contre Téhéran.
« Pas dans la bonne direction »
« Le temps presse » et l'Iran ne « va pas dans la bonne direction », a déclaré ce vendredi 19 novembre l'envoyé spécial américain pour l'Iran, Robert Malley. Téhéran va devoir montrer sa « volonté » d'avancer dans les négociations, a estimé dans le journal Le Monde le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian.
« Le temps presse » et l'Iran ne « va pas dans la bonne direction », a déclaré ce vendredi 19 novembre l'envoyé spécial américain pour l'Iran, Robert Malley. Téhéran va devoir montrer sa « volonté » d'avancer dans les négociations, a estimé dans le journal Le Monde le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian.
4 Commentaires
Ndell
En Novembre, 2021 (08:12 AM)Participer à la Discussion