Arrivés séparément, MM. Yayi et Koroma doivent, au côté du président
cap-verdien Pedro Pires qui était attendu plus tard mardi matin, rencontrer
Laurent Gbagbo et son rival Alassane Ouattara, reconnu président par une
immense partie de la communauté internationale.
La Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao) a envoyé
ces trois dirigeants comme "dernier geste" pour obtenir le départ de M.
Gbagbo. L`organisation régionale a menacé le président sortant de recourir Ã
la "force légitime" s`il ne cédait pas à cette injonction.
M. Gbagbo a dit "prendre au sérieux" cette menace, mais a mis en garde
contre un risque de "guerre civile" en cas d`intervention armée. Son camp a
souligné la présence de millions d`immigrés ouest-africains sur le sol
ivoirien, qui pourraient être pris à partie.
7 Commentaires
B52
En Décembre, 2010 (13:25 PM)Paris
En Décembre, 2010 (13:28 PM)Rifrif
En Décembre, 2010 (13:48 PM)Si ce n'est pas l'homme blanc qui encore une fois travail sur son programme de Globalisation a des fin politico religieuses avec manipulation et conspiration a haut niveau
Wake up Africa It's time to take our future in hand we can't let these people destroy our values and ethics and ignite religious hatred while worshiping their evil master
We the Africans fought for the freedom and Unity of our one land come to find out our leaders had back stabbed us and decided to divide the land even smaller than the white man had left for personal interest people like Senghor , Ouphouet, Bongo and many more African leaders that just wanted the power no matter the cost
This move will be very costly to bagbo i just pray for no more bloodshed Big up Yaya Big up AZ ,
La Verité De Dabiche
En Décembre, 2010 (14:07 PM)tu l'auras voulu
Couscous
En Décembre, 2010 (14:09 PM)Charles Ble' Goude'
En Décembre, 2010 (14:44 PM)Tieye
En Décembre, 2010 (19:25 PM)Participer à la Discussion