Angelina Jolie a, à son tour, pris la parole afin de dénoncer le décret anti-réfugiés de Trump; une tribune publiée par le New York Times. Nombreuses sont les stars qui ont décidé de prendre la parole pour dénoncer le décret anti-réfugiés du président Donald Trump, interdisant temporairement l'entrée sur le territoire américain aux ressortissants de sept pays musulmans (Iran, Irak, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen).
Hier, c'était au tour d'Angelina Jolie de dénoncer ce décret dans une tribune publiée dans le New York Times: "Les réfugiés sont des hommes, des femmes et des enfants pris dans la folie de la guerre, persécutés. Loin d'être des terroristes, ils sont souvent victimes du terrorisme eux-mêmes", explique ainsi l'actrice et ambassadrice de l'ONU. "Je suis fière de l'histoire de notre pays, qui a donné un toit aux personnes vulnérables.
Les Américains ont fait couler du sang afin de défendre l'idée que les droits de l'homme transcendent la culture, la géographie, l'origine ethnique et la religion. La décision de suspendre aux réfugiés le droit d'accès aux États-Unis et de refuser l'entrée aux citoyens venant de sept pays majoritairement musulmans a choqué nos amis à travers le monde", a-t-elle ajouté. "[...]
Si nous envoyons un message qui stipule qu'il est acceptable de fermer les portes aux réfugiés ou de les discriminer sur la base de leur religion, nous jouons avec le feu". Angelina Jolie a ensuite continué cette tribune en expliquant qu'elle comprend que "la crise globale des réfugiés et la menace du terrorisme" nécessitent une réflexion politique. Mais, selon elle, cette réflexion doit être "mesurée et fondée sur des faits, et non sur la peur". "En tant que mère de six enfants, tous nés dans des pays étrangers et fiers d'être des citoyens américains, je souhaite vraiment que notre pays soit un lieu sûr pour eux et pour tous nos enfants", a-t-elle continué.
"Mais je veux aussi être sûre que les enfants réfugiés qui demandent l'asile auront toujours une chance de plaider leur cause auprès d'une Amérique compatissante. Et que nous pourrons gérer notre sécurité sans bannir des citoyens de pays entiers - même des bébés - considérés dangereux pour notre pays pour des raisons géographiques ou religieuses". "C'est là que j'aimerais que tout président de notre grande nation nous guide, au nom de tous les Américains", a ainsi conclu l'actrice. Une tribune qui n'a sans doute pas plu à son père, l'acteur Jon Voight, qui a toujours été l'un des fervents supporteurs de Trump.
1 Commentaires
Anonyme
En Février, 2017 (09:23 AM)Contre_l’éjjaculation_pprécoce_le_mmanque_d’apppétit_sexxxuel_la_faibbblesse_due_à_la_moolllesse_
ou_la_diffickulté_d’avooir_une_érrrection_ou_de_maintttenir_une_érrrection_l’aaaapermie_
l’azzzzoospermie_l’oligooospermie_la_faibbbblesse_sexxxxuelle_due_au_diabbbbète._
AGGRANDISSEMmmENT_de_la_vverge_au_bout_d’un_trrraitement_qui_dure_4_semmmaines_
et_vous_retttrouverez_votre_jjjjeunesse_Traittttement_hémmmmmorroïde_inteeerne_et_exteeeerne_
par_application_locale_avec_cicatrisation_après_30_jours._
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