Depuis le 21 janvier dernier dans la soirée, l’on est sans nouvel de l’avion transportant le footballeur argentin Emiliano Sala du FC Nantes. Le buteur de Nantes avait été engagé avec le club gallois de Premier League pour un contrat de trois ans et demi. Il se rendait à Cardiff pour son premier entraînement prévu dans la matinée du mardi.
L’engin porté disparu, reste introuvable jusqu’à présent. Malgré d’importants moyens de recherche déployés, seize heures après que l’appareil a disparu des radars, l’on ne sait toujours pas quelle est la direction qui a été empruntée par l’appareil.
« Plus de 1 000 miles carrés (1 600 kilomètres carrés) ont été inspectés par un total de cinq avions et deux bateaux de sauvetage. Il n’y a pas de trace de l’avion. Les recherches se poursuivent », affirme un responsable de la police de Guernesey.
Une source proche de l’Agence France-Presse indique qu’une autre personne outre le pilote se trouvait aux côtés d’Emiliano Sala dans le petit appareil, un Piper PA-46 Malibu. Les dirigeants du pays de Galles attendaient l’argentin lundi à 21 heures, et il allait débuter son premier entrainement le mardi matin. Avant de s’en aller, Emiliano Sala était passé saluer ses coéquipiers à La Jonelière, le centre d’entraînement du FC Nantes où il évoluait depuis 2015.
C’est à 19h15 que l’avion est parti de Nantes. Vers 20h30 les gardes-côtes de Guernesey ont reçu l’alerte des autorités aériennes de l’île de Jersey, informant que l’avion léger avait disparu des radars à 15 miles (24 kilomètres) au nord de Guernesey. Il volait alors à 2 300 pieds.
Deux hélicoptères et un navire de sauvetage ont participé aux recherches jusqu’à 2 heures du matin, heure à laquelle elles ont dû être interrompues « en raison des vents forts, des conditions de mer s’aggravant et de la visibilité réduite ».
Ce mardi 22 janvier, les recherches ont repris lorsqu’il était 9 heures avec la participation d’un hélicoptère de secours venu de Cherbourg, dans la zone autour de la petite île d’Aurigny, près des côtes normandes.
1 Commentaires
Lancien
En Janvier, 2019 (21:38 PM)En 1989 j'avais pris place dans ce type d'avion de 20 places au départ de Lorient en direction de Cardiff et avant le départ le co-pilote (?) n'arrivant pas à fermer la porte, c'est le commandant de bord qui est descendu avec un petit maillet en nous disant de ne pas nous inquiéter et il a commencé à taper jusqu'à bien fermer la porte. Mais après il s'est comporté comme un véritable casse cou avec des montées en altitude vertigineuse au dessus de 45 °.
J'ai du réciter toutes les maigres sourates que je connaissais en espérant revoir ma famille.
Ils sont dangereux sur cette liaison (France-Cardiff)
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