Les 27 enseignants des écoles franco-sénégalaises de Fann et Dial Diop ne dorment plus que d'un seul œil. Selon Walf Quotidien, ils vivent sous la hantise d'une menace de radiation.
Leur faute ? Avoir émis la volonté d'aller en grève pour revendiquer l'équité salariale avec leurs collègues français «qui perçoivent cinq à six fois plus» selon Guy Marius Sagna du Frapp/France Dégage.
À noter que le Cusems/Authentique a décidé de s'engager dans ce combat.
9 Commentaires
Ndof
En Août, 2019 (07:54 AM)C'est un peu nul pour des fonctionnaires détachés dans leur propre pays bien mieux traités que leurs collègues locaux.
Leral Gni Khamoul
En Août, 2019 (11:57 AM)En effet, un employé national local ne peut pas être payé au même titre qu"un enseignant expatrié. Cela est valable partout dans le monde du travail.
Si vous allez exemple dans le système des Nations Unies, c'est la même chose.
Il faut savoir poser ses revendications sur des bases solides. Au Sénégal tout est calculé et vu sous l'angle de l'argent et non des performances et des résultats. Même nos enseignants du public devraient se livrer à une introspection notamment sur l'absentéisme, les écoles qui sont captées aux examens. Ils ont une grande part de responsabilité.
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