Dix pays africains affichent les plus hauts niveaux
d’endettement envers le Fonds monétaire international (FMI) au quatrième
semestre de l’année 2024, mettant en évidence une dépendance au financement extérieur :
1 Égypte : 9,45 milliards $
2 Kenya : 3,02 milliards $
3 Angola : 2,99 milliards $
4 Ghana : 2,25 milliards $
5 Côte d’Ivoire : 2,19 milliards $
6 RDC : 1,6 milliard $
7 Éthiopie : 1,31 milliard $
8 Afrique du Sud : 1,14 milliard $
9 Cameroun : 1,13 milliard $
10 Sénégal : 1,11 milliard $
11 Commentaires
Lan moo leen neekh si ay fenn rek la khamoul
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il y a 4 jours (14:40 PM)Reply_author
il y a 4 jours (14:40 PM)Reply_author
il y a 4 jours (14:51 PM)Hé!
il y a 4 jours (15:00 PM)Thierou
il y a 4 jours (15:12 PM)Avoir une petite dette chez le boutiquier du coin, ne signifie pas que l'on n'a pas une dette à millions auprès de la banque. Le FMI n'est que l'un des bailleurs auxquels le Sénégal doit beaucoup d'argent.
Wa salaam.
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il y a 4 jours (02:41 AM)Precision
il y a 4 jours (14:46 PM)Doul rek lay def
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il y a 4 jours (20:28 PM)En plus d'avoir laissé un état debout crédible qui a permis à successeur de fonctionner malgré les difficultés depuis presque un an.
Tout ça pour un pays pauvre. Macky n'était pas président de la France ou des États-Unis. Il a été président d'un état pauvre.
Tout ça aussi malgré un deuxième mandat pourri par la covid et les manifestations et les casses.
Il mérite la reconnaissance de la nation.
Tchim !
il y a 4 jours (15:15 PM)Reply_author
il y a 4 jours (16:04 PM)Reply_author
il y a 4 jours (16:09 PM)Je viens de lire un article du monde daté du 26 décembre 2024, disant que le Sénégal allait lancer un emprunt auprès de sa diaspora pour financer son développement. En temps normal, les enfants du pays devraient s’en réjouir et répondre massivement à l’appel. Seulement, voilà, il y a un énorme dilemme qui s’invite au banquet. J’ai plus de soixante ans et je fais partie de cette diaspora. Depuis l’indépendance, mon pays n’a cessé de s’endetter et, surtout, n’est jamais arrivé à éponger sa dette. Il est sous perfusion en permanence. Quand pareil pays, fut-il le mien, m’emprunte de l’argent, j’ai bien le droit de me poser au moins deux questions :
a) Qui va garantir cet emprunt et sous quelles conditions ?
b) L’argent collecté va-t-il aussi contribuer à financer la gabegie d’état comme actuellement ?
Aujourd’hui, personne ne peut dire que les caisses de l’Etat sont vides et hier également. Ce qui pose vraiment problème, c’est la priorisation dans l’utilisation de cet argent. Depuis des décennies, l’Etat sénégalais s’est défaussé de ses devoirs régaliens prioritaires à tel point que les écoles de nos enfants, les hôpitaux publics……ne survivent que grâce aux bonnes œuvres souvent étrangères. Quand ton propre peuple en est arrivé à ce stade, comment peux-tu lui faire confiance en lui prêtant une partie de ce que tu as durement amassé pendant toute une vie de labeur ?
Si les diaspora bonds ne devaient servir qu’à construire et entretenir des écoles, des hôpitaux… cela ne me ferait rien de risquer mon argent pour une cause utile. Limite, si les intérêts générés doivent servir à payer, petit à petit, notre dette abyssale, je serais honoré d’y participer comme certainement bon nombre de mes compatriotes.
Les nouveaux gouvernants n’ont, jusqu’ici, pas donné les garanties de rupture autrement qu’en mots.
Quand un fléau naturel frappe une partie du peuple, en lieu et place de solution préventive, ils offrent de la nourriture pour quelques semaines.
Je ne demande qu’à avoir tort mais, pour l’heure, je ne suis pas convaincu par ce qui n’est qu’une déclaration de bonnes intentions. J’ai simplement envie d’appartenir à une nation clairvoyante, par à une bande « gagne-petit » un tantinet pas trop honnêtes.
Vérité
il y a 4 jours (17:27 PM)Reply_author
il y a 4 jours (17:31 PM)Défenseur
il y a 4 jours (18:30 PM)Participer à la Discussion