Bras de fer entre les commerçants qui refusent d’appliquer les nouveaux tarifs et les services de contrôles qui veillent à leur application stricte. Au moins, 24 équipes du service régional de commerce de Dakar sont sur le terrain pour contrôler l’application de la baisse des prix conformément à l’arrêté du ministre du Commerce Aminata Assome Diatta. Entre Tilène et Médina ce lundi 6 septembre, trois contrevenants dont deux pour vente illégale de pain et un autre pour défaut de publication de prix ont été convoqués.
Selon la Rfm, on sent un manque de volonté d’application de la baisse. Mansour Thiam, gérant d’une épicerie à la Médina, ne comprend pas pourquoi le gouvernement veut qu’ils vendent à perte le stock déjà acheté avec la baisse. «Avant de prendre ces mesures, l'Etat devrait en parler avec les commerçants » a-t-il dit.
Mais, pour le Chef de Brigade du service régional de commerce, il n'y a pas de négociation. Il faut appliquer les nouveaux tarifs. « A Chaque fois qu’il y a une baisse ou un changement de prix, c’est le même discours que les commerçants tiennent», a dit El Hadji Lamine Sakho.
Commissaire aux affaires économiques, Serigne Diao affirme quant à lui que l’Etat a renoncé à 47 milliards de nos francs et les agents ont affiché les prix partout. «Il faut une application stricte, c’est pourquoi nous allons poursuivre la sensibilisation et le contrôle», avertit-il.
Selon la Rfm, on sent un manque de volonté d’application de la baisse. Mansour Thiam, gérant d’une épicerie à la Médina, ne comprend pas pourquoi le gouvernement veut qu’ils vendent à perte le stock déjà acheté avec la baisse. «Avant de prendre ces mesures, l'Etat devrait en parler avec les commerçants » a-t-il dit.
Mais, pour le Chef de Brigade du service régional de commerce, il n'y a pas de négociation. Il faut appliquer les nouveaux tarifs. « A Chaque fois qu’il y a une baisse ou un changement de prix, c’est le même discours que les commerçants tiennent», a dit El Hadji Lamine Sakho.
Commissaire aux affaires économiques, Serigne Diao affirme quant à lui que l’Etat a renoncé à 47 milliards de nos francs et les agents ont affiché les prix partout. «Il faut une application stricte, c’est pourquoi nous allons poursuivre la sensibilisation et le contrôle», avertit-il.
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