Selon le Directeur général du Giaba, le Sénégal est l’un de ses meilleurs élèves dans le cadre de la lutte contre la corruption, le blanchiment de capitaux et la lutte contre le terrorisme.
"Dans tous les compartiments, dans tous les aspects de la lutte, y compris la corruption, le Sénégal fait des efforts même si ce n’est pas une lutte qui est facile. Mais le pays continue à faire des efforts pour éradiquer sinon atténuer ce phénomène de la corruption", a apprécié le juge Kimelabalou Aba, lors du 3ème Forum des parties prenantes du Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment d’Argent (Giaba).
Bien que le Giaba n’a pas un pouvoir de police et ne formule que des recommandations pour permettre à ses États membres de prendre des mesures afin de corriger les lacunes qui ont été identifiées dans ses rapports, le Gafi (groupe d'action financière) a, à son niveau, un mécanisme qui permet d’inscrire les États sur la liste grise.
"C’est une mesure qui est contraignante et qui oblige les États à faire des efforts pour remédier aux insuffisances constatées dans les rapports d’évaluation mutuelle dans leurs dispositifs de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. C’est ça qui fait que les États continuent de déployer tout ce qu’il faut pour mettre en œuvre les mesures efficaces de Lbc/Ft", a soutenu le juge Aba.
"Dans tous les compartiments, dans tous les aspects de la lutte, y compris la corruption, le Sénégal fait des efforts même si ce n’est pas une lutte qui est facile. Mais le pays continue à faire des efforts pour éradiquer sinon atténuer ce phénomène de la corruption", a apprécié le juge Kimelabalou Aba, lors du 3ème Forum des parties prenantes du Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment d’Argent (Giaba).
Bien que le Giaba n’a pas un pouvoir de police et ne formule que des recommandations pour permettre à ses États membres de prendre des mesures afin de corriger les lacunes qui ont été identifiées dans ses rapports, le Gafi (groupe d'action financière) a, à son niveau, un mécanisme qui permet d’inscrire les États sur la liste grise.
"C’est une mesure qui est contraignante et qui oblige les États à faire des efforts pour remédier aux insuffisances constatées dans les rapports d’évaluation mutuelle dans leurs dispositifs de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. C’est ça qui fait que les États continuent de déployer tout ce qu’il faut pour mettre en œuvre les mesures efficaces de Lbc/Ft", a soutenu le juge Aba.
14 Commentaires
Siley
En Décembre, 2021 (21:56 PM)Ceddo
En Décembre, 2021 (22:05 PM)non dou ma rétannne
Mdr...
En Décembre, 2021 (22:32 PM)Reply_author
En Décembre, 2021 (00:17 AM)Wuuuy
En Décembre, 2021 (22:42 PM)Freeman
En Décembre, 2021 (23:08 PM)Pse Parlons En .
En Décembre, 2021 (05:05 AM)April First
En Décembre, 2021 (05:35 AM)Participer à la Discussion