Il tenait à être le premier président africain reçu à l'Élysée après le départ de François Hollande. Alassane Ouattara aura usé d'un forcing pour être reçu par le président Macron, alors qu'une audience avec le président Macky Sall du Sénégal était déjà fixée.
"Jusqu'au bout le président Alassane Ouattara a insisté pour faire arranger l'agenda du président Emmanuel Macron et être le premier chef d'État africain à être reçu par le nouveau locataire du palais de l'Élysée", écrit le quotidien EnQuête+ qui parle de "forcing" du "grand-frère" et homme fort d'Abidjan, reçu finalement par le président Macron, dimanche dernier, jour d'élections en France.
Alassane Dramane Ouattara entendait rappeler son "rang" et n'a pas hésité à mettre la pression sur le nouveau secrétaire général de l'Elysée, le strasbourgeois Alexis Köhler, révèle le quotidien.
Le président de la première économie de l'Uemoa a finalement obtenu, d'Emmanuel Macron, un entretien d'une trentaine de minutes, et Macky Sall, reçu lundi, pour audience de plus d'une heure.
Les trois chefs d'État se retrouvent aujourd'hui à Berlin, en Allemagne, pour les besoins d'un somment du G20.
81 Commentaires
Anonyme
En Juin, 2017 (11:53 AM)Senegal Pourri
En Juin, 2017 (11:57 AM)Il existe une explication simple de la corruption au Sénégal: les bourses d’excellence.
En octroyant des bourses d’excellence, l’Etat se défait de ses meilleurs élèves qui devraient prendre le destin du pays en main. Presque tous les bacheliers ayant obtenu la mention Bien ou Très-Bien obtiennent une bourse pour partir en France, ou en Amérique du Nord. Ceux qui ont des mentions Assez-Bien ont aussi des bourses pour le Maroc, la Tunisie, ou l’Algérie, ou bénéficie d’une aide s’ils réussissent à partir en France. Parmi les meilleurs qui partent, la majeure partie restent en Europe pour des raisons multiples : manque de rigueur dans l’administration sénégalaise, maraboutage des collègues nullards qui ne veulent pas qu’on les devance, lobbying des nullards qui leur ferment les portes. Ce faisant, il ne reste au pays que des étudiants avec un niveau moyen (environ 5%) et des nullards (environ 95%). Un exemple concret ? Sur les 30 candidats admis au concours de la Magistrature, seuls le 1er à une moyenne supérieure à 12/20 (12,35 plus précisément). En se référant aux résultats 2015 et 2016 du CFJ, on peut facilement imaginer que plus de ¾ des magistrats ont eu leur bac avec mention passable et ont été accepté au concours avec une moyenne à peine supérieure à 10/20. Idem, les meilleurs nullards restés au pays intègrent l’ENA dont à peine ¼ ont le niveau réel pour être haut fonctionnaire. En envoyant ses meilleurs éléments à l’étranger et en confiant l’administration aux nullards, L’Etat forme lui-même des arrivistes qui dans leurs plus doux rêves d’enfant ne se voyaient pas haut fonctionnaire. Ces nullards devenus magistrats, inspecteurs des impôts ou des douanes, DAGE, ministre, Directeur d’agence, etc. se goinfrent comme des affamés avec les deniers publics. Partout dans l’administration, les promotions se font par liens de parenté ou copinage. Le directeur de service ne veut être entouré que par des chefs de bureau nuls ou par des parents. Car sachant qu’il/elle est nul(le), il/elle ne veut pas avoir à ses côtés des gens plus compétents.
Il y a des centaines de sénégalais qui ont obtenu leur doctorat dans de grandes universités avec des publications record et qui veulent rentrer au pays, mais les nullards restés au pays leur ferment la porte. Le recrutement des enseignant-chercheurs n’est pas du tout objectif. Il faut avoir un parent dans un ministère ou dans l’université pour être accepté. L’étudiant nul qui a passé 10 ans avec un nullard de professeur pour une thèse nulle (sans aucune publication) se voit attribué le titre de Dr. Avec Mention très honorable et félicitations du jury! Ce soi-disant docteur devient l’assistant du professeur nul. Et cela se poursuivra avec cet assistant nul quand il deviendra un professeur nul. Ce qui explique qu’il n’y a plus d’enseignement de qualité dans les universités sénégalaises, ni de publications, ni de recherche appliquée. Plus de 90% des professeurs de l’UCAD n’ont pas eu de mention au BAC. Ce qui montre qu’ils étaient déjà nuls à la base. Comment expliquer qu’un enseignant-chercheur puisse stagner toute sa vie au statut de « Maitre-assistant» ? Par ce que même dans un milieu universitaire pourri où avec quelques colloques et conférences sous- régionales et ZERO publication dans des «peer-reviewed journals», on peut devenir Professeur titulaire NUL, l’assistant nul n’y arrive pas.
Et les exemples sont plus que nombreux. LE SYSTEME EST TOUT SIMPLEMENT POURRI.
Anonyme
En Juin, 2017 (12:00 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (12:01 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (12:04 PM)Fuck Seneweb
En Juin, 2017 (12:05 PM)Il existe une explication simple de la corruption au Sénégal: les bourses d’excellence.
En octroyant des bourses d’excellence, l’Etat se défait de ses meilleurs élèves qui devraient prendre le destin du pays en main. Presque tous les bacheliers ayant obtenu la mention Bien ou Très-Bien obtiennent une bourse pour partir en France, ou en Amérique du Nord. Ceux qui ont des mentions Assez-Bien ont aussi des bourses pour le Maroc, la Tunisie, ou l’Algérie, ou bénéficie d’une aide s’ils réussissent à partir en France. Parmi les meilleurs qui partent, la majeure partie restent en Europe pour des raisons multiples : manque de rigueur dans l’administration sénégalaise, maraboutage des collègues nullards qui ne veulent pas qu’on les devance, lobbying des nullards qui leur ferment les portes. Ce faisant, il ne reste au pays que des étudiants avec un niveau moyen (environ 5%) et des nullards (environ 95%). Un exemple concret ? Sur les 30 candidats admis au concours de la Magistrature, seuls le 1er à une moyenne supérieure à 12/20 (12,35 plus précisément). En se référant aux résultats 2015 et 2016 du CFJ, on peut facilement imaginer que plus de ¾ des magistrats ont eu leur bac avec mention passable et ont été accepté au concours avec une moyenne à peine supérieure à 10/20. Idem, les meilleurs nullards restés au pays intègrent l’ENA dont à peine ¼ ont le niveau réel pour être haut fonctionnaire. En envoyant ses meilleurs éléments à l’étranger et en confiant l’administration aux nullards, L’Etat forme lui-même des arrivistes qui dans leurs plus doux rêves d’enfant ne se voyaient pas haut fonctionnaire. Ces nullards devenus magistrats, inspecteurs des impôts ou des douanes, DAGE, ministre, Directeur d’agence, etc. se goinfrent comme des affamés avec les deniers publics. Partout dans l’administration, les promotions se font par liens de parenté ou copinage. Le directeur de service ne veut être entouré que par des chefs de bureau nuls ou par des parents. Car sachant qu’il/elle est nul(le), il/elle ne veut pas avoir à ses côtés des gens plus compétents.
Il y a des centaines de sénégalais qui ont obtenu leur doctorat dans de grandes universités avec des publications record et qui veulent rentrer au pays, mais les nullards restés au pays leur ferment la porte. Le recrutement des enseignant-chercheurs n’est pas du tout objectif. Il faut avoir un parent dans un ministère ou dans l’université pour être accepté. L’étudiant nul qui a passé 10 ans avec un nullard de professeur pour une thèse nulle (sans aucune publication) se voit attribué le titre de Dr. Avec Mention très honorable et félicitations du jury! Ce soi-disant docteur devient l’assistant du professeur nul. Et cela se poursuivra avec cet assistant nul quand il deviendra un professeur nul. Ce qui explique qu’il n’y a plus d’enseignement de qualité dans les universités sénégalaises, ni de publications, ni de recherche appliquée. Plus de 90% des professeurs de l’UCAD n’ont pas eu de mention au BAC. Ce qui montre qu’ils étaient déjà nuls à la base. Comment expliquer qu’un enseignant-chercheur puisse stagner toute sa vie au statut de « Maitre-assistant» ? Par ce que même dans un milieu universitaire pourri où avec quelques colloques et conférences sous- régionales et ZERO publication dans des «peer-reviewed journals», on peut devenir Professeur titulaire NUL, l’assistant nul n’y arrive pas.
Et les exemples sont plus que nombreux. LE SYSTEME EST TOUT SIMPLEMENT POURRI.
Anonyme
En Juin, 2017 (12:06 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (12:08 PM)Ensemble avec mon ami Dago, on dit : On s'en fout, oh!
Lebaobaol Tigui
En Juin, 2017 (12:13 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (12:15 PM)Il existe une explication simple de la corruption au Sénégal: les bourses d’excellence.
En octroyant des bourses d’excellence, l’Etat se défait de ses meilleurs élèves qui devraient prendre le destin du pays en main. Presque tous les bacheliers ayant obtenu la mention Bien ou Très-Bien obtiennent une bourse pour partir en France, ou en Amérique du Nord. Ceux qui ont des mentions Assez-Bien ont aussi des bourses pour le Maroc, la Tunisie, ou l’Algérie, ou bénéficie d’une aide s’ils réussissent à partir en France. Parmi les meilleurs qui partent, la majeure partie restent en Europe pour des raisons multiples : manque de rigueur dans l’administration sénégalaise, maraboutage des collègues nullards qui ne veulent pas qu’on les devance, lobbying des nullards qui leur ferment les portes. Ce faisant, il ne reste au pays que des étudiants avec un niveau moyen (environ 5%) et des nullards (environ 95%). Un exemple concret ? Sur les 30 candidats admis au concours de la Magistrature, seuls le 1er à une moyenne supérieure à 12/20 (12,35 plus précisément). En se référant aux résultats 2015 et 2016 du CFJ, on peut facilement imaginer que plus de ¾ des magistrats ont eu leur bac avec mention passable et ont été accepté au concours avec une moyenne à peine supérieure à 10/20. Idem, les meilleurs nullards restés au pays intègrent l’ENA dont à peine ¼ ont le niveau réel pour être haut fonctionnaire. En envoyant ses meilleurs éléments à l’étranger et en confiant l’administration aux nullards, L’Etat forme lui-même des arrivistes qui dans leurs plus doux rêves d’enfant ne se voyaient pas haut fonctionnaire. Ces nullards devenus magistrats, inspecteurs des impôts ou des douanes, DAGE, ministre, Directeur d’agence, etc. se goinfrent comme des affamés avec les deniers publics. Partout dans l’administration, les promotions se font par liens de parenté ou copinage. Le directeur de service ne veut être entouré que par des chefs de bureau nuls ou par des parents. Car sachant qu’il/elle est nul(le), il/elle ne veut pas avoir à ses côtés des gens plus compétents.
Il y a des centaines de sénégalais qui ont obtenu leur doctorat dans de grandes universités avec des publications record et qui veulent rentrer au pays, mais les nullards restés au pays leur ferment la porte. Le recrutement des enseignant-chercheurs n’est pas du tout objectif. Il faut avoir un parent dans un ministère ou dans l’université pour être accepté. L’étudiant nul qui a passé 10 ans avec un nullard de professeur pour une thèse nulle (sans aucune publication) se voit attribué le titre de Dr. Avec Mention très honorable et félicitations du jury! Ce soi-disant docteur devient l’assistant du professeur nul. Et cela se poursuivra avec cet assistant nul quand il deviendra un professeur nul. Ce qui explique qu’il n’y a plus d’enseignement de qualité dans les universités sénégalaises, ni de publications, ni de recherche appliquée. Plus de 90% des professeurs de l’UCAD n’ont pas eu de mention au BAC. Ce qui montre qu’ils étaient déjà nuls à la base. Comment expliquer qu’un enseignant-chercheur puisse stagner toute sa vie au statut de « Maitre-assistant» ? Par ce que même dans un milieu universitaire pourri où avec quelques colloques et conférences sous- régionales et ZERO publication dans des «peer-reviewed journals», on peut devenir Professeur titulaire NUL, l’assistant nul n’y arrive pas.
Et les exemples sont plus que nombreux. LE SYSTEME EST TOUT SIMPLEMENT POURRI.
Anonyme
En Juin, 2017 (12:16 PM)Kes senegalais et ivoiriens eux s'occupent de leur problèmes du quotidien.
Anonyme
En Juin, 2017 (12:18 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (12:22 PM)Il existe une explication simple de la corruption au Sénégal: les bourses d’excellence.
En octroyant des bourses d’excellence, l’Etat se défait de ses meilleurs élèves qui devraient prendre le destin du pays en main. Presque tous les bacheliers ayant obtenu la mention Bien ou Très-Bien obtiennent une bourse pour partir en France, ou en Amérique du Nord. Ceux qui ont des mentions Assez-Bien ont aussi des bourses pour le Maroc, la Tunisie, ou l’Algérie, ou bénéficie d’une aide s’ils réussissent à partir en France. Parmi les meilleurs qui partent, la majeure partie restent en Europe pour des raisons multiples : manque de rigueur dans l’administration sénégalaise, maraboutage des collègues nullards qui ne veulent pas qu’on les devance, lobbying des nullards qui leur ferment les portes. Ce faisant, il ne reste au pays que des étudiants avec un niveau moyen (environ 5%) et des nullards (environ 95%). Un exemple concret ? Sur les 30 candidats admis au concours de la Magistrature, seuls le 1er à une moyenne supérieure à 12/20 (12,35 plus précisément). En se référant aux résultats 2015 et 2016 du CFJ, on peut facilement imaginer que plus de ¾ des magistrats ont eu leur bac avec mention passable et ont été accepté au concours avec une moyenne à peine supérieure à 10/20. Idem, les meilleurs nullards restés au pays intègrent l’ENA dont à peine ¼ ont le niveau réel pour être haut fonctionnaire. En envoyant ses meilleurs éléments à l’étranger et en confiant l’administration aux nullards, L’Etat forme lui-même des arrivistes qui dans leurs plus doux rêves d’enfant ne se voyaient pas haut fonctionnaire. Ces nullards devenus magistrats, inspecteurs des impôts ou des douanes, DAGE, ministre, Directeur d’agence, etc. se goinfrent comme des affamés avec les deniers publics. Partout dans l’administration, les promotions se font par liens de parenté ou copinage. Le directeur de service ne veut être entouré que par des chefs de bureau nuls ou par des parents. Car sachant qu’il/elle est nul(le), il/elle ne veut pas avoir à ses côtés des gens plus compétents.
Il y a des centaines de sénégalais qui ont obtenu leur doctorat dans de grandes universités avec des publications record et qui veulent rentrer au pays, mais les nullards restés au pays leur ferment la porte. Le recrutement des enseignant-chercheurs n’est pas du tout objectif. Il faut avoir un parent dans un ministère ou dans l’université pour être accepté. L’étudiant nul qui a passé 10 ans avec un nullard de professeur pour une thèse nulle (sans aucune publication) se voit attribué le titre de Dr. Avec Mention très honorable et félicitations du jury! Ce soi-disant docteur devient l’assistant du professeur nul. Et cela se poursuivra avec cet assistant nul quand il deviendra un professeur nul. Ce qui explique qu’il n’y a plus d’enseignement de qualité dans les universités sénégalaises, ni de publications, ni de recherche appliquée. Plus de 90% des professeurs de l’UCAD n’ont pas eu de mention au BAC. Ce qui montre qu’ils étaient déjà nuls à la base. Comment expliquer qu’un enseignant-chercheur puisse stagner toute sa vie au statut de « Maitre-assistant» ? Par ce que même dans un milieu universitaire pourri où avec quelques colloques et conférences sous- régionales et ZERO publication dans des «peer-reviewed journals», on peut devenir Professeur titulaire NUL, l’assistant nul n’y arrive pas.
Et les exemples sont plus que nombreux. LE SYSTEME EST TOUT SIMPLEMENT POURRI.
Anonyme
En Juin, 2017 (12:22 PM)Il existe une explication simple de la corruption au Sénégal: les bourses d’excellence.
En octroyant des bourses d’excellence, l’Etat se défait de ses meilleurs élèves qui devraient prendre le destin du pays en main. Presque tous les bacheliers ayant obtenu la mention Bien ou Très-Bien obtiennent une bourse pour partir en France, ou en Amérique du Nord. Ceux qui ont des mentions Assez-Bien ont aussi des bourses pour le Maroc, la Tunisie, ou l’Algérie, ou bénéficie d’une aide s’ils réussissent à partir en France. Parmi les meilleurs qui partent, la majeure partie restent en Europe pour des raisons multiples : manque de rigueur dans l’administration sénégalaise, maraboutage des collègues nullards qui ne veulent pas qu’on les devance, lobbying des nullards qui leur ferment les portes. Ce faisant, il ne reste au pays que des étudiants avec un niveau moyen (environ 5%) et des nullards (environ 95%). Un exemple concret ? Sur les 30 candidats admis au concours de la Magistrature, seuls le 1er à une moyenne supérieure à 12/20 (12,35 plus précisément). En se référant aux résultats 2015 et 2016 du CFJ, on peut facilement imaginer que plus de ¾ des magistrats ont eu leur bac avec mention passable et ont été accepté au concours avec une moyenne à peine supérieure à 10/20. Idem, les meilleurs nullards restés au pays intègrent l’ENA dont à peine ¼ ont le niveau réel pour être haut fonctionnaire. En envoyant ses meilleurs éléments à l’étranger et en confiant l’administration aux nullards, L’Etat forme lui-même des arrivistes qui dans leurs plus doux rêves d’enfant ne se voyaient pas haut fonctionnaire. Ces nullards devenus magistrats, inspecteurs des impôts ou des douanes, DAGE, ministre, Directeur d’agence, etc. se goinfrent comme des affamés avec les deniers publics. Partout dans l’administration, les promotions se font par liens de parenté ou copinage. Le directeur de service ne veut être entouré que par des chefs de bureau nuls ou par des parents. Car sachant qu’il/elle est nul(le), il/elle ne veut pas avoir à ses côtés des gens plus compétents.
Il y a des centaines de sénégalais qui ont obtenu leur doctorat dans de grandes universités avec des publications record et qui veulent rentrer au pays, mais les nullards restés au pays leur ferment la porte. Le recrutement des enseignant-chercheurs n’est pas du tout objectif. Il faut avoir un parent dans un ministère ou dans l’université pour être accepté. L’étudiant nul qui a passé 10 ans avec un nullard de professeur pour une thèse nulle (sans aucune publication) se voit attribué le titre de Dr. Avec Mention très honorable et félicitations du jury! Ce soi-disant docteur devient l’assistant du professeur nul. Et cela se poursuivra avec cet assistant nul quand il deviendra un professeur nul. Ce qui explique qu’il n’y a plus d’enseignement de qualité dans les universités sénégalaises, ni de publications, ni de recherche appliquée. Plus de 90% des professeurs de l’UCAD n’ont pas eu de mention au BAC. Ce qui montre qu’ils étaient déjà nuls à la base. Comment expliquer qu’un enseignant-chercheur puisse stagner toute sa vie au statut de « Maitre-assistant» ? Par ce que même dans un milieu universitaire pourri où avec quelques colloques et conférences sous- régionales et ZERO publication dans des «peer-reviewed journals», on peut devenir Professeur titulaire NUL, l’assistant nul n’y arrive pas.
Et les exemples sont plus que nombreux. LE SYSTEME EST TOUT SIMPLEMENT POURRI.
Anonyme
En Juin, 2017 (12:23 PM)Il existe une explication simple de la corruption au Sénégal: les bourses d’excellence.
En octroyant des bourses d’excellence, l’Etat se défait de ses meilleurs élèves qui devraient prendre le destin du pays en main. Presque tous les bacheliers ayant obtenu la mention Bien ou Très-Bien obtiennent une bourse pour partir en France, ou en Amérique du Nord. Ceux qui ont des mentions Assez-Bien ont aussi des bourses pour le Maroc, la Tunisie, ou l’Algérie, ou bénéficie d’une aide s’ils réussissent à partir en France. Parmi les meilleurs qui partent, la majeure partie restent en Europe pour des raisons multiples : manque de rigueur dans l’administration sénégalaise, maraboutage des collègues nullards qui ne veulent pas qu’on les devance, lobbying des nullards qui leur ferment les portes. Ce faisant, il ne reste au pays que des étudiants avec un niveau moyen (environ 5%) et des nullards (environ 95%). Un exemple concret ? Sur les 30 candidats admis au concours de la Magistrature, seuls le 1er à une moyenne supérieure à 12/20 (12,35 plus précisément). En se référant aux résultats 2015 et 2016 du CFJ, on peut facilement imaginer que plus de ¾ des magistrats ont eu leur bac avec mention passable et ont été accepté au concours avec une moyenne à peine supérieure à 10/20. Idem, les meilleurs nullards restés au pays intègrent l’ENA dont à peine ¼ ont le niveau réel pour être haut fonctionnaire. En envoyant ses meilleurs éléments à l’étranger et en confiant l’administration aux nullards, L’Etat forme lui-même des arrivistes qui dans leurs plus doux rêves d’enfant ne se voyaient pas haut fonctionnaire. Ces nullards devenus magistrats, inspecteurs des impôts ou des douanes, DAGE, ministre, Directeur d’agence, etc. se goinfrent comme des affamés avec les deniers publics. Partout dans l’administration, les promotions se font par liens de parenté ou copinage. Le directeur de service ne veut être entouré que par des chefs de bureau nuls ou par des parents. Car sachant qu’il/elle est nul(le), il/elle ne veut pas avoir à ses côtés des gens plus compétents.
Il y a des centaines de sénégalais qui ont obtenu leur doctorat dans de grandes universités avec des publications record et qui veulent rentrer au pays, mais les nullards restés au pays leur ferment la porte. Le recrutement des enseignant-chercheurs n’est pas du tout objectif. Il faut avoir un parent dans un ministère ou dans l’université pour être accepté. L’étudiant nul qui a passé 10 ans avec un nullard de professeur pour une thèse nulle (sans aucune publication) se voit attribué le titre de Dr. Avec Mention très honorable et félicitations du jury! Ce soi-disant docteur devient l’assistant du professeur nul. Et cela se poursuivra avec cet assistant nul quand il deviendra un professeur nul. Ce qui explique qu’il n’y a plus d’enseignement de qualité dans les universités sénégalaises, ni de publications, ni de recherche appliquée. Plus de 90% des professeurs de l’UCAD n’ont pas eu de mention au BAC. Ce qui montre qu’ils étaient déjà nuls à la base. Comment expliquer qu’un enseignant-chercheur puisse stagner toute sa vie au statut de « Maitre-assistant» ? Par ce que même dans un milieu universitaire pourri où avec quelques colloques et conférences sous- régionales et ZERO publication dans des «peer-reviewed journals», on peut devenir Professeur titulaire NUL, l’assistant nul n’y arrive pas.
Et les exemples sont plus que nombreux. LE SYSTEME EST TOUT SIMPLEMENT POURRI.
Anonyme
En Juin, 2017 (12:32 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (12:41 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (12:41 PM)Anonym
En Juin, 2017 (13:06 PM)Anonym
En Juin, 2017 (13:06 PM)Anonym
En Juin, 2017 (13:06 PM)Anonym
En Juin, 2017 (13:06 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (13:10 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (13:15 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (13:20 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (13:26 PM)Vous devez avoir honte de publier de telles negrailleries.
Anonyme
En Juin, 2017 (13:41 PM)Koffi Diop
En Juin, 2017 (13:42 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (13:46 PM)Petrole News
En Juin, 2017 (13:53 PM)Koffi Diop
En Juin, 2017 (14:03 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (14:03 PM)Après avoir ouvert les hostilités contre le Qatar le 5 juin, voici que l’Arabie Saoudite veut obliger l’Afrique à rejoindre son camp.
Si l’on exclut l’Égypte, partie intégrante de la coalition anti-Doha dès le premier jour et la Libye pour l’instant acéphale, pas moins de huit pays du continent ont d’ores et déjà obtempéré, sans enthousiasme il est vrai, aux ordres de Riyad : Mauritanie, Sénégal, Niger, Tchad, Gabon, Comores, Maurice et dans une moindre mesure Djibouti. On remarquera qu’il s’agit là d’États faibles ou/et en proie à des difficultés économiques, sur lesquels les arguments employés par les émissaires saoudiens ont eu un impact prévisible.
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Ces arguments sont à la fois d’ordre financier, l’Arabie Saoudite ayant toujours privilégié l’aide directe aux chefs d’État par rapport à l’aide aux projets de développement ; d’ordre diplomatique – la force de frappe géopolitique du royaume wahhabite est incomparablement supérieure à celle du Qatar – mais aussi d’ordre religieux : le chantage à la distribution des visas pour le pèlerinage à La Mecque, répartis en fonction de quotas unilatéraux, est un moyen de pression devant lequel l’autoproclamé Gardien des Lieux Saints n’a jamais reculé.
Les grands pays musulmans d’Afrique en retrait de la crise du Golfe
On remarquera par contre que les grands pays musulmans d’Afrique, à commencer par le Nigeria, les trois pays du Maghreb central (Maroc, Algérie, Tunisie), mais aussi le Soudan et – pour l’instant – le Mali, ont pris soin de ne pas être partie prenante dans ce conflit, même si les Saoudiens ont de plus en plus tendance à considérer que qui n’est pas avec eux est contre eux. Comment ne pas leur donner raison ? Car si l’on peut sans doute reprocher au Qatar l’aide qu’il apporte aux Frères Musulmans de par le monde, il est évident que sur le plan du soutien à l’extrémisme religieux – et de sa pratique au quotidien – l’Arabie Saoudite est en quelque sorte la mère de tous les jihadismes. Il suffit pour cela de rappeler l’origine des kamikazes du 11 septembre 2001, celle d’Oussama Ben Laden et de se demander pourquoi, si Doha inspire et finance le terrorisme international, aucun pays européen ni les États-Unis ne l’a dénoncé auparavant.
L’origine de ce bras de fer est évidemment ailleurs. Comme l’écrit Béchir Ben Yahmed dans « Jeune Afrique », « en réalité, le Qatar paie sa volonté d’indépendance » et son refus de la tutelle absolue que l’Arabie Saoudite entend exercer sur le Conseil de Coopération du Golfe (CCG). Pour Riyad, le CCG est un instrument à son service et aucun de ses membres n’est autorisé à pratiquer une diplomatie autonome. S’il respectait ce diktat et se conformait aux règles édictées par son grand voisin, le Qatar ne serait que le numéro trois ou quatre du CCG, après le Koweït et les Émirats Unis. Une position de soumission dont la dynastie Al Thani ne veut plus depuis deux décennies, au point de transgresser ce qui aux yeux des Saoud est une ligne rouge : l’alliance avec l’Iran.
L’Afrique n’a rien à gagner dans ce conflit
C’est de cela dont il fallait « punir » ce petit pays, lequel a jusqu’ici réagi avec modération à ce qu’il faut bien appeler une agression – il est vrai que le rapport des forces, face à une Arabie Saoudite soutenue par le trio Trump – Netanyahou – El Sissi, a quelque chose d’écrasant pour un émirat dont la population autochtone n’excède pas 300 000 individus (2,5 millions avec les étrangers). Les autorités de Doha ont ainsi publié un communiqué officiel à l’intention des ressortissants des pays qui ont cru bon de rompre leurs relations diplomatiques : aucun d’entre eux ne sera expulsé, à commencer par les deux cent mille Égyptiens et les dizaines de milliers de Mauritaniens et d’originaires des pays du Sahel. « Au Qatar, les femmes votent, travaillent, conduisent, dirigent et la peine de mort n’est plus appliquée depuis 15 ans » explique un diplomate en poste à Doha, « les valeurs ne sont pas les mêmes qu’en Arabie Saoudite où elles restent médiévales, même si de vrais progrès restent à accomplir. Faut-il faire payer aux immigrés africains l’aboulie de leurs dirigeants ? La question ne se pose pas ici ». Une chose est sûre : dans ce conflit qui la dépasse, l’Afrique n’a rien à gagner.
Anonyme
En Juin, 2017 (14:05 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (14:06 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (14:06 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (14:15 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (14:23 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (14:23 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (14:25 PM)Senegais
En Juin, 2017 (14:28 PM)Lougatois
En Juin, 2017 (14:28 PM)-
Iga Biva
En Juin, 2017 (14:31 PM)Point De Vue
En Juin, 2017 (14:39 PM)A quand l'indépendance des pays africains ?
Anonyme
En Juin, 2017 (14:57 PM)rappelez l auteur du vieux nègre et la médaille
on dirait ferdinand oyono, eza boto? Ah mes années de collège!
Anonyme
En Juin, 2017 (15:05 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (15:09 PM)Latdior2012
En Juin, 2017 (15:15 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (15:25 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (15:53 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (16:07 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (16:39 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (16:43 PM)ou bien c est peut etre " le premier qui arrive baise, ma femme" hanaaa!!
Anonyme
En Juin, 2017 (16:52 PM)Senghor 4 mandats, Diouf 3 mandats, Wade 2 mandats, le maquis APR fera 1 mandat..(c'est pourquoi il l'a rallongé)...4..3..2...1 courbe descendance à essence divine qu'il faut accepter dignement comme Sarko et Hollande..mêmes les saltigués ont vu cela..on s'en fous des partis politiques mais le peuple profond votera n'importe quelle coalition sauf APR BENNO..prenez l,argent mais voter Manko, Wattu, Touré, Sonko, El hadji Diouf, Gadio...sauf Benno et ses satellites cachées dans certaines coalitions
Tous les socialistes authentiques voteront contre BENNO, les progressistes de l'AFP voteront contre Benno, les communistes authentiques de la LD, PIT, AJ voteront contre BENOO
Vous avez perdu les élections et vous le savez ..les services secrets le savent
Ams
En Juin, 2017 (17:05 PM)C'est facile avec la parole la plume ou l'ordinateur . . .
Anonyme
En Juin, 2017 (17:23 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (17:50 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (18:17 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (18:21 PM)Non Seneweb
En Juin, 2017 (18:26 PM)Senseneweb se fiche de nous avec cette information dégradante. un peu de respect pour vos lecteurs.
seneweb rapporte une information qui est non sensé. je veux bien croire qu'on des idiots chefs d'état, mais pas a ce point d'être aussi mentalement retarde pour faire la course chez macron. NON et NON Respect pour nos chefs d'état et pour les africains!
ou bien c est peut etre " le premier qui arrive baise, ma femme" hanaaa!
Anonyme
En Juin, 2017 (18:54 PM)ils sont venus en premier pour recevoir la nouvelle feuille de route de leur patron les petits sous-prèfets africains il a fallu un petit sifflement de Macron pour qu'ils accourent comme de petits chiens vers leus maitres pour comencer ils ont léché les souliers du jeune Macron jusqu'à ce qu'ils brillent en guis d'allégance il fallait comment Macky s'est mis à lécher les poussières oublièes par Ouattara la veille sur les souleirs de Macron c'est encore fini suivront Bingo Biya Sassou le prèsident du Bénin du Togo Macron n'aura pas besoin d'un cireur de souliers d'ici la fin de son quinquenat
Pourtant le roi du Maroc est resté chez lui et chaque fois c'est le prèsident français élu qui se rend au Maroc avant meme de recevoir les petits sous-prèfets africains en ordre d'allégance
Ils n'ont aucune dignité j'ai été déçu par Macky Sall né après les indépendances et il est plus servile que Senghor envers la France
Anonyme
En Juin, 2017 (19:35 PM)Lebaolbaol Tigui
En Juin, 2017 (19:57 PM)Moulaye Sylla
En Juin, 2017 (19:57 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (20:00 PM)Bjk
En Juin, 2017 (20:53 PM)Comme les pays anglophones et arabophones d'Afrique, les francophones doivent se ressaisir en gagnant un tant soit peu en maturité et en dignité. Le Maroc a mille raisons de s'en orgueilir car le nouveau président français lui réserve sa première vraie visite d'un pays africain. Au Mali, c'était une visite aux armées françaises déployées dans ce pays pour le protéger .
Anonyme
En Juin, 2017 (21:11 PM)dans ce monde tout le monde a besoin d alliés et la france est notre allié ,la été et le sera toujours !
si tu préfére autres choses ,au lieu de pleurnicher ici va t engagé en politique voir si tu sera capable d attirer du monde pour ta petite politique boutikou nar ! macron élu qu a t il fait ? tout de suite il est partit en allemagne ! le monde a des régles de fonctionnement qui t échappe ,moi inclus ! mais je sais que notre lien avec la france est la meilleure ! si tu as mieux t a cas le démontrer par ton élection !
Xeme
En Juin, 2017 (21:18 PM)Pour l'un, il annonce un renforcement des accords militaires pour faire face au terrorisme. Des accords militaires qui ont atteint un niveau tel que l'armée française peut bombarder le palais présidentiel du président élu, envoyer des commandos le capturer avec famille et l'humilier, cette accord, donc, sera renforcé. Je crois que cette fois il va permettre à l'armée française de trouver le président dans les toilettes du Palais de la république. Mais cela ne sera pas dit comme cela. C'est pour combattre le terrorisme. Mais quel terrorisme ? Celui que la France implante pour ensuite venir le combattre, s'installer pour exploiter et rapatrier chez elle les ressources du pays conquis sous cette nouvelle forme ?
Les derniers attentats dits djihadistes islamistes dans un hôtel de Ouaga ont été perpétrés par des terroristes envoyés depuis la Côte d'Ivoire par Blaise Compaoré, le nouvel émir islamiste. On aura beau s'enfouir la tête dans le sable pour ne pas voir et comprendre la vérité, on ne pourra pas nier que cette accusation de terroristes envoyés par Blaise Compaoré est une accusation de la justice burkinabé. On ne pourra pas nier que pour desserrer la pression du mandat d'arrêt burkinabé contre Blaise, le pouvoir ivoirien de Ouattara a bien accepté de sacrifier les quelques gradés de l'armée burkinabé qui avaient fuient pour rejoindre Blaise, en les livrant à l'état burkinabé. Ce seront les sacrifiés qui seront accusés d'avoir commandité les attentats djihadistes islamistes. Blaise pourra souffler pour quelques temps. La fraternité entre légionnaires a bien fonctionné.
Les terroristes djihadistes envoyés depuis la Libye vers le Nord du Mali pour y semer le bordel et donner l'occasion à la France de s'installer au Mali ont bien joué leur rôle. Aujourd'hui le Nord du Mali est devenu une zone occupée par l'armée française et interdite à tout malien. Est ce pour chercher des terroristes que l'armée française creuse le sous sol malien ? La manière par laquelle l'armée française a pris possession du Mali, par une duperie des peuples africains, mais avec une belle complicité des dirigeants africains est connue de tous. L'armée malienne a bien vu ses armes bloquées aux Ports de Conakry et Dakar pour l'empêcher de se défendre contre des terroristes djihadistes. Le même blocus n'a pas été mené contre l'armée française qui a coupé l'herbe sous les pieds de la force de la CEDEAO qui était en composition et qui attendait une résolution de l'ONU. L'armée française est entrée au Mali sans résolution de l'ONU. Le rappel est nécessaire pour rafraîchir les mémoires sur la duperie. Les terroristes djihadistes étaient le prétexte fabriqué par la France pour venir au Mali. Mais le programme d'être au Mali précédait l'envoi des djihadistes.
L'autre préfet quémande que l'Afrique ne doit pas être le ventre mou de la lutte contre le terrorisme. Pourtant, tant que l'Afrique restait le ventre mou de cette lutte contre le terrorisme, l'Afrique a vécu en paix et en sécurité. Mais depuis que les semeurs de terrorisme ont commencé à lancer des lutte contre le terrorisme, tout pays africain qu'ils eurent choisi est resté en guerre jusqu'à ce jour.
Anonyme
En Juin, 2017 (21:37 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (22:11 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (22:51 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (01:03 AM)Anonyme
En Juin, 2017 (02:20 AM)Amir Sultan
En Juin, 2017 (07:11 AM)La vie de ce monde est un lieu transitoire dans lequel le bien et le mal, la beauté et la laideur apparaissent, dans lequel les êtres humains sont éprouvés par leurs actions, et dans lequel les croyants et les non-croyants se distinguent les uns des autres. Allah Tout-Puissant, Qui a créé tous les êtres et cette épreuve, a également créé, à toutes les périodes, un ennemi sous forme de négateur et de malfaiteur pour faire face aux croyants dans le cadre de l'épreuve. Ce négateur, qui a affronté les prophètes, les messagers et les croyants à travers l'histoire, apparaîtra à la Fin des Temps à une période annoncée dans les hadiths de notre Prophète (pbsl) où la venue du Prophète Jésus (psl) est attendue sur terre et où apparaîtra Hazrat Mahdi (psl). En d'autres termes, le négateur sera le “Dajjal” ou l'Antéchrist
Dajjal est le mot arabe, dérivé de la racine “dajl”. Les dictionnaires définissent le Dajjal comme “menteur, imposteur, comme une personne séditieuse et damnée qui confond les esprits, les cœurs, les bons et les mauvais, qui cache le vrai visage de quelque chose en la dorant, qui erre partout”.
Les hadiths de notre Prophète (pbsl) se réfèrent au Dajjal comme étant la plus grande force négative qui apparaîtra à la Fin des Temps. Le Dajjal qui tentera d'imposer le système de Satan au monde entier à la Fin des Temps quand des événements extraordinaires auront lieu, par l'inimitié envers le Prophète Jésus (psl) et Hazrat Mahdi (psl) dont nous verrons bientôt l'apparition par la permission d'Allah, est peut-être l'un des pires négateurs de tous les temps. Notre Prophète (pbsl) a décrit la dimension de la corruption de l'Antéchrist comme suit:
Depuis la création d'Adam jusqu'à l'Heure, il n'existe pas de plus grande corruption que celle du Dajjal.1
Il est rapporté dans les traditions que le Dajjal est un séducteur qui présente la vérité comme le mensonge et le mensonge comme la vérité, le bon comme le mal, et le mal comme le bon. Comme on nous le dit dans le hadith:“Il [le dajjal] apporterait avec lui une image de paradis et d'enfer, et ce qu'il appelle paradis serait l'enfer”2, tout ce qu'il appelle bien, beau et juste est en fait un mal qui infligera des catastrophes à l'humanité. Et les valeurs qu'il présente comme le mal sont en fait bénéfiques et dans l'intérêt de l'humanité. Pourtant, puisque certaines personnes ne regardent pas les événements à la lumière des valeurs morales du Coran et de la Sunna du Prophète (pbsl), elles seront induites en erreur par les choses auxquelles le Dajjal les invite et le suivront, tout en tournant le dos avec insouciance à la voie d'Allah qu'elles devraient effectivement suivre. Mais quand elles seront témoins du climat d'oppression que le Dajjal établira, elles verront quelle grave erreur elles auront faite. C'est pour ces raisons que notre Prophète (pbsl) a mis en garde l'humanité et a dit aux gens d'agir en sachant que ce que le Dajjal présente comme mauvais est en réalité bon:
Le Dajjal apparaîtra. Et il y aura avec lui de l'eau et du feu. Ce que les gens verront comme de l'eau sera un feu ardent. Et ce qui apparaîtra comme le feu sera de l'eau. Toute personne qui le verra, devrait plonger dans ce qu'il voit comme étant le feu car il sera une eau douce et pure.3
Comme on peut le voir à partir des nombreux signes dans les hadiths, la période que nous vivons est “la Fin des Temps”. Il est clair qu'à partir des hadiths du Prophète (pbsl) que le Fin des Temps se passe en ce moment et, par la permission d'Allah, le retour sur terre du Prophète Jésus (psl) et l'apparition de Hazrat Mahdi (psl) sont également à attendre pendant cette période. Tout comme il est dit dans les hadiths, le Dajjal fait ressentir sa corruption à la Fin des Temps dans laquelle nous vivons, et le manque d'amour, la révolte, le mal, la division, les conflits et la dégénérescence se répandent à travers le monde. Beaucoup de gens se sont ralliés à la corruption du Dajjal, ont tourné le dos aux valeurs morales et ont accepté le système diabolique fondé sur l'incroyance.
La plus grande corruption du Dajjal à la Fin des Temps, en termes idéologiques, est le darwinisme. L'idéologie darwiniste, la pire erreur du 19ème siècle, a au début été critiquée. Mais elle s'est répandue dans la société au cours du 20ème siècle sous l'influence du Dajjal, a induit de grandes masses de personnes à croire en elle, a recueilli beaucoup de soutien, et a finalement trouvé sa place dans les manuels scolaires et dans la littérature scientifique. Bien qu'elle soit un terrible mensonge et dépourvue
Anonyme
En Juin, 2017 (07:13 AM)Anonyme
En Juin, 2017 (08:20 AM)Faux
En Juin, 2017 (08:40 AM)Onditout
En Juin, 2017 (16:47 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (20:34 PM)A quand la libération de l'afrique?
Anonyme
En Juin, 2017 (05:45 AM)Watt
En Juin, 2017 (13:35 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (00:00 AM)Participer à la Discussion