Cheikh Tidiane Gadio : « Plus de 500 000 cadres sénégalais enseignent à travers le monde»

29 Commentaires

1. 

   Too Much

   En Novembre, 2015 (00:19 AM)

   je pense qu'un recradage s'impose

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Anonyme
En Novembre, 2015 (00:42 AM)
500.000 enseignants à l'étranger! Ki mo meuneu doul.
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Senegalais De La Diaspora
En Novembre, 2015 (02:02 AM)
C’est une triste réalité. Ce phénomène est dû au fait les universitaires Sénégalaise ferment toutes les portes d’intégration aux diplômés de l’étranger n’ayant pas étudiés en France. Aucun classement universitaire ne donne aux universités françaises de bonnes positions dans le monde, même des universités Sud Africaines les battent que sa soit au classement de Shanghai ou en outre le classement de MIT sur les citations. Mais au Sénégal on nous casse les couilles avec des équivalences diplômes et on sait bien que les universités sénégalaises ne valent rien devant certaines universités chinoises indiennes japonaises ou même Malaisiennes … au Sénégal on est docteur sans même avoir un article d’envergure international. Il y a beaucoup de jaloux dans e système universitaire, avec Macky laie de la reforme devait sonner avec ; le renouvellement du parque universitaire et l’investissement dans la jeunesse et la compétence. Pour confirmer les propos de MR Gadio combien de docteur dans tous les domaines ont peurs aujourd’hui de rentrer au Sénégal car sachant que rien n’est prévu pour eux ? En chine ils deviennent commerçants en France employés exploités et sous-payées en Inde ils sont dans les entreprises au Usa la au moins on sait que la compétence est payée et bien payée …      
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Anonyme
En Novembre, 2015 (02:11 AM)
Quelle imagination !!!
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Anonyme
En Novembre, 2015 (02:14 AM)
maybe 500
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Djibril Ndiaye
En Novembre, 2015 (02:37 AM)
Je pense il faut faire un recensement de la diaspora, à travers ces recensement le nombre d'entrepreneures, les cadrses non seulement enseignants mais tous les cadres de façon exhaustive, les commerçants, les ouvriers qualité, les femmes, les hommes et les enfants seront identifiés. Avec ces données une politique d'intégration de la diaspora sénégalaise pourrait être un succès. L'Égypte, le Nigeria ont le même problème que nous tant que une politique ambitieuse et sérieuse n'est pas mise en place le développement de l'Afrique ne sera pas pour demain.

Il a été ministre des affaires étrangères pour de nombreuses années, il me semble que ce n'était pas une priorité pour lui. Nous sénégalais nous sommes d'excellents consultants. Mais le pragmatisme est une denrée rare chez nous. I don’t know why?
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Anonyme
En Novembre, 2015 (05:49 AM)
Toutes les têtes pensantes sont à l'étranger et servent les pays développés. ce qui est triste dans tout cela , c'est que c'est le Sénégal qui a contribué pour l'essentiel au financement de leurs études! Rien d'étonnant que les nullards pullulent dans ce pays. Il faut faire quelque chose..
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Anonyme
En Novembre, 2015 (07:10 AM)
500 000   



donc 1/2 des sénégalais de la diaspora serait prof  
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Anonyme
En Novembre, 2015 (07:40 AM)
GADIO raconte des histoires
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Anonyme
En Novembre, 2015 (08:27 AM)
peut etre que le chiffre est surevalue, mais le probleme de fond est quil existe des senegalais competents qui ne demandent qu a servir le pays et qui sont laisses en rade, il est urgent d apporter des correctifs
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Anonyme
En Novembre, 2015 (08:30 AM)
Il voulait peut-être dire africains
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Anonyme
En Novembre, 2015 (08:31 AM)
il y a des zeros de plus !
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Anonyme
En Novembre, 2015 (08:50 AM)
500000 c becou mr l ministre est c tu tè trompé d chiffr
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Anonyme
En Novembre, 2015 (08:52 AM)
Les Sénégalais sont toujours jaloux de leurs "frères" qui réussissent à l'étranger !.....et que viendrait faire un cadre de haut niveau dans ce pays de merde incapable de ramasser ses ordures , débarrasser les rues des ambulants ou de lutter contre les inondations.....en plus les places sont prises par la famille ou les amis des ministres ou des Directeurs d'Agence.......

Senegal No Futur
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Anonyme
En Novembre, 2015 (09:08 AM)
En tt cas ns les profs d'ici on arrive mem pas a avoir de maisons et nous pensons a partir .
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Adad
En Novembre, 2015 (09:17 AM)
la diaspora c'est pas seulement la France. les universitaires sénégalais sont partout dans le monde à commencer par l'Afrik. si on n voyage pas on pense k le monde s'arrête à Dakar. Gadio fut Ministre des Affaires étrangères pendant des années pour maitriser ce kil dit.         
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Anonyme
En Novembre, 2015 (09:20 AM)
Au Senegal on fait la promotion des médicocres. Je suis venu en stage au Senegal en 2008 tater le marché, mais dans la boite oú j etais, les gens etaient trop jaloux et se faisaient trop de mal. Ayant senti la jalousie et la rancune, j ai été obligé de dire clairement que je ne suis pas venu pour rester et que je devais repartir á l étranger, meme avec cela, la jalousie et le bounduxatal n´a pas cessé. Dommage car j´aime mon pays
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Watt
En Novembre, 2015 (09:55 AM)
Si cela est vrai, on n'émergera jamais. je comprends pourquoi les autres pays émergent et nous nous restons parmi les pays les plus pauvres de la planète !

Que fait Macky Sall pour faire revenir une partie de ces cadres au bercail ?
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Anonyme
En Novembre, 2015 (10:22 AM)
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Anonyme
En Novembre, 2015 (10:39 AM)
Est ce le nombre d'enseignants qui sont au Senegal atteint les 500 000?
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Sopi
En Novembre, 2015 (11:13 AM)
Mais, la voix de l’Afrique ne se fait pas, encore, suffisamment entendre, même si les combats menés ont ouvert les réunions du G-8 à notre continent et permis de barrer, pour le moment, la route aux Accords de partenariat économique (Ape) et aux théories relatives à l’immigration choisie.

A preuve, on projette de refonder le Système économique mondial lors d’une réunion prévue le 15 novembre prochain aux Etats-unis, à laquelle l’Afrique et se 53 Etats semblent, a priori, exclus (mise à part la République sud-africaine) alors que la crise économique actuelle aura, sur le destin de leurs populations, des conséquences certaines.

Le Système monétaire et financier est, aujourd’hui, gravement parasité par une catégorie de spéculateurs sans état d’âme, qui, au nom d’un libéralisme idéologique mal compris, fait monter les prix du pétrole, spécule sur les produits alimentaires, sur les bourses et les monnaies, déstabilise les économies de toutes les nations, par rapport à l’économie réelle et parasite les agences de notation. Cette catégorie se réfugie dans des paradis fiscaux, s’infiltre à travers les failles des mécanismes de régulation monétaire internationaux, agit par des lobbies organisés, pour déréglementer le Commerce international, met sur la touche, le Fonds monétaire international (Fmi) et l’Onu, au moment où les négociations de Doha sont dans l’impasse, à force de piétiner.

Tout cela est, aujourd’hui, projeté sur la scène internationale, avec une brutalité et une acuité impitoyables. Ses conséquences sont la crise de Subprimes aux Etats-unis, les faillites bancaires qui se succèdent, l’effondrement des Bourses ; pour tout dire, une nouvelle crise économique mondiale qui dépasse, par son ampleur, la grande dépression économique des années 30.

Devant cette situation, si les intellectuels africains et de la Diaspora se taisent, observent, ou manifestent leur indifférence, les essais de sortie de crise que l’on suppute, ici et là, se feront sans eux, c’est-à-dire, contre eux. Les Africains doivent exprimer leur opinion sur la crise mondiale actuelle, pour en situer les responsabilités, en identifier les causes, en évaluer les conséquences en Afrique et dans le reste du monde.

Ils doivent participer à la formulation de propositions novatrices, pour refonder le Système capitaliste international, réformer le Fonds monétaire international,      
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Sopi
En Novembre, 2015 (11:15 AM)
Considérant que le monde actuel est agité par des changements de grande amplitude, qui affectent nombre de secteurs déterminants pour l’avenir de la planète, il a souhaité que l’intellectuel de son continent et de sa Diaspora ne se tienne plus jamais en dehors des cercles, des milieux, des rassemblements et des débats scientifiques, les plus élevés de notre temps, où « se scelle l’avenir de son pays », pour parler comme Cheikh Anta Diop, dans sa célèbre préface au livre de son ami et disciple M. Théophile OBENGA : « L’Afrique dans l’Antiquité ».

Les intellectuels africains et de la Diaspora, a dit le président Wade, ont le devoir de s’interroger sur l’évolution actuelle et future de l’humanité. Ils doivent faire connaître leur appréciation sur la marche du monde. Ils doivent élaborer un plaidoyer pertinent, documenté, solide et articulé sur leur vision de la place que leur continent doit occuper dans le XXIe siècle, qui commence et, dans le même mouvement, se demander ce qu’il convient de faire, pour répondre à toutes les questions que leurs investigations posent.

À l’heure où notre société est plongée, toute entière, dans une perplexité paradigmatique complexe et multiforme, il leur revient d’indiquer la réponse que l’Afrique souhaite voir apporter à la gouvernance mondiale ; une réponse élaborée par les universités, les conseils d’administration , les sociétés savantes, les associations d’experts, les hommes politiques, les opérateurs économiques, les artistes, les philosophes, les historiens, politologues, sociologues, juristes, scientifiques, journalistes, conjoncturistes, chercheurs, savants, artistes, traditionalistes, religieux dans les pays du continent et de la Diaspora, de sorte à faire entendre la voix d’un milliard d’Africains, dans les instances, où l’on dessine la configuration présente et future de la planète, les relations internationales qui vont commander les organes qui les structurent, les institutions, les cadres d’expression, les moyens d’action à dégager, les objectifs visés, les résultats attendus.      
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Anonyme
En Novembre, 2015 (11:36 AM)
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Anonyme
En Novembre, 2015 (11:36 AM)
Wa mais qui est-ce que dioumoul? 500.000 sénégalais qui enseignent à travers le mondeuuu! Eupeu neu, eupeu neu. Je n'y crois pas trop dal man
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Doro
En Novembre, 2015 (11:56 AM)
C'est vraiment malheureux de constater que les gens ne prennent même pas le temps de vérifier l'information ou tout simplement de bien lire. Ceux qui ont bien écouté l'émission "grand jury" savent carrément que le Dr GADIO n'a pas dit qu'il ya seulement 500 000 enseignants sénégalais dans la diaspora. Il a clairement dit qu'il ya 500 000 cadres sénégalais dans la diaspora et parmi eux des enseignants , des ingénieurs, des architectes etc. Et c'set à partir de là qu'il a cité l'exemple d'un ingénieur sud coréen avec samsung. Voilà la réalité et il a parfaitement raison. De grâce soyez objectifs dans vos critiques et surtout éviter un débat stérile sans aucun fondement.

Toutes nos félicitations à ce digne fils du Sénégal et l'Afrique.
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Anonyme
En Novembre, 2015 (13:15 PM)
500.000 cadres sénégalais : l'Afrique toute entière n'a pas autant de cadres . Il faut vérifier vos sources cher monsieur avant de dire n'importe quoi .


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Waarou
En Novembre, 2015 (19:11 PM)
encore faut il que la politique à l' africaine les intéresse. se rabaisser à chaque fois que certains occidentaux lèvent le petit doigt, non merci.

je vous rappelle que ce gadio faisait de la diaspora et dés qu'il a rejoins l'équipe de wade, il a accepté de la suisse que tout africain qui refusait de présenter ses papiers soit refoulé a ATu sénégal. se rabaisser de la sorte non merci.
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Max
En Novembre, 2015 (20:21 PM)
Qu'as-tu fait pour la diaspora pendant les 10 années que tu as passées au ministère des affaires étrangères ? Tu étais bien placé pour attirer la dispora et aucun ministre n'a eu autant de temps que toi.
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Anonyme
En Janvier, 2016 (14:01 PM)
@too much Voir le Ghana;le retour des cadres à changer le destin de ce pays tout proche
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