« J’essaie d’exhorter les
jeunes de mon pays à rester au bercail s’ils veulent vraiment se
développer car l’Europe n’est pas l’Eldorado », conseille-t-elle. «Les
douze titres reflètent mes sensations par rapport à certains phénomènes que
traverse le monde mais également, ce produit c’est ma vie, mes joies, mes
peines, mes blessures », déclare Didi Brown.
C’est dans la désolation
qu’elle peint sa Casamance natale. « C’est foutu ! Si j’avais Le pouvoir, je
prendrais la Casamance dans mon cœur », soutient-elle, meurtrie par la
guerre qui sévit dans cette zone depuis plusieurs années.
Un déplacement
dans son ancienne école, Doudou Sané, dans la banlieue de Ziguinchor lui a
« permis de voir comment ces enfants malgré tous les problèmes que connaît
la Casamance, sont joyeux et pleins de vie. Je vais repartir pour revenir
avec du matériel pour eux et avec mes partenaires essayer de les aider avec
des projets », affirme Didi Brown.
4 Commentaires
Doff
En Février, 2011 (14:20 PM)Met
En Février, 2011 (14:21 PM)There
En Février, 2011 (16:55 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (14:55 PM)Participer à la Discussion