La situation en cours résulte de la dérive autoritaire du président. L’hubris d’un pouvoir qui emprisonne ou exile ses opposants les plus menaçants, réprime les libertés et tire sur son propre peuple avec une révoltante impunité
Il convient, tout d’abord, de nous incliner devant nos morts et d’avoir une pensée pour leurs proches endeuillés. Ils sont une vingtaine, à l’heure où nous écrivons cette tribune, à avoir déjà perdu la vie. Ce décompte lugubre pourrait croître dans les jours qui suivent.
Les événements en cours exigent de chacun qu'il prenne ses responsabilités. Nous affirmons que la situation que vit actuellement notre pays résulte de la dérive autoritaire du président Macky Sall. En 2012, notre confiance l'a placé à la tête de l'État sénégalais. Mais mû par son désir de se maintenir à tout prix au pouvoir, il s'est promis de « réduire l’opposition à sa plus simple expression ». Le président Macky Sall a ainsi semé les graines de la discorde et de la violence dans notre pays. Sa responsabilité devant le peuple sénégalais est sans appel. L'Histoire retiendra que c'est lui qui nous a entraînés dans cette crise politique sans précédent, fragilisé notre tissu social et affaissé nos Institutions. Il a de surcroît imprudemment libéré les monstres qui sommeillent en chaque groupe humain et qu’il convient de toujours brider par une pratique de la justice, de l’égalité des citoyen.ne. s et de la paix sociale.
Si nous en sommes arrivés là, c'est parce que nous, le peuple sénégalais, n'avons pas assez réagi quand le régime en place s'est mis à traquer les militants et les cadres de Pastef en plus bien évidemment de son leader, Ousmane Sonko. Il y a pourtant eu des signes avant-coureurs - que nous n'avons hélas pas su décrypter - de cette campagne de répression systématique et sans précédent au Sénégal.
Depuis quelque temps, en effet, tous ceux qui osent élever la voix contre une troisième candidature du président sortant en font immédiatement les frais. Peu à peu, les interdictions de marches pacifiques sont devenues la règle ; les arrestations et emprisonnements arbitraires se sont multipliés. Dans un tel contexte de brutale fermeture de l'espace politique, les procès aux verdicts ubuesques et la séquestration illégale d'un dirigeant de l'opposition en sont venus à paraître d'une inquiétante banalité.
La nature socratique du verdict du procès d’Ousmane Sonko a fini par convaincre que ce n’était pas la manifestation de la vérité qui était visée, mais bel et bien l’élimination d’un opposant politique dans la perspective des prochaines élections présidentielles. Elle pose surtout le problème de notre appareil judiciaire dont la fragilité et la fébrilité sont apparues au grand jour.
En vérité nous sommes tous témoins, depuis plusieurs mois, de l’hubris d’un pouvoir qui emprisonne ou exile ses opposants les plus menaçants, réprime les libertés (notamment celles de la presse) et tire sur son propre peuple avec une révoltante impunité. Nous sommes aussi tous témoins des errements d’un État désireux de rester fort à tout prix - ce prix fût-il celui du sang, de la dissimulation, du mensonge -, oubliant qu’un État fort est un État juste, et que l’ordre se maintient d’abord par l’équité.
A cette réalité brute, l’appareil idéologique du régime en place a répondu que rien ne se passait ; et que ceux qui se trouvaient en prison étaient des individus qui avaient contrevenu aux règles, violé la loi, ou mieux, n'avaient pas respecté les règles de l’État de droit. Par un étrange renversement de perspective, ceux qui ont affaibli et décrédibilisé les Institutions de la République - notamment la Justice, devenue partisane -, les mêmes qui ont rompu l’égalité des citoyens devant la loi, sont ceux qui s’en proclament les gardiens.
Aux citoyen.ne.s dénonçant cet état de fait, on oppose une batterie de chefs d’inculpation allant de la diffusion de fausses nouvelles au discrédit jeté contre les Institutions, en passant par l’appel à l’insurrection, pour justifier l’appareil répressif mis en place contre eux. Par ces actes, c’est toute la conscience démocratique de la société civile sénégalaise qui est réprimée, sommée de rentrer chez elle et de baisser pavillon. Ce désir d’instiller la peur chez les citoyens et d’inhiber ainsi toute velléité de protestation par le langage et le discours a cependant quelque chose de profondément anachronique : les Sénégalais.e.s sont attachés à leur liberté de parole et ils n’y renonceront pas.
Un autre déni majeur est celui de la demande de justice sociale et de justice contentieuse de la part d’une jeunesse qui représente 75 % de la population sénégalaise. Cette jeunesse, en plus de manquer de perspectives, n’a pas d’espace d’expression politique et voit ses rêves d’une société plus équitable hypothéqués. Nous voyons enfin des populations, déjà précaires et laissées à elles-mêmes, aux prises avec les problèmes élémentaires du quotidien le plus rude. Elles observent avec tristesse et impuissance la frénésie accumulatrice d’une caste qui s’enrichit illicitement, cultive un entre-soi indécent et répond, quand on l’interpelle ou lui demande des comptes, par le mépris, la force ou, pire, l’indifférence. Une caste que rien ne semble plus pouvoir affecter, ni la misère sociale, ni sa propre misère morale : voilà le drame.
Aujourd’hui, comme hier, le langage, lieu primal de la lutte de la vérité contre le mensonge, demeure fondamental. La première des compromissions consiste à ne pas nommer ce qui est, à l’esquiver, à l’euphémiser, à le diluer par des tours de passe-passe sémantiques, ou à tout bonnement travestir la réalité. La première des oppressions qui nous est faite est d’avoir tenté par moult opérations de nous obliger à prendre le mensonge pour la vérité. Pour cela, l’appareil idéologique de l’État a tourné à plein régime en produisant des discours ayant pour objectif de voiler le réel.
Nous tenons à alerter à travers cette tribune sur l'usage excessif de la force dans la répression du soulèvement populaire en cours. Symbole de la violence de l’État contre la société, cette répression prend aujourd'hui une forme nouvelle et particulièrement inquiétante. Il s'agit, ni plus ni moins, de la "dé-républicanisation" des forces de défense et de sécurité auxquelles ont été intégrées des milices armées opérant au vu et au su de tous. En agissant de la sorte, le régime actuel est en train de faillir à son devoir de protéger le peuple sénégalais.
Une autre dimension de l’oppression est le gouvernement par la violence et la peur que le régime actuel a méthodiquement mis en œuvre depuis un certain temps. L’intimidation des voix dissidentes, la violence physique, la privation de liberté ont été une étape importante du saccage de nos acquis démocratiques.
Nous n’ignorions pas, après 1963, 1968, 1988, 1993, 2011 et 2021, que l’histoire politique du Sénégal charriait sa part obscure de violence. Mais de toutes les convulsions qui ont agité l’histoire moderne de notre pays, celle qui se déroule sous nos yeux nous semble être la plus simple à résoudre et, par ce fait même, la plus tragique en ses conséquences actuelles. Il suffirait qu’un homme dise : Je renonce à briguer un troisième mandat qui déshonorerait ma parole d’homme, mon pays et sa Constitution, pour que la colère qui s’exprime dans les rues sénégalaises en ce moment même, sans disparaître tout à fait, s’atténue. Cet homme, c’est le président de la République. Qu’il annonce que les articles L29, L30 et L57 du Code électoral seront révisés, que le parrainage sera aboli afin de rendre les élections inclusives et que tous les prisonniers politiques et d’opinion seront libérés pour que la tension baisse, et que la paix ait une chance de revenir.
La vague de violence qui secoue le Sénégal depuis plusieurs jours n’est pas seulement liée à une conjoncture politique passagère : elle est aussi structurelle, profonde, ancienne. Elle traverse tous les pans de la société sénégalaise, et traduit une foi perdue dans l’État de droit ainsi que le désir d’une plus grande justice (sociale), que garantirait un pacte démocratique renouvelé. Toute la question est de savoir si le pouvoir actuel a encore le temps, la latitude, la volonté de mettre un terme à une spirale de violence dont il nous semble qu’il est, tout compte fait, le principal responsable. La voie royale vers une paix durable est cependant dans la réhabilitation de la Justice et dans l’édification, cette fois-ci, d’une société véritablement démocratique. Il s’agira après la tempête, de refonder le pacte Républicain, de construire d’authentiques contre-pouvoirs, de reformer en profondeur nos Institutions, de sortir de notre hyper-présidentialisme afin de ne plus conférer à un seul individu un pouvoir sans limites et sans contrôle.
Il convient, tout d’abord, de nous incliner devant nos morts et d’avoir une pensée pour leurs proches endeuillés. Ils sont une vingtaine, à l’heure où nous écrivons cette tribune, à avoir déjà perdu la vie. Ce décompte lugubre pourrait croître dans les jours qui suivent.
Les événements en cours exigent de chacun qu'il prenne ses responsabilités. Nous affirmons que la situation que vit actuellement notre pays résulte de la dérive autoritaire du président Macky Sall. En 2012, notre confiance l'a placé à la tête de l'État sénégalais. Mais mû par son désir de se maintenir à tout prix au pouvoir, il s'est promis de « réduire l’opposition à sa plus simple expression ». Le président Macky Sall a ainsi semé les graines de la discorde et de la violence dans notre pays. Sa responsabilité devant le peuple sénégalais est sans appel. L'Histoire retiendra que c'est lui qui nous a entraînés dans cette crise politique sans précédent, fragilisé notre tissu social et affaissé nos Institutions. Il a de surcroît imprudemment libéré les monstres qui sommeillent en chaque groupe humain et qu’il convient de toujours brider par une pratique de la justice, de l’égalité des citoyen.ne. s et de la paix sociale.
Si nous en sommes arrivés là, c'est parce que nous, le peuple sénégalais, n'avons pas assez réagi quand le régime en place s'est mis à traquer les militants et les cadres de Pastef en plus bien évidemment de son leader, Ousmane Sonko. Il y a pourtant eu des signes avant-coureurs - que nous n'avons hélas pas su décrypter - de cette campagne de répression systématique et sans précédent au Sénégal.
Depuis quelque temps, en effet, tous ceux qui osent élever la voix contre une troisième candidature du président sortant en font immédiatement les frais. Peu à peu, les interdictions de marches pacifiques sont devenues la règle ; les arrestations et emprisonnements arbitraires se sont multipliés. Dans un tel contexte de brutale fermeture de l'espace politique, les procès aux verdicts ubuesques et la séquestration illégale d'un dirigeant de l'opposition en sont venus à paraître d'une inquiétante banalité.
La nature socratique du verdict du procès d’Ousmane Sonko a fini par convaincre que ce n’était pas la manifestation de la vérité qui était visée, mais bel et bien l’élimination d’un opposant politique dans la perspective des prochaines élections présidentielles. Elle pose surtout le problème de notre appareil judiciaire dont la fragilité et la fébrilité sont apparues au grand jour.
En vérité nous sommes tous témoins, depuis plusieurs mois, de l’hubris d’un pouvoir qui emprisonne ou exile ses opposants les plus menaçants, réprime les libertés (notamment celles de la presse) et tire sur son propre peuple avec une révoltante impunité. Nous sommes aussi tous témoins des errements d’un État désireux de rester fort à tout prix - ce prix fût-il celui du sang, de la dissimulation, du mensonge -, oubliant qu’un État fort est un État juste, et que l’ordre se maintient d’abord par l’équité.
A cette réalité brute, l’appareil idéologique du régime en place a répondu que rien ne se passait ; et que ceux qui se trouvaient en prison étaient des individus qui avaient contrevenu aux règles, violé la loi, ou mieux, n'avaient pas respecté les règles de l’État de droit. Par un étrange renversement de perspective, ceux qui ont affaibli et décrédibilisé les Institutions de la République - notamment la Justice, devenue partisane -, les mêmes qui ont rompu l’égalité des citoyens devant la loi, sont ceux qui s’en proclament les gardiens.
Aux citoyen.ne.s dénonçant cet état de fait, on oppose une batterie de chefs d’inculpation allant de la diffusion de fausses nouvelles au discrédit jeté contre les Institutions, en passant par l’appel à l’insurrection, pour justifier l’appareil répressif mis en place contre eux. Par ces actes, c’est toute la conscience démocratique de la société civile sénégalaise qui est réprimée, sommée de rentrer chez elle et de baisser pavillon. Ce désir d’instiller la peur chez les citoyens et d’inhiber ainsi toute velléité de protestation par le langage et le discours a cependant quelque chose de profondément anachronique : les Sénégalais.e.s sont attachés à leur liberté de parole et ils n’y renonceront pas.
Un autre déni majeur est celui de la demande de justice sociale et de justice contentieuse de la part d’une jeunesse qui représente 75 % de la population sénégalaise. Cette jeunesse, en plus de manquer de perspectives, n’a pas d’espace d’expression politique et voit ses rêves d’une société plus équitable hypothéqués. Nous voyons enfin des populations, déjà précaires et laissées à elles-mêmes, aux prises avec les problèmes élémentaires du quotidien le plus rude. Elles observent avec tristesse et impuissance la frénésie accumulatrice d’une caste qui s’enrichit illicitement, cultive un entre-soi indécent et répond, quand on l’interpelle ou lui demande des comptes, par le mépris, la force ou, pire, l’indifférence. Une caste que rien ne semble plus pouvoir affecter, ni la misère sociale, ni sa propre misère morale : voilà le drame.
Aujourd’hui, comme hier, le langage, lieu primal de la lutte de la vérité contre le mensonge, demeure fondamental. La première des compromissions consiste à ne pas nommer ce qui est, à l’esquiver, à l’euphémiser, à le diluer par des tours de passe-passe sémantiques, ou à tout bonnement travestir la réalité. La première des oppressions qui nous est faite est d’avoir tenté par moult opérations de nous obliger à prendre le mensonge pour la vérité. Pour cela, l’appareil idéologique de l’État a tourné à plein régime en produisant des discours ayant pour objectif de voiler le réel.
Nous tenons à alerter à travers cette tribune sur l'usage excessif de la force dans la répression du soulèvement populaire en cours. Symbole de la violence de l’État contre la société, cette répression prend aujourd'hui une forme nouvelle et particulièrement inquiétante. Il s'agit, ni plus ni moins, de la "dé-républicanisation" des forces de défense et de sécurité auxquelles ont été intégrées des milices armées opérant au vu et au su de tous. En agissant de la sorte, le régime actuel est en train de faillir à son devoir de protéger le peuple sénégalais.
Une autre dimension de l’oppression est le gouvernement par la violence et la peur que le régime actuel a méthodiquement mis en œuvre depuis un certain temps. L’intimidation des voix dissidentes, la violence physique, la privation de liberté ont été une étape importante du saccage de nos acquis démocratiques.
Nous n’ignorions pas, après 1963, 1968, 1988, 1993, 2011 et 2021, que l’histoire politique du Sénégal charriait sa part obscure de violence. Mais de toutes les convulsions qui ont agité l’histoire moderne de notre pays, celle qui se déroule sous nos yeux nous semble être la plus simple à résoudre et, par ce fait même, la plus tragique en ses conséquences actuelles. Il suffirait qu’un homme dise : Je renonce à briguer un troisième mandat qui déshonorerait ma parole d’homme, mon pays et sa Constitution, pour que la colère qui s’exprime dans les rues sénégalaises en ce moment même, sans disparaître tout à fait, s’atténue. Cet homme, c’est le président de la République. Qu’il annonce que les articles L29, L30 et L57 du Code électoral seront révisés, que le parrainage sera aboli afin de rendre les élections inclusives et que tous les prisonniers politiques et d’opinion seront libérés pour que la tension baisse, et que la paix ait une chance de revenir.
La vague de violence qui secoue le Sénégal depuis plusieurs jours n’est pas seulement liée à une conjoncture politique passagère : elle est aussi structurelle, profonde, ancienne. Elle traverse tous les pans de la société sénégalaise, et traduit une foi perdue dans l’État de droit ainsi que le désir d’une plus grande justice (sociale), que garantirait un pacte démocratique renouvelé. Toute la question est de savoir si le pouvoir actuel a encore le temps, la latitude, la volonté de mettre un terme à une spirale de violence dont il nous semble qu’il est, tout compte fait, le principal responsable. La voie royale vers une paix durable est cependant dans la réhabilitation de la Justice et dans l’édification, cette fois-ci, d’une société véritablement démocratique. Il s’agira après la tempête, de refonder le pacte Républicain, de construire d’authentiques contre-pouvoirs, de reformer en profondeur nos Institutions, de sortir de notre hyper-présidentialisme afin de ne plus conférer à un seul individu un pouvoir sans limites et sans contrôle.
120 Commentaires
Pipo
En Juin, 2023 (10:17 AM)l'histoire retient toujours!!
Reply_author
En Juin, 2023 (14:11 PM)Reply_author
En Juin, 2023 (14:53 PM)Reply_author
En Juin, 2023 (15:09 PM)Reply_author
En Juin, 2023 (15:20 PM)Reply_author
En Juin, 2023 (15:55 PM)Baay Author
En Juin, 2023 (20:32 PM)Baay Author
En Juin, 2023 (20:32 PM)Baay Author
En Juin, 2023 (20:32 PM)Baay Author
En Juin, 2023 (20:33 PM)Poseidon
En Juin, 2023 (05:45 AM)La santé de l'opposition est la mesure de toute démocratie. Notre démocratie est réduite à sa plus simple expression sous Macky.
Diakhassenafiiyeup
En Juin, 2023 (14:28 PM)au bout d'un certain temps la misère économique commençant à lui priver son standing de milliardaire d'apéroce - alors il décida d'entrer en compétition avec Ahmet Khalifa Niasse sur les media et réseaux sociaux dans la laudatrie spéculative et clientélisme de Macky:
voilà qui explique sa sortie très maladroite et indigne d'un homme qui avait côtoyer le président.
Incapable d'arguments pour faire face aux text hautement persuasif en genre littéraire - alors Miustapha Diakhasseh s'attaque à nos brillants intellectuels avec des dégâts collatéraux sur la diplomacy Sénégalaise. En effet il a appelle Paul Kagame du Rwanda un grand dictateur sanguinaire pourtant adulé par nos écrivains - that wasn't a righteous argument ( hors sujet ) but rather a blatant offence against a foreign president who is a friend of Senegal:
Kigali proteste contre la sortie d'un élément de Macky Sall accusant Paul Kagame de dictateur la cela n'était nullement nécessaire ( affaire strictement senegalo Sénégalaises ). - maladresse de Moustapha Diakhasseh en répondant aux critiques des grands écrivains Sénégalais ( Boris Diop Fulmine Sarr et autres )
Diaspora: Southern Pacific / Davenport / Tasmania
Elhadj Ly
En Juin, 2023 (15:23 PM)voilà qui est clair et net! maintenant qu'allez vous faire concrètement pour que cela cesse ?
Anonyme
En Juin, 2023 (10:26 AM)Reply_author
En Juin, 2023 (12:12 PM)Reply_author
En Juin, 2023 (12:13 PM)comment ont -il pu oublier la sacage d'une université et le feu sur les écoles?
Reply_author
En Juin, 2023 (15:17 PM)Et vous, vous souhaitez que les gens affichent cette neutralite de facade qui consiste a toujours renvoyer dos a dos macky sall et sonko? Il y a toujours des gens determines a rater le train de l'Histoire.
Manam
En Juin, 2023 (10:27 AM)Prendre cause pour un vulgaire pervers sexuel, il faut être sénégalais pour oser le faire.
Tchim!
Reply_author
En Juin, 2023 (11:59 AM)Reply_author
En Juin, 2023 (12:48 PM)Reply_author
En Juin, 2023 (16:37 PM)Certains intellectuels n osent plus dire la verità s sonko qui a enrole des rebelles et jihadistes pour destabiliser le Senegal.
Attention au vent du populisme accompagne par une manipulation masse.
Affaiblir le president macky sall a ce moment est de renforcer les forces occultes et leurs mandataires
Kalz,
En Juin, 2023 (10:38 AM)à bon entendeur (ils sont nombreux au Sénégal), Salut
Six
En Juin, 2023 (10:41 AM)Tout d'abord, il convient de reconnaître que la situation politique est complexe et qu'elle ne peut être réduite à la seule responsabilité du président. Il est facile de blâmer une seule personne pour tous les problèmes du pays, mais il est important de prendre en compte les facteurs politiques, économiques et sociaux qui ont contribué à la situation actuelle. Les défis auxquels le Sénégal est confronté ne peuvent être attribués à un seul individu.
En outre, il est important de reconnaître les réalisations et les progrès réalisés sous le mandat du président en question. Il est vrai que des critiques peuvent être formulées concernant certains aspects de son gouvernement, mais il ne faut pas ignorer les initiatives positives qui ont été prises pour le développement du pays. Il est essentiel d'avoir une vision équilibrée et de reconnaître les efforts qui ont été faits pour promouvoir la croissance économique, améliorer les infrastructures et renforcer les institutions démocratiques.
En ce qui concerne les arrestations et les emprisonnements, il est important de souligner que tout gouvernement a la responsabilité de maintenir la sécurité et l'ordre public. Si des individus enfreignent la loi, il est nécessaire de prendre des mesures pour faire respecter les règles. Cependant, il est également crucial de garantir le respect des droits de l'homme, l'indépendance de la justice et l'équité dans le traitement des individus.
Il est également important de noter que les troubles et les violences qui ont eu lieu ne peuvent être justifiés. Le dialogue et la négociation pacifique sont des éléments essentiels pour résoudre les différends politiques. La violence ne fait qu'aggraver la situation et nuit à la stabilité du pays.
Enfin, il est important de reconnaître que la construction d'une société démocratique et équitable est un processus continu qui nécessite la participation de tous les acteurs politiques et sociaux. Au lieu de se concentrer uniquement sur la critique du président en place, il est essentiel de promouvoir un dialogue constructif, de renforcer les institutions démocratiques et de promouvoir la participation citoyenne. Cela permettra de créer un environnement propice à la résolution pacifique des conflits et à la construction d'un avenir meilleur pour tous les Sénégalais.
En conclusion, il est important de prendre en compte les diverses dimensions de la situation politique actuelle au Sénégal. La responsabilité des problèmes rencontrés ne peut être attribuée uniquement à une personne ou à un parti politique. Il est crucial d'adopter une approche équilibrée et de promouvoir le dialogue, la participation citoyenne et le renforcement des institutions démocratiques pour construire une société plus stable, équitable et prospère.
Ptjmkdr
En Juin, 2023 (10:54 AM)Vous Êtes Sophiste Et Aveugle
En Juin, 2023 (14:02 PM)Lucide!
En Juin, 2023 (15:04 PM)Être intello c’est pas juste utiliser de gros mots qui sonnent vide et creux. Dans intello, précisément intellectuels il y a intellect!!! Alors bon sang qu’ils l’utilisent!!!
Reply_author
En Juin, 2023 (06:57 AM)Reply_author
En Juin, 2023 (06:57 AM)Merci Six
En Juin, 2023 (08:07 AM)Nervis En Tenue
En Juin, 2023 (10:42 AM)Ptjmkdr
En Juin, 2023 (11:02 AM)D'ailleurs c'est la raison pour laquelle la gendarmerie n'était pas aux côtés de la police hier lorsque celle ci s'est ridiculisée lors du simulacre point de propagande d'hier
Ibrahima Ndiaye
En Juin, 2023 (10:44 AM)Reply_author
En Juin, 2023 (14:24 PM)Ibrahima Ndiaye
En Juin, 2023 (10:45 AM)Ibrahima Ndiaye
En Juin, 2023 (10:45 AM)Ibrahima Ndiaye
En Juin, 2023 (10:45 AM)Ibrahima Ndiaye
En Juin, 2023 (10:45 AM)Ibrahima Ndiaye
En Juin, 2023 (10:45 AM)Ibrahima Ndiaye
En Juin, 2023 (10:45 AM)Ibrahima Ndiaye
En Juin, 2023 (10:45 AM)Ibrahima Ndiaye
En Juin, 2023 (10:45 AM)Ibrahima Ndiaye
En Juin, 2023 (10:45 AM)Quel manque de respect à l'égard du pouvoir judiciaire !!!!!!
Vous ne saurez donner des leçons en termes d'ethique, d'intégrité, de compétences et de professionalisme aux Magistrats qui ont fait un meilleur cursus que vous.
Votre torchon ne reflete que votre esprit partisan.
L'histoire vous jugera et vos descendants l'auront direct en face d'eux..... Les trois guignols qui veulent faire table rase de tous les agissements de leur poulain ...de vrais nihilistes
Reply_author
En Juin, 2023 (15:43 PM)Quelqu'un qui vit en occident, mange et reflechit en occidental n' a pas de conseils à donner aux vrais patriotes qui construisent et defendent leur pays . Quel est l'apport de ces "intellectuels " au developpement de leur pays ? Toussssssssssssssssssss, nada , écrire des longs articles partisans , rien que celà .
Macky nous ignore royalement car il se tracasse pour construire son pays et n'a pas le temps des noirs complexés couchés à des " blanches dévalorisées " que les blancs n'aiment pas .
Reply_author
En Juin, 2023 (11:44 AM)Quel manque de respect à l'égard du pouvoir judiciaire !!!!!!
Vous ne saurez donner des leçons en termes d'ethique, d'intégrité, de compétences et de professionalisme aux Magistrats qui ont fait un meilleur cursus que vous.
Votre torchon ne reflete que votre esprit partisan.
L'histoire vous jugera et vos descendants l'auront direct en face d'eux..... Les trois guignols qui veulent faire table rase de tous les agissements de leur poulain ...de vrais nihilistes
Pa
En Juin, 2023 (11:03 AM)Ndiaye
En Juin, 2023 (11:06 AM)Fall
En Juin, 2023 (11:08 AM)D'autre part, il faut que les autorités et autres éléments du régime et de l'APR ne sous-estiment pas la capacité de discernement des Sénégalais.
Et puis un "intellectuel" n'avance pas par des rumeurs. Boris Diop est un petit intellectuel en réalité parce qu'il ne peut pas se départir de ses ideos dans sa méthodologie. C'est la plume la plus sujective qui soit.
Étayer un argumentaire par des légèretés pareilles pareilles, une malhonnêteté sans vergogne et d'accusations gratuites et méchantes est indigne du rang d'intellectuel qui convoite.
Ousmane sonko baisait une gamine de moins de 21 ans dans un lieu de débauche. Ce qui aurait vous outré s'il s'agissait de votre fille. Le tribunal et les témoins l'ont confirmé. Et tout le monde le sait. Pire, il a misé sur la victimisation en utilisant lachement la frange inconsciente de la jeunesse. Voilà toute l'histoire !
Force restera à la loi.
Citoyen Sénégalais
En Juin, 2023 (11:17 AM)Pseudo
En Juin, 2023 (11:19 AM)Gnij-gnij
En Juin, 2023 (11:27 AM)Sandjoxo
En Juin, 2023 (11:32 AM)Abdoul Wahab
En Juin, 2023 (11:35 AM)Sylla Alassane
En Juin, 2023 (11:40 AM)Merci
En Juin, 2023 (11:52 AM)Expert
En Juin, 2023 (11:56 AM)Vous faites votre analyse en déniant à tous les acteurs de cette histoire leur dignité d'homme libre et pour faire simple vous empruntez un racourcis en liant tout à l'intention de macky de vouloir poser sa candidature pour une troisème fois. Votre surdité sélective est ignoble et malhonnéte, non le verdicte de notre justice n'est pas socratique arrétez de masturber.
Comme je l'ai deja dit, le pbm du pays, c l'ignorance des dirigeants, a commencer par le Maquis, entoure de gens peu preoccupes par la justice, mais plutot a la recherche du gain facile a la Farba Ngom....Ils ne font que reagir au lieu d'anticiper aux consequences de leurs actes......Quant aux magistrats et agents de la justice, j'espere qu'il seront assez modestes d'aller apprendre ailleurs....Le dossier de justice DSK et Guinenne Ms. Diallo, un cas d'ecole pour notre justice.....accuse de viol avec preuves a l'appui, elle a ete obligee de d'arreter la plainte…de negocier l'arret du dossier!....La Justice Americaine ne peut rendre un verdict, une fois un mensonge est present dans l'histoire de la plaingnante!
Cette justice est tres malade, elle n'est plus credible et tous les decisions de justices doivent etre auditees….La meme chose est observee dans le dossier Prodac…..comment un verdict peut il etre rendu sans l'eclaircissement des 29 milliards?! ....Dans le dossier Sonko-Adji Sarr, parseme des mensonges de la plaignante,,…l'on ne comprend pas la justice senegalaise, persister dans l'erreur ou le mensonge, releve du domaine du cheytan ou du diable!
Foulbes!!!
En Juin, 2023 (12:07 PM)FOULBES!!!
FOULBES!!!
Armadillo
En Juin, 2023 (12:07 PM)Weside
En Juin, 2023 (12:11 PM)Vous parlez pour qui d'abord :
La francs manconnerie tropicale et occidentale
Les lobbies homos pour qui vous representez.
Voila des complexés de leurs sociétés qui refusent de porter leur africanité dans leurs langues coutumes et religions pour arborer fiérement avec dexterité tous les ragots et medisances de l'occident dans sa pleinitude.
Nous sommes des talibés mourides fieres de ce que nous sommes et les ambassadeurs accrédités jouent bien le role de corridor, continuez à vous balader honteusement dans les rues de Paris et squatter fiérement les cafés comme digne héritiers de la france Afrique mais fermez vos gueules sur la société sénégalaise.
Le petit du prix Goncourt tu veux tourner le dos à ton ami Macky. Quel opportuniste ?
Foulbes!!!
En Juin, 2023 (12:38 PM)FOULBES!!!
Reveir
En Juin, 2023 (13:04 PM)Le seul problème, c'est que ces gens forment un réseau de 4 ou 5 personnes, réseau fermé qui s'autoproclame penseur pour toute lAfrique
Mor
En Juin, 2023 (13:05 PM)Reperez leurs biens et leurs maisons à Dakar et ailleurs
Reperez leurs biens et leurs maisons à Dakar et ailleurs
Yeet
En Juin, 2023 (13:15 PM)esperons que Macky va lire, écouter étendre.
Mais qu'attendre d'autre de petits soit-disant intellectuels sans courage qui n'écrivent que pour plaire. Ne pas dire à Ousmane Sonko d'arrêter de se réfugier derrière la jeunesse en les envoyant contre les forces de l'ordre se faire tuer par peur de reconnaître ses fautes et de faire amende honorable en s'excusant auprès des sénégalais qui croyaient en lui, est juste du parti pris et du nafekhisme.
Appeler à l'insurrection est un délit et que ça soit 500 ou 1000 personnes qui le font, ça n'en fera pas un acte acceptable.
Remettez de l'ordre dans ce pays et que la Politique se fasse dans le respect. Les insulteurs, ceux qui appellent à brûler, à détruire ou pratiquent la pensée unique doivent être arrêtés une fois pour toutes.
Reflechis
En Juin, 2023 (13:27 PM)Jahjeuf
En Juin, 2023 (13:38 PM)Mika
En Juin, 2023 (13:45 PM)Quant aux commentateurs attitrés de l'APR, continuez sur cette voie du saupoudrage.Vous ne fourvoyez que vous-même.
Armadillo
En Juin, 2023 (13:57 PM)L'artiste
En Juin, 2023 (14:00 PM)Voilà, en fin, ce que j'attendais. Des paroles saines et justes. Felicitations à nos trois grands intellectuels!
Momo
En Juin, 2023 (14:04 PM)Quantbusiness
En Juin, 2023 (00:55 AM)Mercy
En Juin, 2023 (14:21 PM)Bara
En Juin, 2023 (14:38 PM)Fatou
En Juin, 2023 (14:30 PM)il n'ya pas qu'une seule source du probleme mes chers intellons quand même Felwine
Sénégalais.
En Juin, 2023 (14:34 PM)Ainsi, il va emprisonner injustement Sonko , briguer un troisième mandat, voler les élections et réduire certaines communautés sénégalaises en esclavage, sans qu'on ne puisse l'arrêter.
Pourquoi, car il a instauré la peur chez les manifestant en les tuant injustement, pour après crier partout" on vous dmd de sortir alors que les dirigeants de l'opposition restent tranquillement chez eux avec leurs enfants, vous êtes les agneaux du sacrifice"
Et malheureusement chers concitoyens, sel la lutte libére.
Signé un futur esclave de macky sall.
Bara
En Juin, 2023 (14:36 PM)en attendant le pur , yewwi et f24 doivent appeler chaque jour à la marche et au sitting à la dans toutes les villes et à la place de l indépendance, mobilisation jusqu au départ de la bête
Je me retoruné pour dire à la dame qua je viens de Dakar et mieux je travaille au ministére des Affaires Etrangères pour quelle raison critiquer le régime de Macky Sall va me conduire en prison ? Nous sommes au Sénégal ou dans un autre pays ?
Macky Sall croit que en mettant en prison toutes les voix discordantes il va installer la peur chez nos concitoyens il ne fait que augmenter la haine que les gens nourissent envers sa personne et son avenir personnel devient plus préoccupant
Pourquoi critiquer Macky Sall à Dakar est plus dangeureux qu'ailleurs ? Qu'est ce qui a véhiculé cette idée loufoque chez nos concitoyens ?
Lat Dior
En Juin, 2023 (15:09 PM)Merr
En Juin, 2023 (15:19 PM)Ce sont des guignols de plus.
Haha
En Juin, 2023 (16:45 PM)Toute le contingent APR est de sortie pour tenter de l'affaiblir.
N'en déplaise la vérité triomphera toujours !!!
Justice
En Juin, 2023 (16:55 PM)Justice
En Juin, 2023 (16:55 PM)Bounkhatab
En Juin, 2023 (18:36 PM)Vous vous foutez de notre gueule.
So
En Juin, 2023 (19:12 PM)il faut etre serieux . On peut detester Macky Sall mais supporter Sonko sur ce dossier est une abomination intelectuelle et morale. Meme si Macky est violent par les actes envers ses opposant Sonko lui est violent envers les 17 Millions de SENEGALAIS. Depuis qu'il est venu à la politique il ne parle que de combat apres avoir dit que les anciens presidents devraient etre fusilér.
apres qu'il ait franchi la porte de sweet beaute il est devenu incontrolables car preferant mourrir que de rencontrer Adji sarr. Malgré ses dizaines d'avocats il a toujours fait du dilatoir. Surement son marabout doit etre tres fort si ce n'est pas ceux qui le supportent que DIEU est entrain de punir
Lune
En Juin, 2023 (20:30 PM)Messieurs l'histoire retiendra que vous avez perdu toute crédibilté avec cette tribune.
La reconnaissance de l'occident ne fait pas de vous la conscience des populations sénégalaises.
Quantbusiness
En Juin, 2023 (20:38 PM)Il y a eu des elections legislatives au Senegal et cette opposition a eu d'excellents resultats (un acquis a consolider dans la conquete du pouvoir). Cette opposition a presque la moitie des sieges a l'assemblee nationale (une premiere dans l'histoire du Senegal). Cette meme opposition dirige une bonne partie des municipalites au Senegal. Alors dans ce cas precis ne me dites pas que la democratie ne fonctionne pas au Senegal. Le probleme est ce qu'on appelle une exception Sonko. On ne peut pas avoir un opposant qui pietine les regles les plus elementaires de nos institutions de surcroit un maire. Alors que ce sont ces institutions qu'il denigre qui ont permis a son parti d'avoir une veritable assise nationale (un bureau parlementaire, des mairies et departement...etc).Quelqu'un qui aspire gouverner le Senegal se doit de respecter le minimum de nos institutions et avoir un comportement exemplaire. C'est le minimum. Je prefere vous epargner des details (violer un couvre feu, etre accuse de viol par une fille de 20 ans, mensonge public, ne pas repondre a une convocation de la justice, insulte publique du President de la Republique, appel une insurrection, menaes de magistrats, avocats....etc).
Reply_author
En Juin, 2023 (22:51 PM)Jambaar
En Juin, 2023 (21:40 PM)Setlou
En Juin, 2023 (22:30 PM)Merci d'avoir décrit avec une acuité parfaite l'hubris en place ,le symbole de l'orgueil et l'ivresse du pouvoir
Merci d'avoir dénoncé Macky UBU Sall le tricheur ,le méchant ,le gourmand ,le cupide ,le symbole de la lâcheté et de l'arbitraire.
Elle est où Dié Maty Fall ,la mytho ,la mercenaire .....
Soit c'estune menteuse malhonnête ,soit elle ne connait pas son pays...
On les reconnait les gardiens du temple pourri ,corrompu en alliance avec les marabouts islamo-fascistes et corrompus...
Elle est où Dié Maty Fall ,la mytho ,la mercenaire .....
Soit c'estune menteuse malhonnête ,soit elle ne connait pas son pays...
On les reconnait les gardiens du temple pourri ,corrompu en alliance avec les marabouts islamo-fascistes et corrompus...
Elle est où Dié Maty Fall ,la mytho ,la mercenaire .....
Soit c'estune menteuse malhonnête ,soit elle ne connait pas son pays...
On les reconnait les gardiens du temple pourri ,corrompu en alliance avec les marabouts islamo-fascistes et corrompus...
comme. Ndiaga Seck le meilleur Ami de Sonko un Gordjigune colonel Kebe de Pastef Gordjiguene hahahahahaha Tarek ramadan violeur , Branco violeur
Reply_author
En Juin, 2023 (21:48 PM)Pour Un état De Droit !
En Juin, 2023 (01:24 AM)Soigneur De Fous
En Juin, 2023 (10:06 AM)Nordiste
En Juin, 2023 (10:25 AM)Serignetoubab
En Juin, 2023 (10:28 AM)Avec un certificat médical et de nombreux témoignages à décharge, Sonko a été condamné.
Voila la cause immédiate des manifestations même si les causes lointaines sont nombreuses et aussi légitimes que celle-ci.
Parmi ces causes lointaines, on peut citer : la volonté de se maintenir au pouvoir, la patrimonialisation du pouvoir confisqué par une seule famille et la peur de se retrouver en prison en cas de perte du pouvoir, pouvoir dont le clan abuse tous les jours pour soit écarter des opposants de la course présidentielle, soit pour corrompre des élites religieuses ou tout simplement pour recaser une clientèle politique.
Pendant ce temps, que fait le nouveau machin appelé F24 ? Se réunir et divaguer a longueur de journée sans aucune mesure tangible.
C’est avec tristesse que j’ai regardé la conférence du F24 qui s’est tenue hier. Tous ces leaders qui font un rappel de ce qui vient de se passer et que tout le monde savait déjà.
Je m’attendais à des décisions et non pas à des palabres qui n’auront aucun impact sur la situation du pays.
Aliou Sane est venu rendre compte de son séjour en prison comme quelqu’un qui revient d’un voyage de tourisme.
Moussa Diop qui marque son soutien a Sonko n’a rien dit qui puisse faire avancer la lutte ou faire reculer le tyran.
Mimi Toure quant à elle s’est ridiculisée en lançant un appel à la femme du briguant macky sall dont certains soupçonnent qu’elle est même l’instigatrice de la férocité des agissements de son mari qui prend les décrets, de son frère qui Mansour Faye qui distribue les rôles au sein du pouvoir et de son fils amadou sall qui recrute les nervis.
Et les autres leaders de ce F24 ou sont-ils ? Très simple : ils sont au dialogue avec leur bourreau.
Tout le monde dénonce les tueries et les emprisonnements mais personne ne propose rien.
Voila pourquoi les jeunes qui ont compris qu’ils n’ont qu’un seul vrai leader Ousmane Sonko sont dans la rue.
Les membres du F24 devraient sortir et manifester avec ces jeunes dans toutes les localités du pays, malheureusement ils ne le font pas, ce pays ne vaut pas cela pour eux. Ils attendent que les enfants soient tués pour ensuite aller récolter les fruits de la lutte populaire.
Donc chers jeunes sénégalais qui défendez une cause noble : votre avenir, ne perdez pas de temps avec ces politiciens. Vous avez un seul leader sur qui vous pouvez compter et il s’appelle Ousmane Sonko. Continuez la lutte et ne vous faites pas distraire par ces profitards qui ne vous apportent rien.
Et a tous les parents qui ont peur que le tyran vous tue un fils ou une fille, il y’ a une solution : sortez et mettez-vous devant vos enfants et protégez vos enfants en prenant les lacrymogènes et les balles a leur place, c’ est le meilleur moyen de leur montrer votre amour au lieu de les dissuader de manifester pour réclamer un meilleur avenir.
Demba Sow
En Juin, 2023 (10:33 AM)Demba Sow
En Juin, 2023 (10:33 AM)Sonko en prison
Zapp
En Juin, 2023 (14:03 PM)Zapp
En Juin, 2023 (14:03 PM)Sbd
En Juin, 2023 (14:38 PM)Philosophe
En Juin, 2023 (18:33 PM)Pathétique
En Juin, 2023 (22:02 PM)Papa Birahim Douta Benar
En Juin, 2023 (11:21 AM)Partir d'une analyse à partir de l'arbre à problème vous aurez mieux permis plus de pertinence et une impartialité que nul n'oserai remettre en cause.
Dans un sens profond de votre texte je me demande si être opposant est synonyme d'être intouchable?
En tout cas de ce que l'histoire politique de notre pays retiendra, demain dira t-on qu'en 2024 a été candidat un jeune cadre sénégalais au penchant sexuel jamais égalé.
Yaafy
En Juin, 2023 (18:47 PM)J’étais trop triste après ces événements ,ces morts ,ces i et ces destructions
Après vous avoir lus je suis devenue infiniment triste et tres en colère
Quel genre d’intellectuels êtes-vous?
Je ne vous ai jamais lus sur la situation entre sonko et adji Sarr ;Parce que c’est de cela qu’il s’agit
Aviez vous perdu vos plumes quand Mr sonko a appelé au mortal combat ?
Les ’aviez vous perdus aussi quand Mr sonko a dit je le cite « je tuerai Macky sall ou il me tuera » ?c’est la 1 ère fois dans l’histoire politique du Sénégal qu’un opposant disait une chose aussi grave au président en exercice;
aviez vous perdu vos plumes aussi quand Mr sonko a appellé au gatsa gatsa ?et quand il disait je le cite «kou dè sa yaye Diourat
Je ne vous ai jamais lus sur la désobéissance civile de Mr sonko ,cette désobéissance qui est à l’origine de tout : si Mr sonko n’avait pas violé le couvre feu en période de Covid ,il n’y aurait pas aujourd’hui toutes ces accusations de viol,de supposé complot etc.
Ce que vous avez écrit ici ,vous n’oserez pas le faire en France ou aux États Unis .
La bas un politicien accusé de viol ou même d’adultère n’osera pas poursuivre son chemin sans avoir lavé son honneur d’abord
Mr sonko au lieu de cela ,a crié au complot contre des personnes qui n’étaient pas dans ce salon sordide
Ou est l’ancien premier ministre d’Angleterre Boris Johnson ?n a t’il pas démissionné pour avoir violé les règles du confinement en période de Covid?
Il fallait prendre vos plumes et conseiller à Mr sonko de laisser temporairement sa place à un cadre du master le temps de régler ses problèmes de justice avec adji sarr
Par respect pour nous tous
Je le tiens responsables de toutes ces dérives ,de tous ces morts
Personnellement je ne pourrai accepter quil soit notre Président au Sénégal
Abdoulaye Wade na pas voulu marcher sur un cadavre pour aller au palais
Sonko a déjà marché sur 30 cadavres ;Il lui faudra combien de cadavres pour que cela s’arrête ?
Yaafy
En Juin, 2023 (18:47 PM)J’étais trop triste après ces événements ,ces morts ,ces i et ces destructions
Après vous avoir lus je suis devenue infiniment triste et tres en colère
Quel genre d’intellectuels êtes-vous?
Je ne vous ai jamais lus sur la situation entre sonko et adji Sarr ;Parce que c’est de cela qu’il s’agit
Aviez vous perdu vos plumes quand Mr sonko a appelé au mortal combat ?
Les ’aviez vous perdus aussi quand Mr sonko a dit je le cite « je tuerai Macky sall ou il me tuera » ?c’est la 1 ère fois dans l’histoire politique du Sénégal qu’un opposant disait une chose aussi grave au président en exercice;
aviez vous perdu vos plumes aussi quand Mr sonko a appellé au gatsa gatsa ?et quand il disait je le cite «kou dè sa yaye Diourat
Je ne vous ai jamais lus sur la désobéissance civile de Mr sonko ,cette désobéissance qui est à l’origine de tout : si Mr sonko n’avait pas violé le couvre feu en période de Covid ,il n’y aurait pas aujourd’hui toutes ces accusations de viol,de supposé complot etc.
Ce que vous avez écrit ici ,vous n’oserez pas le faire en France ou aux États Unis .
La bas un politicien accusé de viol ou même d’adultère n’osera pas poursuivre son chemin sans avoir lavé son honneur d’abord
Mr sonko au lieu de cela ,a crié au complot contre des personnes qui n’étaient pas dans ce salon sordide
Ou est l’ancien premier ministre d’Angleterre Boris Johnson ?n a t’il pas démissionné pour avoir violé les règles du confinement en période de Covid?
Il fallait prendre vos plumes et conseiller à Mr sonko de laisser temporairement sa place à un cadre du master le temps de régler ses problèmes de justice avec adji sarr
Par respect pour nous tous
Je le tiens responsables de toutes ces dérives ,de tous ces morts
Personnellement je ne pourrai accepter quil soit notre Président au Sénégal
Abdoulaye Wade na pas voulu marcher sur un cadavre pour aller au palais
Sonko a déjà marché sur 30 cadavres ;Il lui faudra combien de cadavres pour que cela s’arrête ?
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