Le Japon a annoncé mercredi qu'il s'apprêtait à évacuer ses ressortissants au Soudan, devenant le premier pays à prendre une telle mesure dans le pays où les violences durent depuis samedi malgré les appels à la trêve.
Les combats dans le pays entre les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) du général Mohamed Hamdane Daglo et l'armée dirigée par le général Abdel Fattah al-Burhane, aux commandes depuis le putsch de 2021, ont déjà fait près de 200 morts depuis samedi selon l'ONU.
Environ 60 ressortissants japonais se trouvent au Soudan, y compris des membres du personnel de l'ambassade, a précisé mercredi le porte-parole du gouvernement, Hirokazu Matsuno.
Le ministère de la Défense a entrepris les "préparatifs nécessaires" pour les évacuations, a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse, assurant que le gouvernement faisait "tout ce qui est en son pouvoir pour assurer la sécurité des expatriés japonais".
Les appels internationaux se multiplient pour mettre fin aux hostilités au Soudan. Les ministres des Affaires étrangères du G7, réunis en début de semaine au Japon, ont demandé mardi un cessez-le-feu immédiat entre les deux camps, comme le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres lundi.
Les combats dans le pays entre les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) du général Mohamed Hamdane Daglo et l'armée dirigée par le général Abdel Fattah al-Burhane, aux commandes depuis le putsch de 2021, ont déjà fait près de 200 morts depuis samedi selon l'ONU.
Environ 60 ressortissants japonais se trouvent au Soudan, y compris des membres du personnel de l'ambassade, a précisé mercredi le porte-parole du gouvernement, Hirokazu Matsuno.
Le ministère de la Défense a entrepris les "préparatifs nécessaires" pour les évacuations, a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse, assurant que le gouvernement faisait "tout ce qui est en son pouvoir pour assurer la sécurité des expatriés japonais".
Les appels internationaux se multiplient pour mettre fin aux hostilités au Soudan. Les ministres des Affaires étrangères du G7, réunis en début de semaine au Japon, ont demandé mardi un cessez-le-feu immédiat entre les deux camps, comme le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres lundi.
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