Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens a souligné la nécessité de réorienter les transports publics au Sénégal. El Malick Ndiaye, qui s’exprimait en marge de la cérémonie d’ouverture des états généraux des transports publics, ce lundi 21 octobre 2024 au CICAD de Diamniadio, a également affirmé que le secteur fait face à des problèmes.
« Tous les Sénégalais, je dirais même tous les Africains et tous les étrangers qui vivent au Sénégal sont d’accord au moins sur une chose : c’est que le secteur des transports est composé d’innombrables problèmes et a besoin d’être restructuré, d’être repensé et tout simplement d’être 'jubanti' », a soutenu le ministre.
Il ajoute : « Donc, il fallait, pour nous, travailler d’arrache-pied pour matérialiser cette requête du président. Ce qui a fait que des ateliers ont été organisés au sein du ministère. Ensuite, des phases séminaires, à savoir le séminaire avec les organes étatiques et le séminaire élargi avec les partenaires sociaux. »
De l’avis du ministre, il faut le concours de plusieurs solutions pour régler définitivement les problèmes d’accident et d’insécurité routière au Sénégal. « Il faut un concours de plusieurs solutions afin de trouver en tout cas la potion magique pour soigner le secteur des transports », a estimé Malick Ndiaye.
L’autorité étatique a, par ailleurs, relevé le déficit d’infrastructures modernes et interconnectées au Sénégal, notamment à Dakar. « Effectivement, malgré les efforts qui ont été consentis par l’État, le déficit d’infrastructures modernes interconnectées reste un point très important. Aujourd’hui, la nouvelle orientation du président de la République, à travers la vision de l’Agenda national de transformation du Sénégal 2050, montre qu’il faut une réorientation de nos transports, en particulier des infrastructures, en renforçant les infrastructures ferroviaires qui peuvent constituer une alternative à la fois pour une expansion économique, mais aussi pour réduire les coûts des transports, de logistique, de production, entre autres, et aussi pour assurer la sécurité routière », a d’emblée souligné le ministre.
6 Commentaires
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En Octobre, 2024 (19:05 PM)Reply_author
En Octobre, 2024 (20:02 PM)Reply_author
En Octobre, 2024 (22:26 PM)Tu es le meilleur pour parler
Il a inventé le verbe perter
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En Octobre, 2024 (19:07 PM)Il va finir a l'académie française
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En Octobre, 2024 (21:01 PM)Les petits mbacké mbacké politiciens khol lien si seen nawlé de Tivaouane
Ce que vous faites ni Serigne Touba ni aucun de ses fils ne le faisait
Top Di marr tatou politicien yi rek !!!
On peut comprendre Thioro dont l'homonyme était le traître qui pactisait avec le Colon contre son propre cousin
Mais vous autres la ressaisissez vous
Asta Mbacké tu ne prends la parole que pour parler de Sonko
Tu ne kous parles ni de religion ni du mouridisme
Tchimmm
Un mouride dégouté
L'épouvantail
En Octobre, 2024 (22:34 PM)Article 1: il est mis fin aux accidents de la circulation
Article 2: il est mis en place au niveau de tous les gares de péage, des centres de flagellation
Article 3: tout conducteur pris en flagrant délit d'infraction routière est fouetté au sang
Article 3: le nombre de coups de fouet est laissé à l'appréciation des passants témoins des accidents.
Article 5: les villageois au niveau des lieux dits sont chargés de confisquer les voitures des indisciplinés et de les vendre aux enchères
Article 6: toutes les dispositions antérieures contraires sont abrogees
Article 7: le présent décret sera publié au journal officiel de ndangalma.
Signe: l'épouvantail
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En Octobre, 2024 (11:19 AM)Participer à la Discussion