L'effervescence gagne les marchés de Dakar. Ces lieux de commerce battent au rythme de la fête de Tabaski, qui sera célébrée dans quelques jours. Le marché Tilène, l’un des plus importants de la capitale, palpite. Il fourmille. Les clients, à l’image d’une vague, ont inondé le marché Tilène en quête des marchandises, des condiments... Les pommes de terre, les oignons s’arrachent comme de petits pains. L’affluence est au rendez-vous. Les commerçants et les vendeuses se frottent les mains.
Au marché Tilène, la fête de la tabaski est dans l’air. Les étals et les tabliers sont plus fournis. La foule est quasi permanente. Les marchandises s’échangent. Les commerçants et les vengeurs reconnaissent qu’il y a un frémissement.
"Les ventes se passent bien cette année », affirme, Ibrahima, un commerçant. Son camarade fournit des détails supplémentaires. Le prix du kilogramme d’oignon s’échange entre 400 et 500 F CFA.
‘’Les clients viennent peu à peu, et nous avons suffisamment de stock pour répondre à la demande. Actuellement, le prix des oignons varie entre 400 et 500 FCFA le kilo, tandis que le sac de 25 kg se vend entre 7000 et 8000 FCFA", a certifié Mame Mor, un commerçant.
Alors que le kilogramme de pommes de terre s’écoule entre 600-700 FCFA. Le sac de 20 kg atteint 12000 FCFA. Oumar Labo, boutiquier constate que les prix sont relativement stables et que les clients commencent à faire leurs emplettes pour éviter la ruée de dernière minute.
Si les vendeurs se frottent les mains, par contre, les clients se plaignent. C’est le cas de la mère de famille, Awa. Le kilogramme de d’oignon fixé à 400 F CFA est resté en travers de sa gorge.
« Je viens d’acheter le kilogramme à 600 F CFA. Les commerçants ont commencé à augmenter les prix même s’ils ne l’assument pas. Et nous, les ménagères, sommes obligées d’acheter », se désole-t-elle. D’ailleurs, elle considère que les prix ont uniquement grimpé à cause de la Tabaski.
Hausse du Prix du Transport
Les périodes de fête entraînent des flux massifs des clients vers l’intérieur du pays. La ruée vers les gares-routières fait jouer la loi du marché. Les prix de transport peuvent passer du simple au double sous prétexte que les voitures en partance pour telle ou telle destination sont rares.
Les prix ont pratiquement doublé, rendant coûteux les déplacements. Le trajet entre Dakar et Kolda, habituellement facturé à 7000 FCFA, est désormais proposé à 12000 FCFA. "C'est déplorable", commente Mamadou, un voyageur en partance pour Kolda. "Beaucoup de familles peinent déjà à joindre les deux bouts, et cette augmentation rend les déplacements encore plus difficiles", se désole-t-il.
Malgré ces contraintes, l'esprit est à la fête. Les commerçants de Tiléne sont optimistes. Certains ne doutent pas que leurs recettes vont s’améliorer au fur et à mesure que l’on se rapproche du jour de la fête.
"La Tabaski est une période spéciale pour nous tous", répète Ibrahima. "Nous ferons tout notre possible pour que chacun puisse célébrer dignement’’, professe Ibrahima.
L’anticipation est l’astuce contre la hausse des prix durant la période de fête. Comme, nous modélisons les crises, des ménages aménagent leur plan pour ne pas payer les frais des vendeurs, des commerçants et des commerçantes.
Appel aux concernés et aux autorités
"Nous appelons les transporteurs à la modération et les autorités à la vigilance pour que cette fête se déroule dans les meilleures conditions possibles. Les commerçants, aussi, sont invités à faire preuve de compréhension et à soutenir les efforts des consommateurs ", lancent des usagers interrogés par Seneweb.
En attendant, les préparatifs se poursuivent, et les marchés de Dakar vibrent au rythme des froufrous des clients. La Tabaski, c’est la période où des ménages de confession musulmane dépensent plus durant l’année. Les chefs de ménage hommes comme les femmes sont sous la hantise des charges inhérentes. Les étals et les étagères sont bien achalandés.
Les personnes interrogées sollicitent l’intervention des autorités pour la régulation des prix aussi bien dans les marchés que dans les gares routières. L’immolation du mouton n’est pas, donc, le seul sacrifice.
Au marché Tilène, la fête de la tabaski est dans l’air. Les étals et les tabliers sont plus fournis. La foule est quasi permanente. Les marchandises s’échangent. Les commerçants et les vengeurs reconnaissent qu’il y a un frémissement.
"Les ventes se passent bien cette année », affirme, Ibrahima, un commerçant. Son camarade fournit des détails supplémentaires. Le prix du kilogramme d’oignon s’échange entre 400 et 500 F CFA.
‘’Les clients viennent peu à peu, et nous avons suffisamment de stock pour répondre à la demande. Actuellement, le prix des oignons varie entre 400 et 500 FCFA le kilo, tandis que le sac de 25 kg se vend entre 7000 et 8000 FCFA", a certifié Mame Mor, un commerçant.
Alors que le kilogramme de pommes de terre s’écoule entre 600-700 FCFA. Le sac de 20 kg atteint 12000 FCFA. Oumar Labo, boutiquier constate que les prix sont relativement stables et que les clients commencent à faire leurs emplettes pour éviter la ruée de dernière minute.
Si les vendeurs se frottent les mains, par contre, les clients se plaignent. C’est le cas de la mère de famille, Awa. Le kilogramme de d’oignon fixé à 400 F CFA est resté en travers de sa gorge.
« Je viens d’acheter le kilogramme à 600 F CFA. Les commerçants ont commencé à augmenter les prix même s’ils ne l’assument pas. Et nous, les ménagères, sommes obligées d’acheter », se désole-t-elle. D’ailleurs, elle considère que les prix ont uniquement grimpé à cause de la Tabaski.
Hausse du Prix du Transport
Les périodes de fête entraînent des flux massifs des clients vers l’intérieur du pays. La ruée vers les gares-routières fait jouer la loi du marché. Les prix de transport peuvent passer du simple au double sous prétexte que les voitures en partance pour telle ou telle destination sont rares.
Les prix ont pratiquement doublé, rendant coûteux les déplacements. Le trajet entre Dakar et Kolda, habituellement facturé à 7000 FCFA, est désormais proposé à 12000 FCFA. "C'est déplorable", commente Mamadou, un voyageur en partance pour Kolda. "Beaucoup de familles peinent déjà à joindre les deux bouts, et cette augmentation rend les déplacements encore plus difficiles", se désole-t-il.
Malgré ces contraintes, l'esprit est à la fête. Les commerçants de Tiléne sont optimistes. Certains ne doutent pas que leurs recettes vont s’améliorer au fur et à mesure que l’on se rapproche du jour de la fête.
"La Tabaski est une période spéciale pour nous tous", répète Ibrahima. "Nous ferons tout notre possible pour que chacun puisse célébrer dignement’’, professe Ibrahima.
L’anticipation est l’astuce contre la hausse des prix durant la période de fête. Comme, nous modélisons les crises, des ménages aménagent leur plan pour ne pas payer les frais des vendeurs, des commerçants et des commerçantes.
Appel aux concernés et aux autorités
"Nous appelons les transporteurs à la modération et les autorités à la vigilance pour que cette fête se déroule dans les meilleures conditions possibles. Les commerçants, aussi, sont invités à faire preuve de compréhension et à soutenir les efforts des consommateurs ", lancent des usagers interrogés par Seneweb.
En attendant, les préparatifs se poursuivent, et les marchés de Dakar vibrent au rythme des froufrous des clients. La Tabaski, c’est la période où des ménages de confession musulmane dépensent plus durant l’année. Les chefs de ménage hommes comme les femmes sont sous la hantise des charges inhérentes. Les étals et les étagères sont bien achalandés.
Les personnes interrogées sollicitent l’intervention des autorités pour la régulation des prix aussi bien dans les marchés que dans les gares routières. L’immolation du mouton n’est pas, donc, le seul sacrifice.
6 Commentaires
ces chauffeurs et commerçants ne sont pas des senegalais ?
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En Juin, 2024 (15:10 PM)Xorom-sukeur
En Juin, 2024 (12:47 PM)Reply_author
En Juin, 2024 (16:17 PM)Reply_author
En Juin, 2024 (19:07 PM)déclaration de patrimoine : fourass
appel à candidature ; fourass
suppression des caisses noires ; fourass
dimunition des prix : moins 15 francs sur le pain
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