Fëgg diaye » : L’annonce forte du ministre du commerce.
Un problème mondial de pollution dans le monde n'est pas compris par les Sénégalais et mal traité dans l'émission Diakarlo. Même si je suis en accord avec l'intervention de Bouba N'dour sur l'obligation d'exemplarité des autorités. Le feug diay est un problème dans beaucoup de pays. Est-ce qu'on recycle les déchets textiles dans nos pays? C'est du plastique aussi, avec une préoccupation pour l'environnement. J'ai exploré la campagne sénégalaise pour observer les dégâts.
Pollution : Le désert d’Atacama, décharge mondiale de la mode
HYPERCONSOMMATION• Face aux millions de vêtements qui envahissent le désert d’Atacama, au Chili, des initiatives locales voient le jour.
AAlto Hospicio, les dunes ne sont pas composées de sable mais de vêtements usagés, de la jupe en strass aux après-ski, tout ce que la mode éphémère peut produire vient finir sa vie ici. Pour lutter contre ce fléau des acteurs locaux se mobilisent.
Le Chili s’est spécialisé depuis une quarantaine d’années dans le commerce de vêtements de seconde main. En provenance des États-Unis, du Canada, d’Europe ou d’Asie, tous les textiles dont les consommateurs ne veulent plus constituent les 59.000 t qui arrivent chaque année au port d’Iquique. C’est dans cette zone commerciale, aux droits de douanes préférentiels, qu’a lieu un premier tri pour la revente dans le pays ou l’export vers d’autres pays latino-américains.
Des déchets textiles qui génèrent de la pollution
Rien qu’à Alto Hospicio, environ 39.000 t de déchets sont entreposées illégalement.
« Les dommages et l’impact environnemental de ces microdécharges en général, et de celles de déchets textiles en particulier, ne font aucun doute pour les communes où elles sont situées » explique Moyra Rojas, secrétaire régional du ministère de l’Environnement. « Ces microdécharges génèrent quelques incendies, ce qui produit évidemment une pollution atmosphérique, et certaines sont également situées près de zones habitées. »
Qu’ils soient enfouis sous terre ou laissés à l’air libre, les textiles ne sont pas biodégradables, leur décomposition chimique peut prendre des dizaines d’années, et pollue l’air et les nappes phréatiques.
Des initiatives locales
Tous les vêtements qui ne passent pas les filtres de la revente ou de la contrebande finiront dans les décharges sauvages. Après dix ans à travailler dans la zone franche d’Iquique, Franklin Zepeda, las de voir ces « montagnes de déchets textiles » près de chez lui, a décidé de « sortir du problème pour faire partie de la solution ». En 2018 il crée Ecofibra pour faire face à ce problème grandissant. « Ces déchets sont ceux qui allaient dans le désert et maintenant, nous les utilisons comme matière première pour fabriquer nos panneaux d’isolation thermique. »
La société Ecocitex, elle, collecte, vend et donne des vêtements d’occasion, elle fabrique également du fil de vêtements recyclés. Rosario Hevia, président d’Ecocitex, insiste sur la nécessité « d’éduquer les gens pour qu’ils réduisent leur consommation de textiles inutiles et qu’ils se chargent d’en prolonger la vie utile. » Elle explique que c’est en changeant de manière de consommer que l’on pourra réduire la production de déchets.
Selon une étude de l’ONU datant de 2019, la production mondiale de vêtements, qui a doublé entre 2000 et 2014, est « responsable de 20 % du gaspillage total de l’eau dans le monde. Chaque seconde, une quantité de textiles équivalente à un camion de déchets est enterrée ou brûlée. »
La mode jetable entraîne une augmentation considérable du gaspillage de vêtements. On estime qu’un tiers des vêtements produits chaque année ne sont jamais portés et finissent à la poubelle. Ces déchets vestimentaires sont principalement enfouis ou incinérés, générant ainsi des émissions de gaz à effet de serre et la pollution des sols.
De plus, l’incitation à la surconsommation engendrée par le fast-fashion contribue à l’épuisement des ressources naturelles et à l’aggravation des problèmes environnementaux liés à la production de vêtements.
Les conditions de travail dans l’industrie textile
Outre les impacts environnementaux, le secteur de la mode est également associé à des problématiques sociales, notamment en termes de conditions de travail. Le modèle du fast-fashion repose en grande partie sur l’exploitation de la main-d’œuvre dans les pays à bas coûts de production, où les salaires sont faibles et les droits des travailleurs souvent bafoués.
Ces conditions de travail précaires ont été mises en lumière par plusieurs accidents et catastrophes, comme l’effondrement du Rana Plaza au Bangladesh en 2013, qui a causé la mort de plus de 1 100 travailleurs du textile.
Fëgg diaye » : L’annonce forte du ministre du commerce.
Un problème mondial de pollution dans le monde n'est pas compris par les Sénégalais et mal traité dans l'émission Diakarlo. Même si je suis en accord avec l'intervention de Bouba N'dour sur l'obligation d'exemplarité des autorités. Le feug diay est un problème dans beaucoup de pays. Est-ce qu'on recycle les déchets textiles dans nos pays? C'est du plastique aussi, avec une préoccupation pour l'environnement. J'ai exploré la campagne sénégalaise pour observer les dégâts.
Pollution : Le désert d’Atacama, décharge mondiale de la mode
HYPERCONSOMMATION• Face aux millions de vêtements qui envahissent le désert d’Atacama, au Chili, des initiatives locales voient le jour.
AAlto Hospicio, les dunes ne sont pas composées de sable mais de vêtements usagés, de la jupe en strass aux après-ski, tout ce que la mode éphémère peut produire vient finir sa vie ici. Pour lutter contre ce fléau des acteurs locaux se mobilisent.
Le Chili s’est spécialisé depuis une quarantaine d’années dans le commerce de vêtements de seconde main. En provenance des États-Unis, du Canada, d’Europe ou d’Asie, tous les textiles dont les consommateurs ne veulent plus constituent les 59.000 t qui arrivent chaque année au port d’Iquique. C’est dans cette zone commerciale, aux droits de douanes préférentiels, qu’a lieu un premier tri pour la revente dans le pays ou l’export vers d’autres pays latino-américains.
Des déchets textiles qui génèrent de la pollution
Rien qu’à Alto Hospicio, environ 39.000 t de déchets sont entreposées illégalement.
« Les dommages et l’impact environnemental de ces microdécharges en général, et de celles de déchets textiles en particulier, ne font aucun doute pour les communes où elles sont situées » explique Moyra Rojas, secrétaire régional du ministère de l’Environnement. « Ces microdécharges génèrent quelques incendies, ce qui produit évidemment une pollution atmosphérique, et certaines sont également situées près de zones habitées. »
Qu’ils soient enfouis sous terre ou laissés à l’air libre, les textiles ne sont pas biodégradables, leur décomposition chimique peut prendre des dizaines d’années, et pollue l’air et les nappes phréatiques.
Des initiatives locales
Tous les vêtements qui ne passent pas les filtres de la revente ou de la contrebande finiront dans les décharges sauvages. Après dix ans à travailler dans la zone franche d’Iquique, Franklin Zepeda, las de voir ces « montagnes de déchets textiles » près de chez lui, a décidé de « sortir du problème pour faire partie de la solution ». En 2018 il crée Ecofibra pour faire face à ce problème grandissant. « Ces déchets sont ceux qui allaient dans le désert et maintenant, nous les utilisons comme matière première pour fabriquer nos panneaux d’isolation thermique. »
La société Ecocitex, elle, collecte, vend et donne des vêtements d’occasion, elle fabrique également du fil de vêtements recyclés. Rosario Hevia, président d’Ecocitex, insiste sur la nécessité « d’éduquer les gens pour qu’ils réduisent leur consommation de textiles inutiles et qu’ils se chargent d’en prolonger la vie utile. » Elle explique que c’est en changeant de manière de consommer que l’on pourra réduire la production de déchets.
Kimome safoul souker safoul korom. Kéne khamoul lanela tantôt lii tantôt laalé tantôt pile tantôt face contre nos valeurs. Mais ce n' est que peine perdue Jiguéne goor bou fi foutékou niou tégal ko thia birou bureau Molly Tostan. Léérna?
La mode jetable entraîne une augmentation considérable du gaspillage de vêtements. On estime qu’un tiers des vêtements produits chaque année ne sont jamais portés et finissent à la poubelle. Ces déchets vestimentaires sont principalement enfouis ou incinérés, générant ainsi des émissions de gaz à effet de serre et la pollution des sols.
De plus, l’incitation à la surconsommation engendrée par le fast-fashion contribue à l’épuisement des ressources naturelles et à l’aggravation des problèmes environnementaux liés à la production de vêtements.
Les conditions de travail dans l’industrie textile
Outre les impacts environnementaux, le secteur de la mode est également associé à des problématiques sociales, notamment en termes de conditions de travail. Le modèle du fast-fashion repose en grande partie sur l’exploitation de la main-d’œuvre dans les pays à bas coûts de production, où les salaires sont faibles et les droits des travailleurs souvent bafoués.
Ces conditions de travail précaires ont été mises en lumière par plusieurs accidents et catastrophes, comme l’effondrement du Rana Plaza au Bangladesh en 2013, qui a causé la mort de plus de 1 100 travailleurs du textile.
Fëgg diaye » : L’annonce forte du ministre du commerce.
Un problème mondial de pollution dans le monde n'est pas compris par les Sénégalais et mal traité dans l'émission Diakarlo. Même si je suis en accord avec l'intervention de Bouba N'dour sur l'obligation d'exemplarité des autorités. Le feug diay est un problème dans beaucoup de pays. Est-ce qu'on recycle les déchets textiles dans nos pays? C'est du plastique aussi, avec une préoccupation pour l'environnement. J'ai exploré la campagne sénégalaise pour observer les dégâts.
Pollution : Le désert d’Atacama, décharge mondiale de la mode
HYPERCONSOMMATION• Face aux millions de vêtements qui envahissent le désert d’Atacama, au Chili, des initiatives locales voient le jour.
AAlto Hospicio, les dunes ne sont pas composées de sable mais de vêtements usagés, de la jupe en strass aux après-ski, tout ce que la mode éphémère peut produire vient finir sa vie ici. Pour lutter contre ce fléau des acteurs locaux se mobilisent.
Le Chili s’est spécialisé depuis une quarantaine d’années dans le commerce de vêtements de seconde main. En provenance des États-Unis, du Canada, d’Europe ou d’Asie, tous les textiles dont les consommateurs ne veulent plus constituent les 59.000 t qui arrivent chaque année au port d’Iquique. C’est dans cette zone commerciale, aux droits de douanes préférentiels, qu’a lieu un premier tri pour la revente dans le pays ou l’export vers d’autres pays latino-américains.
Des déchets textiles qui génèrent de la pollution
Rien qu’à Alto Hospicio, environ 39.000 t de déchets sont entreposées illégalement.
« Les dommages et l’impact environnemental de ces microdécharges en général, et de celles de déchets textiles en particulier, ne font aucun doute pour les communes où elles sont situées » explique Moyra Rojas, secrétaire régional du ministère de l’Environnement. « Ces microdécharges génèrent quelques incendies, ce qui produit évidemment une pollution atmosphérique, et certaines sont également situées près de zones habitées. »
Qu’ils soient enfouis sous terre ou laissés à l’air libre, les textiles ne sont pas biodégradables, leur décomposition chimique peut prendre des dizaines d’années, et pollue l’air et les nappes phréatiques.
Des initiatives locales
Tous les vêtements qui ne passent pas les filtres de la revente ou de la contrebande finiront dans les décharges sauvages. Après dix ans à travailler dans la zone franche d’Iquique, Franklin Zepeda, las de voir ces « montagnes de déchets textiles » près de chez lui, a décidé de « sortir du problème pour faire partie de la solution ». En 2018 il crée Ecofibra pour faire face à ce problème grandissant. « Ces déchets sont ceux qui allaient dans le désert et maintenant, nous les utilisons comme matière première pour fabriquer nos panneaux d’isolation thermique. »
La société Ecocitex, elle, collecte, vend et donne des vêtements d’occasion, elle fabrique également du fil de vêtements recyclés. Rosario Hevia, président d’Ecocitex, insiste sur la nécessité « d’éduquer les gens pour qu’ils réduisent leur consommation de textiles inutiles et qu’ils se chargent d’en prolonger la vie utile. » Elle explique que c’est en changeant de manière de consommer que l’on pourra réduire la production de déchets.
Ces féministes ne sont plus crédibles car elles ont manqué l histoire dans l'affaire sweet beauty. C'était une occasion pour elles marquer l histoire. Mais il y aura procès car le cas sweet beauty ne fait pas partie de l amnistie, donc sonko et Adji Raby à la barre
Bouba ndour grande gueule qui se la raconte partout...donneur de leçons et qui pourtant s'étrangle de jalousie pour sa petite sœur...si vous connaissiez la méchanceté et la cupidité de ce petit monsieur vous ne seriez plus là à commenter ses idioties.
Boyba Ndour, l'homme le plus ennuyeux au Sénégal. Avec une seule idée, il se répète 18 000 fois.il doit apprendre à synthétiser ses idées ! Sa faiblesse de niveau intellectuel le ratreape, hélas !
Ce n'est que de la " sorcellerie" j'ai vu cette scène devant un hôtel à 3 h 30 au Bénin.,. Je suis passé sans coup ferire la seule parole que j'ai prononcé c'est " wala khalwa wala khouwati Ila bila hiil azim"
Ce n'est que de la " sorcellerie" j'ai vu cette scène devant un hôtel à 3 h 30 au Bénin.,. Je suis passé sans coup ferire la seule parole que j'ai prononcé c'est " wala khalwa wala khouwati Ila bila hiil azim"
Bouba si à chaque fois que tu commences à parler tu te posais la question : Qui suis je ? Je le fils de Elimane Ndour et de Ndeye Sokhna Mboup tu dirais moins de bêtises ! Nioniou ken khamewoulen au Wakh you gniak feyda ? Bouba delossil sa khel !
Bouba si à chaque fois que tu commences à parler tu te posais la question : Qui suis je ? Je le fils de Elimane Ndour et de Ndeye Sokhna Mboup tu dirais moins de bêtises ! Nioniou ken khamewoulen au Wakh you gniak feyda ? Bouba delossil sa khel !
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16 Commentaires
Reply_author
il y a 1 jour (02:25 AM)Fëgg Diaye » : L’annonce Fort
il y a 20 heures (07:22 AM)Un problème mondial de pollution dans le monde n'est pas compris par les Sénégalais et mal traité dans l'émission Diakarlo. Même si je suis en accord avec l'intervention de Bouba N'dour sur l'obligation d'exemplarité des autorités. Le feug diay est un problème dans beaucoup de pays. Est-ce qu'on recycle les déchets textiles dans nos pays? C'est du plastique aussi, avec une préoccupation pour l'environnement. J'ai exploré la campagne sénégalaise pour observer les dégâts.
Pollution : Le désert d’Atacama, décharge mondiale de la mode
HYPERCONSOMMATION• Face aux millions de vêtements qui envahissent le désert d’Atacama, au Chili, des initiatives locales voient le jour.
AAlto Hospicio, les dunes ne sont pas composées de sable mais de vêtements usagés, de la jupe en strass aux après-ski, tout ce que la mode éphémère peut produire vient finir sa vie ici. Pour lutter contre ce fléau des acteurs locaux se mobilisent.
Le Chili s’est spécialisé depuis une quarantaine d’années dans le commerce de vêtements de seconde main. En provenance des États-Unis, du Canada, d’Europe ou d’Asie, tous les textiles dont les consommateurs ne veulent plus constituent les 59.000 t qui arrivent chaque année au port d’Iquique. C’est dans cette zone commerciale, aux droits de douanes préférentiels, qu’a lieu un premier tri pour la revente dans le pays ou l’export vers d’autres pays latino-américains.
Des déchets textiles qui génèrent de la pollution
Rien qu’à Alto Hospicio, environ 39.000 t de déchets sont entreposées illégalement.
« Les dommages et l’impact environnemental de ces microdécharges en général, et de celles de déchets textiles en particulier, ne font aucun doute pour les communes où elles sont situées » explique Moyra Rojas, secrétaire régional du ministère de l’Environnement. « Ces microdécharges génèrent quelques incendies, ce qui produit évidemment une pollution atmosphérique, et certaines sont également situées près de zones habitées. »
Qu’ils soient enfouis sous terre ou laissés à l’air libre, les textiles ne sont pas biodégradables, leur décomposition chimique peut prendre des dizaines d’années, et pollue l’air et les nappes phréatiques.
Des initiatives locales
Tous les vêtements qui ne passent pas les filtres de la revente ou de la contrebande finiront dans les décharges sauvages. Après dix ans à travailler dans la zone franche d’Iquique, Franklin Zepeda, las de voir ces « montagnes de déchets textiles » près de chez lui, a décidé de « sortir du problème pour faire partie de la solution ». En 2018 il crée Ecofibra pour faire face à ce problème grandissant. « Ces déchets sont ceux qui allaient dans le désert et maintenant, nous les utilisons comme matière première pour fabriquer nos panneaux d’isolation thermique. »
La société Ecocitex, elle, collecte, vend et donne des vêtements d’occasion, elle fabrique également du fil de vêtements recyclés. Rosario Hevia, président d’Ecocitex, insiste sur la nécessité « d’éduquer les gens pour qu’ils réduisent leur consommation de textiles inutiles et qu’ils se chargent d’en prolonger la vie utile. » Elle explique que c’est en changeant de manière de consommer que l’on pourra réduire la production de déchets.
Selon une étude de l’ONU datant de 2019, la production mondiale de vêtements, qui a doublé entre 2000 et 2014, est « responsable de 20 % du gaspillage total de l’eau dans le monde. Chaque seconde, une quantité de textiles équivalente à un camion de déchets est enterrée ou brûlée. »
Reply_author
il y a 20 heures (07:47 AM)Feug Diay
il y a 20 heures (07:47 AM)La mode jetable entraîne une augmentation considérable du gaspillage de vêtements. On estime qu’un tiers des vêtements produits chaque année ne sont jamais portés et finissent à la poubelle. Ces déchets vestimentaires sont principalement enfouis ou incinérés, générant ainsi des émissions de gaz à effet de serre et la pollution des sols.
De plus, l’incitation à la surconsommation engendrée par le fast-fashion contribue à l’épuisement des ressources naturelles et à l’aggravation des problèmes environnementaux liés à la production de vêtements.
Les conditions de travail dans l’industrie textile
Outre les impacts environnementaux, le secteur de la mode est également associé à des problématiques sociales, notamment en termes de conditions de travail. Le modèle du fast-fashion repose en grande partie sur l’exploitation de la main-d’œuvre dans les pays à bas coûts de production, où les salaires sont faibles et les droits des travailleurs souvent bafoués.
Ces conditions de travail précaires ont été mises en lumière par plusieurs accidents et catastrophes, comme l’effondrement du Rana Plaza au Bangladesh en 2013, qui a causé la mort de plus de 1 100 travailleurs du textile.
Fëgg diaye » : L’annonce forte du ministre du commerce.
Un problème mondial de pollution dans le monde n'est pas compris par les Sénégalais et mal traité dans l'émission Diakarlo. Même si je suis en accord avec l'intervention de Bouba N'dour sur l'obligation d'exemplarité des autorités. Le feug diay est un problème dans beaucoup de pays. Est-ce qu'on recycle les déchets textiles dans nos pays? C'est du plastique aussi, avec une préoccupation pour l'environnement. J'ai exploré la campagne sénégalaise pour observer les dégâts.
Pollution : Le désert d’Atacama, décharge mondiale de la mode
HYPERCONSOMMATION• Face aux millions de vêtements qui envahissent le désert d’Atacama, au Chili, des initiatives locales voient le jour.
AAlto Hospicio, les dunes ne sont pas composées de sable mais de vêtements usagés, de la jupe en strass aux après-ski, tout ce que la mode éphémère peut produire vient finir sa vie ici. Pour lutter contre ce fléau des acteurs locaux se mobilisent.
Le Chili s’est spécialisé depuis une quarantaine d’années dans le commerce de vêtements de seconde main. En provenance des États-Unis, du Canada, d’Europe ou d’Asie, tous les textiles dont les consommateurs ne veulent plus constituent les 59.000 t qui arrivent chaque année au port d’Iquique. C’est dans cette zone commerciale, aux droits de douanes préférentiels, qu’a lieu un premier tri pour la revente dans le pays ou l’export vers d’autres pays latino-américains.
Des déchets textiles qui génèrent de la pollution
Rien qu’à Alto Hospicio, environ 39.000 t de déchets sont entreposées illégalement.
« Les dommages et l’impact environnemental de ces microdécharges en général, et de celles de déchets textiles en particulier, ne font aucun doute pour les communes où elles sont situées » explique Moyra Rojas, secrétaire régional du ministère de l’Environnement. « Ces microdécharges génèrent quelques incendies, ce qui produit évidemment une pollution atmosphérique, et certaines sont également situées près de zones habitées. »
Qu’ils soient enfouis sous terre ou laissés à l’air libre, les textiles ne sont pas biodégradables, leur décomposition chimique peut prendre des dizaines d’années, et pollue l’air et les nappes phréatiques.
Des initiatives locales
Tous les vêtements qui ne passent pas les filtres de la revente ou de la contrebande finiront dans les décharges sauvages. Après dix ans à travailler dans la zone franche d’Iquique, Franklin Zepeda, las de voir ces « montagnes de déchets textiles » près de chez lui, a décidé de « sortir du problème pour faire partie de la solution ». En 2018 il crée Ecofibra pour faire face à ce problème grandissant. « Ces déchets sont ceux qui allaient dans le désert et maintenant, nous les utilisons comme matière première pour fabriquer nos panneaux d’isolation thermique. »
La société Ecocitex, elle, collecte, vend et donne des vêtements d’occasion, elle fabrique également du fil de vêtements recyclés. Rosario Hevia, président d’Ecocitex, insiste sur la nécessité « d’éduquer les gens pour qu’ils réduisent leur consommation de textiles inutiles et qu’ils se chargent d’en prolonger la vie utile. » Elle explique que c’est en changeant de manière de consommer que l’on pourra réduire la production de déchets.
Reply_author
il y a 20 heures (08:18 AM)Faut pas généraliser
Devant ton miroir, tu sais
Trop de dégâts envers elle
Se repentir, pendant qu’il est encore temps
Reply_author
il y a 18 heures (10:14 AM)Feug Diay
il y a 20 heures (07:58 AM)La mode jetable entraîne une augmentation considérable du gaspillage de vêtements. On estime qu’un tiers des vêtements produits chaque année ne sont jamais portés et finissent à la poubelle. Ces déchets vestimentaires sont principalement enfouis ou incinérés, générant ainsi des émissions de gaz à effet de serre et la pollution des sols.
De plus, l’incitation à la surconsommation engendrée par le fast-fashion contribue à l’épuisement des ressources naturelles et à l’aggravation des problèmes environnementaux liés à la production de vêtements.
Les conditions de travail dans l’industrie textile
Outre les impacts environnementaux, le secteur de la mode est également associé à des problématiques sociales, notamment en termes de conditions de travail. Le modèle du fast-fashion repose en grande partie sur l’exploitation de la main-d’œuvre dans les pays à bas coûts de production, où les salaires sont faibles et les droits des travailleurs souvent bafoués.
Ces conditions de travail précaires ont été mises en lumière par plusieurs accidents et catastrophes, comme l’effondrement du Rana Plaza au Bangladesh en 2013, qui a causé la mort de plus de 1 100 travailleurs du textile.
Fëgg diaye » : L’annonce forte du ministre du commerce.
Un problème mondial de pollution dans le monde n'est pas compris par les Sénégalais et mal traité dans l'émission Diakarlo. Même si je suis en accord avec l'intervention de Bouba N'dour sur l'obligation d'exemplarité des autorités. Le feug diay est un problème dans beaucoup de pays. Est-ce qu'on recycle les déchets textiles dans nos pays? C'est du plastique aussi, avec une préoccupation pour l'environnement. J'ai exploré la campagne sénégalaise pour observer les dégâts.
Pollution : Le désert d’Atacama, décharge mondiale de la mode
HYPERCONSOMMATION• Face aux millions de vêtements qui envahissent le désert d’Atacama, au Chili, des initiatives locales voient le jour.
AAlto Hospicio, les dunes ne sont pas composées de sable mais de vêtements usagés, de la jupe en strass aux après-ski, tout ce que la mode éphémère peut produire vient finir sa vie ici. Pour lutter contre ce fléau des acteurs locaux se mobilisent.
Le Chili s’est spécialisé depuis une quarantaine d’années dans le commerce de vêtements de seconde main. En provenance des États-Unis, du Canada, d’Europe ou d’Asie, tous les textiles dont les consommateurs ne veulent plus constituent les 59.000 t qui arrivent chaque année au port d’Iquique. C’est dans cette zone commerciale, aux droits de douanes préférentiels, qu’a lieu un premier tri pour la revente dans le pays ou l’export vers d’autres pays latino-américains.
Des déchets textiles qui génèrent de la pollution
Rien qu’à Alto Hospicio, environ 39.000 t de déchets sont entreposées illégalement.
« Les dommages et l’impact environnemental de ces microdécharges en général, et de celles de déchets textiles en particulier, ne font aucun doute pour les communes où elles sont situées » explique Moyra Rojas, secrétaire régional du ministère de l’Environnement. « Ces microdécharges génèrent quelques incendies, ce qui produit évidemment une pollution atmosphérique, et certaines sont également situées près de zones habitées. »
Qu’ils soient enfouis sous terre ou laissés à l’air libre, les textiles ne sont pas biodégradables, leur décomposition chimique peut prendre des dizaines d’années, et pollue l’air et les nappes phréatiques.
Des initiatives locales
Tous les vêtements qui ne passent pas les filtres de la revente ou de la contrebande finiront dans les décharges sauvages. Après dix ans à travailler dans la zone franche d’Iquique, Franklin Zepeda, las de voir ces « montagnes de déchets textiles » près de chez lui, a décidé de « sortir du problème pour faire partie de la solution ». En 2018 il crée Ecofibra pour faire face à ce problème grandissant. « Ces déchets sont ceux qui allaient dans le désert et maintenant, nous les utilisons comme matière première pour fabriquer nos panneaux d’isolation thermique. »
La société Ecocitex, elle, collecte, vend et donne des vêtements d’occasion, elle fabrique également du fil de vêtements recyclés. Rosario Hevia, président d’Ecocitex, insiste sur la nécessité « d’éduquer les gens pour qu’ils réduisent leur consommation de textiles inutiles et qu’ils se chargent d’en prolonger la vie utile. » Elle explique que c’est en changeant de manière de consommer que l’on pourra réduire la production de déchets.
Ndour
il y a 1 jour (03:26 AM)Nianthio
il y a 20 heures (07:27 AM)Bozon
il y a 18 heures (09:54 AM)Big
il y a 18 heures (10:18 AM)James Le Juif
il y a 17 heures (11:18 AM)Et je suis passé !
James Le Juif
il y a 17 heures (11:18 AM)Et je suis passé !
James Le Juif
il y a 16 heures (12:01 PM)Penses un peu à tes enfants au moins !
Chaque jour que tu parles... Catastrophes 🙊
James Le Juif
il y a 16 heures (12:01 PM)Penses un peu à tes enfants au moins !
Chaque jour que tu parles... Catastrophes 🙊
Massaasi
il y a 15 heures (12:38 PM)Reply_author James Le
il y a 15 heures (13:05 PM)Nioun grand YOU rek laniouy rouss motakh lounioula beuga wakh... Fomko !
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