Le visa biométrique, entré en vigueur depuis juillet dernier, est délivré dans ''des conditions acceptables'', a déclaré Oumar Wane, directeur général de la Société nationale d'édition de documents administratifs et d'identification (SNEDAI), l’opérateur privé chargé de la mise en œuvre technique du processus de délivrance.
''Techniquement, ce que nous leur (Sénégal et État) apportons, c'est de la sûreté et c'est du professionnalisme. Les visas sont délivrés dans des conditions acceptables et il n'y a jamais eu de difficultés'', a-t-il assuré.
Il s'exprimait, samedi, à l'occasion du vol inaugural de la compagnie Air Méditerranée et du démarrage effectif du système de délivrance du visa biométrique à l'aéroport du Cap-Skirring.
M. Wane a déclaré que son entreprise ne pouvait pas être ''légère'' dans la prise en charge d'un ''projet qui a été initié minutieusement par des techniciens qui sont très bien formés''.
Selon lui, l'instauration du visa biométrique décidée souverainement par l’État du Sénégal participe à la promotion du tourisme qui représente 25% du PNB du Sénégal.
Le directeur général de SNEDAI Sénégal a confié que ''les visas biométriques sont délivrés dans d'excellentes conditions'' avec une moyenne de 3 minutes au Sénégal et dans les 18 postes consulaires.
''Le débat est de savoir si le service que nous proposons est de qualité. Sur ce point-la, il n'y a pas de doute'', a soutenu Oumar Wane.
Le visa pour entrer au Sénégal est obligatoire pour tout pays, en dehors de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), de la Mauritanie et du Maroc.
Les demandeurs de visa biométrique peuvent se faire établir ledit document dans les ambassades et consulats du Sénégal à l’étranger, ou à l’arrivée à l’aéroport Léopold Sédar Senghor. Les frais pour l'obtention du visa est de 32.500 francs (50 euros).
La SNEDAI est l’ opérateur privé concessionnaire du traitement des demandes de visa biométrique, chargé d'exploiter les données biométriques des demandeurs de visa en liaison avec les consulats et les ambassades du Sénégal, l'aéroport de Dakar et les postes de contrôle des frontières terrestres.
9 Commentaires
Menteur !
En Octobre, 2013 (13:43 PM)POUR LA SECURITE, MENSONGE !!!! FAITES CETTE EXPERIENCE QUE j'AI FAITE SI VOUS AVEZ 52 EUROS A PERDRE : FAITES LA DEMANDE SUR LE SITE EN SCANNANT UN PASSEPORT QUI N'EST PAS CELUI DE LA PERSONNE QUE VOUS AVEZ RENSEIGNEZ SUR LE SITE. METTEZ UNE RESERVATION D'HOTEL AVEC UN HOTEL QUI N'A JAMAIS EXISTE AU SENEGAL, METTEZ UN BILLET ELECTRONIQUE (VOUS EDITEZ UN PRECEDENT BILLET REEL) AVEC UNE COMPAGNIE, ETIHAD, QUI N'A JAMAIS DESSERVIE LE SENEGAL. ET BIEN, ENVIRO 5J (ET PAS " MINUTES!) VOUS AUREZ LE VISA AU NOM DE LA PERSONNE RENSEIGNEE SUR LE SITE.
CHARLATANS ! CONNARDS !
Boub's
En Octobre, 2013 (14:23 PM)et a rosso juste avant Tabaski, les douaniers ont demandés a tous ceux qui se psentés avec des prépayer de payer encore car il parait que leur ordi était en panne .........................
C'ST CA LE PROGRES...........
Honet
En Octobre, 2013 (14:50 PM)Le Camion
En Octobre, 2013 (16:34 PM)Allez bandes de fanfarons déjà que la situation était mauvaise vous l'avez rendue catastrophique. A moins d'être suicidaire il n'y aura bientôt plus de touristes au Sénégal. Moins de 400 000 en un an. Pour comparaison et rectifier des chiffres souvent erronés 83 millions l'an passé en France !
Tabrou
En Octobre, 2013 (17:14 PM)J'ai noté le foutoir comme au pays. Que ces préposés aux visas aient l'esprit commercial au lieu de se la raconter
Yael
En Octobre, 2013 (18:45 PM)Beerk
En Octobre, 2013 (20:33 PM)En tt c est un conseil pour le visa il faut prendre au moins 2 à 3 semaines avant vitre voyage...
Wassalam
Zoumana Le Magicien-escroc
En Octobre, 2013 (20:50 PM)Escroquerie: Modibo Diallo dévoile le diable
28 août 2006 Rubrique: Faits Divers
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Il était une fois un escroc nommé Zoumana Sidibé dit Zou, devenu célèbre à Zégoua et environs, à la frontière Mali-Côte d’Ivoire. Notre héros s’est fait un nom à Zégoua à travers des démonstrations mystiques : multiplication de billets de banque à partir d’objets divers, se couper puis se racoler la langue sans perte de sang etc. Et puisque sa réputation de magicien avait franchi la frontière, Zou se transporte à Pogo et élit domicile chez Badjan Karim Ouattara, le chef de la confrérie des chasseurs de la localité. Ici également, le magicien fait étalage de son savoir et jouit d’un prestige supplémentaire en raison de la notoriété de son logeur. Pour enfoncer le clou, il n’hésitait pas en plein spectacle à puiser de l’eau sous les seins des jeunes filles et se laver la figure. Zoumana Sidibé est au sommet de sa renommée. Il coule une vie douce car, il est devenu une star auprès des filles. Chacune veut le garder pour elle seule. Sa célébrité est telle que Zou se décide à ajouter une corde supplémentaire à son arc. A savoir, les consultations avec le concours des diables. Il se fait seconder par un bras droit du nom de Tiéma Diarra, un aventurier de passage à Pogo. Le duo tisse sa toile et se partage les rôles. Tiéma joue au diable. De blanc vêtu de la tête au pied, il se hisse nuitamment sur une termitière derrière le village pour dicter à Zou qui ne consulte que de nuit désormais, les prescriptions pour chaque consultant. Magicien qu’il est, Zou est qualifié pour déchiffrer les paroles du diable. Les clients se bousculent. Et à chaque fois, l’interprète du diable attend la tombée de la nuit pour conduire ses clients à proximité du diable qui a élu domicile dans la termitière. Ce dernier qui n’aime pas trop approcher les humains, fait une sommation quand Zou tente de s’approcher trop de la termitière avec ses clients. « Halte » leur lance-t-il, l’odeur humaine me dégoûte. Cette stratégie a duré, enrichi ses auteurs, fait de nombreuses victimes et promis beaucoup de bonheur, mais qui ne tombe jamais. Mais personne ne se plaint de crainte de croiser le fer avec le diable. Arriva Modibo Diallo, un Malien de Férékessédougou. Dans un premier temps, le duo d’escrocs réussit à lui extorquer 100 000FCFA, un bélier, de la poudre d’or et d’argent. Après exécution, ce fils de peulh éprouve aussitôt un profond regret. Il se décide à braver le diable. Pour cela, il sollicite une seconde consultation afin de faire fortune. A 22 heures, le voilà escorté par le porte-parole du diable, se dirigeant vers la colline. A la distance raisonnable, celui-ci donne de la voix. « Halte ». Modibo n’obtempère pas. « Halte vous dis-je, je vous fais fondre comme du beurre au soleil et vous êtes seul responsable ». En vain, intrépide, Modibo avance. Puisque l’humain avançait, c’est le diable qui a commencé par reculer avant de s’enfuir et avec lui, son interprète. La population en conclura après le départ que le diable était Tiéma Diarra et Zoumana Sidibé, son porte-parole.
De notre correspondant permanent à Kadiolo
Mohamed Cissé dit MC.«
SOURCE: KABAKO du 28 août 2006.
Bonne Idée
En Octobre, 2013 (23:37 PM)Participer à la Discussion