L’office européen de police a annoncé mercredi la fermeture de l’une des plus grandes plateformes de hackers au monde, qui vendait des identifiants de comptes volés.
Ce coup de filet mondial, qui visait la plateforme Genesis Market, s’est traduit par 119 arrestations et a impliqué plus de 17 pays, a précisé Europol dans un communiqué.
208 propriétés ont été perquisitionnées au cours de cette opération “sans précédent” réalisée par le FBI et la police néerlandaise et qui a commencé en 2019, a précisé Europol. 24 arrestations ont eu lieu au Royaume-Uni, selon l’agence britannique de lutte contre la criminalité, et 17 aux Pays-Bas, a précisé la police néerlandaise.
Ce coup de filet mondial, qui visait la plateforme Genesis Market, s’est traduit par 119 arrestations et a impliqué plus de 17 pays, a précisé Europol dans un communiqué.
208 propriétés ont été perquisitionnées au cours de cette opération “sans précédent” réalisée par le FBI et la police néerlandaise et qui a commencé en 2019, a précisé Europol. 24 arrestations ont eu lieu au Royaume-Uni, selon l’agence britannique de lutte contre la criminalité, et 17 aux Pays-Bas, a précisé la police néerlandaise.
“Genesis Market avait mis en vente l’identité de plus de deux millions de personnes au moment de sa fermeture”, a souligné l’office européen de police.
Des “bots” malveillants
La plateforme proposait à la vente des “bots” qui infectaient les appareils des victimes par le biais de logiciels malveillants et d’autres méthodes.
Des actions ont également eu lieu dans des pays comme l’Australie, le Canada, les États-Unis et plus de 10 pays d’Europe, dont le Royaume-Uni.
“Nous avons gravement perturbé l’écosystème cybercriminel en supprimant l’un de ses principaux catalyseurs”, s’est félicité Edvardas Sileris, qui dirige le Centre européen de lutte contre la cybercriminalité d’Europol, cité dans le communiqué.
La plateforme proposait à la vente des “bots” qui infectaient les appareils des victimes par le biais de logiciels malveillants et d’autres méthodes.
Des actions ont également eu lieu dans des pays comme l’Australie, le Canada, les États-Unis et plus de 10 pays d’Europe, dont le Royaume-Uni.
“Nous avons gravement perturbé l’écosystème cybercriminel en supprimant l’un de ses principaux catalyseurs”, s’est félicité Edvardas Sileris, qui dirige le Centre européen de lutte contre la cybercriminalité d’Europol, cité dans le communiqué.
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