La Provence fait de nouvelles révélations étranges sur la fusillade qui a eu lieu à Marseille dans la nuit de dimanche à lundi et qui a ciblé trois joueurs de l’OM (Moumbagna, Onana et Meïté).
C’est un bien triste événement qui a eu lieu ce dimanche soir. Après le dernier match de la saison du côté de l’OM, et cette victoire sur la pelouse du Havre (2-1), la presse révélait que trois joueurs marseillais avaient été victimes d’un car-jacking. Pire encore, ces trois joueurs (Faris Moumbagna, Jean Onana, Bamo Meité) avaient même essuyé des coups de feu. Des faits très graves qui ont logiquement conduit à l’ouverture d’une enquête alors qu’aucun blessé n’est à déplorer même si les trois marseillais sont encore sous le choc.
Ce mardi, le procureur de la République expliquait «que toutes les hypothèses restent envisagées» après les premiers éléments de l’enquête. Et justement ce mercredi matin, La Provence dévoile les premiers détails de cette fusillade et explique ainsi que «les nouveaux éléments rendent les circonstances de la fusillade encore plus étranges». Tout commence aux alentours de 3h15 du matin, lorsque les trois voitures se suivent. En première ligne, celle de Faris Moumbagna, puis celle de Jean Onana et enfin celle de Bamo Meïté. À ce moment-là, tout va bien pour les trois Olympiens qui viennent de remporter leur dernier match de la saison.
L’hypothèse d’une erreur des agresseurs
Quelques minutes plus tard, une quatrième voiture débarque et va rapidement prendre en chasse les voitures de Onana et Moumbagna. L’individu, à bord de cette voiture, va ouvrir le feu à plusieurs reprises sur les deux internationaux camerounais. Deux balles vont même venir se loger sur la portière conducteur du véhicule de Faris Moumbagna qui va terminer sa course dans un pylône alors qu’il avait accéléré pour échapper à ses agresseurs. Il sera logiquement sous le choc après ça, tout comme Jean Onana, qui a reçu une balle dans son coffre, et Bamo Meité qui n’a donc pas été visé par les tirs des agresseurs. La Provence ajoute que les agresseurs ont disparu dans la foulée sans laisser de traces alors qu’aucun étui de munition n’a été retrouvé sur les lieux. Cela pourrait indiquer l’utilisation d’un révolver.
Une enquête a rapidement été ouverte par le parquet de Marseille selon la police judiciaire. La Brigade de répression du banditisme (BRB) a aussi été saisie pour "tentatives d’homicide volontaire". Cependant, alors qu’on évoquait uniquement une tentative de car-jacking dans un premier temps, la donne a un peu changé ces dernières heures. Il existe aussi la possibilité d’une erreur de navigation de la part des agresseurs et donc d’une "méprise" avec les cibles potentielles. Les assaillants auraient pu confondre les véhicules avec d’autres personnes. D’ailleurs, la piste d’un rendez-vous, entre les trois joueurs et les agresseurs, qui aurait mal tourné, a été écarté rapidement.
2 Commentaires
The Objective, qui a obtenu les enregistrements téléphoniques et les messages, affirme que Messi et Piqué font part de leur inquiétude si leurs échanges venaient à être rendus publics. « Si les gens l’apprennent, ils vont nous tuer », auraient-ils déclaré à Rubiales. Ce n’est pas la première polémique dans laquelle Luis Rubiales est empêtré. Déjà jugé dans une affaire de corruption au sein de la fédération espagnole, l’ex-président de la RFEF risque également deux ans de prison pour avoir embrassé de force l’internationale espagnole Jennifer Hermoso lors de la victoire en Coupe du monde en août 2023. Un mois plus tard, il avait également été accusé d’avoir versé une commission à un certain… Gerard Piqué.
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